Chapitre 9

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Aliénor se pétrifia derrière Carlisle qui répondit à la soldate : -C'est une de mes vieille connaissances Jane

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Aliénor se pétrifia derrière Carlisle qui répondit à la soldate :
-C'est une de mes vieille connaissances Jane. Elle est venue nous soutenir et combattre à nos côtés.
-Une amie fidèle Carlisle. Pour Jane, le sujet était clos. Et celle là ajouta-t-elle en désignant une nouvelle née roulé en boule près du brasier, pourquoi ne l'avez-vous pas tué ?
-Elle s'est rendue, par conséquent nous avons renoncé à la détruire. Personne ne l'a éduqué.
-Voila qui est hors de propos.
-A ta guise céda-t-il en reculant, entraînant avec lui Nora, toujours aussi nerveuse.
Démétri détruisit la malheureuse dont les hurlements déchirèrent le cœur d'Aliénor qui enfouit son visage dans l'épaule de son fils.
-Bien. Rentrons ordonna Jane, nous n'avons plus rien à faire ici, Aro t'envoie ses amitiés Carlisle.
-Merci de lui retourner la politesse.
-Naturellement.
Et sur ces mots, ils disparurent et Aliénor releva prudemment la tête.
-Ouf. Le ciel soit loué, ils ne m'ont pas reconnue !
-As-tu eu des ennuis avec les Volturi demanda Rosalie.
-Ils ont tue ma mère et probablement mon meilleur ami. Par pure convoitise. Ce sont Démétri et Alec que je hais le plus. Car ce sont eux qui nous ont capturés, aussi le premier est sûrement l'assassin d'Esteban, et l'autre s'est assuré, grâce à son don, que je ne puisse pas me défendre et protéger celui qui était comme mon frère.
Il y eu un long silence que la splendide blonde brisa ainsi :
-Oh, je suis vraiment désolé. Je n'aurais pas dû.
-Non, ce n' est pas grave. Je dois m'en aller à présent. Mais je serai toujours là pour vous, quoiqu'il arrive.
Elle enlaça son fils, les salua de la main et se changea en courant d'air qui ébouriffa malicieusement leurs cheveux avant de partir.
Elle vola ainsi jusqu'en Autriche où elle rassembla ses affaires. Ne rien laisser qui pourrait donner des indices sur sa destination était sa règle d'or depuis des siècles. Et valise à la main, Aliénor parti pour un nouveau pays.
Quelques semaines plus tard en Norvège :
Aliénor courrait, de la neige jusqu'aux genoux. Elle courrait droit devant, en ignorant les appels de son poursuivant. Encore un petit effort, elle pouvait le faire !
Soudain elle fut projetée à terre. Deux mains se refermèrent aussitôt sur sa taille pour la relever et l'empêcher de fuir. Aliénor se débâti comme une furie et brûla son assaillant qui lui cria :
-Arrête Aliénor ! Je t'en prie arrête ! Je veux seulement te parler !
-Lâche-moi Démétri, laissez-moi donc en paix cracha-t-elle en guise de réponse.
-Je vais te lâcher, mais promets-moi d'écouter avant de me sauter à la gorge.
Elle se figea en signe d'assentiment et il s'exécuta. La brune se retourna lentement et, une fois face à lui, haussa les sourcils sans rien dire.
-Aro t'implore de nous rejoindre à Voltera, Alec respecte ta décision et ton chagrin, mais il dépérit Aliénor. Vous ne pouvez vivre l'un sans l'autre et tu ne tardera sûrement pas à décliner toi aussi.
-....
-Je t'en prie, viens avec moi ! Mes maîtres veulent seulement vous sauver tout les deux !
-...Je.....
-Vas-tu le laisser ainsi ? C'est ton âme-sœur ! S'il te plaît Aliénor.
Elle regarda cette main tendue, hésitante. Elle ne voulait pas oublier ce qu'ils avaient fait mais, après tant de siècles, peut-être était-il temps de tourner la page et de pardonner ? Aliénor ne pouvait nier sa curiosité et, en pensant à Lui, elle se sentait coupable. Car elle n'avait jamais voulu faire de mal à quiconque. Alors elle saisit cette main tendue et se laissa emmener à Voltera, au cœur de l'Italie, repère du plus puissant clan de vampire et le lieu où l'attendait son âme-sœur.

Toi. C'est toi qui m'es destinée. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant