Chapitre 18

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Aliénor et ses deux amis courraient dans les bois en direction de la villa Cullen

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Aliénor et ses deux amis courraient dans les bois en direction de la villa Cullen. Un loup surgit sur le sentier, grognant, dents a découvert, sur les vampires.
- Leah, c'est moi intervient Nora, Carlisle est à la maison ?
La Quileute grogna et disparue entre les arbres.
- Je prends ça pour un oui soupira Aliénor
- Aimable commenta Alexis
- Ça, c'est sûr répondit la vampire, mais on leur doit une fière chandelle.
Les trois vampires reprirent leur course à travers la forêt. La villa était en vue. Et Carlisle les attendait devant. Aliénor se jeta dans ses bras, et il lui rendit l'étreinte.
- Mère ! Nous avons réuni tous ceux que nous pouvions contacter. Merci pour ton aide. Qui est-ce ajouta-t-il en apercevant ses compagnons.
- Carlisle, je te présente Esteban, mon frère. Et Alexis, qu'il a créé il y a une centaine d'années.
- Soyez les bienvenus, j'aurais aimé vous rencontrer dans d'autres circonstances dit Carlisle en leur serrant la main.
- Aliénor nous a tout expliqué répondit son frère. Et je vous assure que rien ne me ferait plus plaisir que voir le visage suffisant d'Aro Volturi se décomposer.
- Suivez nous à l'intérieur, dans ce cas déclara Carlisle. Venez rencontrer Renesmée.
Ils suivirent le maître des lieux dans la salon, où le reste de la famille les attendait. Bella se leva et alla enlacer l'arrivante.
- Nora, il ne manquait plus que toi. Je vais aller chercher la petite.
Aliénor en profita pour présenter le reste de la famille :
- Voici Esmée, l'épouse de Carlisle et leurs enfants : Edward, également l'époux de Bella, Alice et son petit copain Jasper, Rosalie et son mari Emmet. Tout le monde, je vous présente mon frère, Esteban et son ami Alexis.
- Ton frère ?
Jasper était perplexe. Il ajouta :
- Je croyais que toute ta famille avait succombé aux Volturi.
- Je le pensais aussi. J'ai cru Aro... Ou plutôt Alec. Et j'ai commis une erreur.
Bella revient dans la pièce, portant Renesmée dans ses bras.
- Comme tu as grandi roucoula Aliénor
- Mamie, ce sont tes amis demanda la petite fille
Esteban éclata de rire
- Ouille, j'ai pris un vrai coup de vieux couina la vampire. Mais oui, ma chérie. Enfin... Bien plus en ce qui concerne Esteban. C'est mon frère, canaille.
- Donc j'ai un nouveau tonton demanda la petite
Les trois vampires éclatèrent de rire
- Oui, si tu veux répondit Esteban. Je comprends pourquoi vous vous battez pour elle dit il à sa sœur, qui sourit.
- Venez, je vais vous présenter à nos autres invités souffla Aliénor.
Et seulement quelques jours plus tard :
Carlisle et Alice rassemblèrent tous le monde.
- C'est l'heure. Ils arrivent déclara-t-elle
Bella prit sa fille dans ses bras et tous les suivirent jusqu'au champ servant à l'occasion de terrain de baseball. Aliénor regarda l'herbe verte, priant qu'elle ne se teinte pas bientôt de sang tandis que les loups arrivaient. En voyant Sam, la vampire fronça les sourcils, contrariée. L'Alpha inclina la tête vers elle, et elle lui rendit son salut. Enterrant ainsi la hache de guerre.
L'horizon se teinta de noir. Les silhouettes avançaient, de plus en plus nombreuses. Soudain, ils s'arrêtèrent. Et les trois anciens apparurent. Les prunelles bleues d'Aliénor croisèrent celles, écarlates et brillantes de convoitise, d'Aro.
Carlisle s'avança et pris la parole (je ne me souviens plus exactement des dialogues 😅) :
- Aro, vieil ami !
- Carlisle, si seulement je pouvais encore t'appeler mon ami déplora Aro
Aliénor gronda tout bas, outrée par tant d'hypocrisie. À cette instant, Alec leva la tête. L'inquiétude brillait dans ses yeux tandis qu'ils balayait les rangs des Cullen. Rosalie le remarqua. Elle donna un coup de coude à Emmet, qui tira Aliénor et son frère derrière lui. Alexis se positionna à ses côtés. La vampire les remercia du regard. Pendant ce temps, Edward et Bella avait rejoint Carlisle. Cette dernière aurait voulu qu'Emmet les rejoigne, mais en voyant qu'il protégeait déjà Aliénor et Esteban, elle fit appel à Zafrina. Aro déclara :
- Cependant, quel dommage que nous ne puissions savoir comment grandira cette enfant.
- Comment peut-tu te laisser avoir par un subterfuge aussi grossier rugit Caius
Aliénor voulu faire un pas en avant, mais Emmet la repoussa.
- Laisse moi y aller murmura-t-elle, il m'écoutera
- Hors de question répondit-il, c'est trop risqué
Leur manège n'échappa pas à Alec, qui s'écria :
- Aliénor !
Tout en faisant signe à Esteban de rester caché, elle s'avança. Démétri fit quelques pas vers elle, main tendue. Aliénor gronda, féroce. Il recula, surpris. Des flammes jaillirent des paumes de la vampire.
- Ne me touchez pas cracha-elle
Puis elle lança, moins agressive, aux frères Volturi :
- Moi, Aliénor d'Artois, me porte garante de la famille Cullen et de Renesmée. J'affirme qu'aucun crime n'a été commis et que tout jugement rendu ici a l'encontre du Clan de Carlisle Cullen serait abusif.
Les soldats la fixèrent, bouches bées. La tirade de la belle vampire avait eu raison de leur attitude froide et stoïque. Tandis que les Cullen arboraient de grands sourires.
Aro tenta de reprendre le contrôle de la situation :
- Cependant, nous avons reçu un témoignage qui...
Caius aboya :
- Où est notre informatrice ? Qu'elle avance !
Un des gardes poussa Irina en avant. Caius continua :
- Est ce bien l'enfant que tu as vu ? Celle qui parait plus qu'humaine ?
- Je... Je ne suis pas sure bredouilla Irina, complètement perdue, elle lui ressemble mais... elle semble plus grande que celle que j'ai vu.
- Si tu étais venue me parler Irina lança Bella, nous aurions pu tout t'expliquer.
- Pourquoi t'es-tu enfuie, mon enfant demanda Aro, plein de fausse compassion.
- Je... Lorsque j'ai vu le loup. Ils avaient tués mon ami. Et les Cullen refusaient de me laisser les punir.
- Ils ont donc choisi les modificateurs cracha Caius, plutôt que défendre l'ami d'une amie
Aliénor hoqueta d'indignation. Caius cherchait un nouveau prétexte !
- C'est ce que j'ai cru aussi murmura Irina
- Mon enfant enchaîna Aro, si tu souhaites déposer une plainte officielle contre les Modificateurs et les Cullen qui les défendent, c'est le moment.
- Non rétorqua Irina. Je suis navrée que vous vous soyez déplacés pour rien. Aucun crime n'a été commis lança-elle aux témoins des Volturi. Vous pouvez rentrer chez vous.

Toi. C'est toi qui m'es destinée. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant