De nos jours, quelque part en Autriche :
Une jeune femme assise à la terrasse d'un café regardait au loin, perdue dans ses pensées. Soudain, la sonnerie de son téléphone la fit redescendre sur terre et elle décrocha.
-Allo ?
-Maman ? C'est moi.
Elle sourit :
-Carlisle ! Quelle bonne surprise ! Est-ce que tout va bien ?
-Non, pas vraiment. J'ai besoin de ton aide.
Le sourire d'Aliénor s'évanouit aussitôt.
-Je t'écoute.
-Nous avons un problème maman. Quelqu'un constitue une armée de nouveaux-nés sur notre territoire.
-Qui ?
-Nous pensons que la responsable est une vampire nommée Victoria. Elle ferait cela pour se venger de nous.
-Pourquoi ?
-Edward à rencontrer une humaine. Il est tombé amoureux. Et cette Victoria et ses amis ont voulu la tuer. Nous avons été obligé de recourir à la violence.
-Je vois. Si elle en arrive à de pareilles extrémités pour se venger, il est fort probable que son compagnon compte parmi vos victimes.
-Exacte. Il s'appelait James.
-Et tu veux mon aide....... Pour affronter ces nouveaux-nés ?
-Oui. Tes dons nous seraient d'un grand secours.
-Bien. Tu peux compter sur moi, c'est la moindre de choses. Je serai là dans deux jours au plus tard.
Et elle raccrocha avec un soupir. Aliénor savait que c'était très risqué, mais pour son fils, elle aurait traversé l'Enfer. Alors elle se mit immédiatement en route pour une petite ville de l'Etat de Washington : Forks.
Au même moment à Forks :
Carlisle reposa le combiné. Sa mère allait enfin rencontrer sa famille, même si il aurait préféré que ce soit dans d'autres circonstances.
-Les enfants ! Bonne nouvelle, j'ai réussi à joindre une de mes plus vielles connaissances. Elle se battra à nos côtés.
-Tant mieux répondit un de ses fils, Jasper, nous en aurons besoin. Cette amie a-t-elle un don ?
-Oh oui répondit le patriarche des Cullen, et un don puissant. Fais-moi confiance.
Le lendemain après-midi :
Les vampires de la famille Cullen levèrent le nez, sentant une étrange odeur, une odeur qu'ils ne connaissaient pas. Carlisle, lui, bondit de son siège et se rua dehors, et tous se précipitèrent à sa suite.
Le patriarche Cullen s'arrêta face à une jeune femme. Ses longs cheveux noir volaient doucement au vent, masquant en partie son visage tandis qu'elle regardait leur père avec un sourire radieux. Et il couru vers l'inconnue, la souleva et la fit tournoyer avant de la serrer dans ses bras. Sa famille les regardaient bouche bée. Esmée, quand à elle, avait une expression peinée et inquiète sur le visage. Le remarquant, Edward intervient :
-Carlisle. Peux-tu nous présenter ?
-Oh pardon ! Je vous présente l'amie dont je vous ait parlé : Aliénor.
-Prénom à consonance médiévale remarqua Bella.
En la voyant, Aliénor haussa les sourcils, intrigués. Et aussitôt, Edward repoussa Bella derrière lui et adopta une posture défensive.
-Du calme intervient Carlisle, tout va bien. Aliénor n'attaquerait jamais Bella !
-C'est vrai dit l'intéressée, comme tu l'as très justement remarqué, mon prénom est médiéval. Et avec plus de 700 ans d'expérience, je suis parfaitement capable de côtoyer les humains sans me jeter sur eux !
Ce qui détendis considérablement l'assistance . Et Jasper commenta :
-Tu avais raison Carlisle. C'est une alliée puissante que tu nous présente.
Et soudain, Rosalie s'écria :
-Vos yeux ! J'ai trouvé ce qui me dérangeait chez vous ! Regardez la couleur de ses yeux lança la blonde à sa famille.
Aliénor soupira et répondit en relevant ses cheveux, dégageant ainsi son visage :
-En effet. Mes yeux sont uniques. Un peu comme les vôtres d'ailleurs. Mais assez parlé de moi. Et si nous revenions à nos moutons ? Qui suis-je ?
-Ouais lança Emmet, on sait toujours pas qui ont a en face de nous !
Elle eu un sourire triste mais répondit :
-Je suis celle qui a transformé Carlisle en vampire. Sa mère, comme il aime m'appeler.
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Toi. C'est toi qui m'es destinée.
Fiksi PenggemarFille de Seigneur, Aliénor avait une vie parfaite. Du moins en apparence........ Rarement véritablement heureuse, rêvant de liberté elle a l'impression d'étouffer. Et lorsque son père trahit la promesse qu'il lui a fait et lève la main sur elle, s'e...