Calm

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Je m'ennuie tellement. Je n'ai rien fait de la journée, j'avais personne à emmerder comme le dit certaines personnes dans cette maison. Je soupire encore puis me dirige dans la cuisine. J'ouvre le frigo, regarde le contenu longuement puis le referme sans prendre quoi que se soit(nda: qui fait ça aussi ?*∆*). En trainant des pieds, je retourne dans ma chambre et reprends le livre que j'avais entamée plutôt.
Soudain, j'entends une porte claquée, ce qui me fait sursauter en passant. C'est surement Klaus et il doit surement être en colére vu qu'il ne vient pas dans ma chambre.
Trois mois avant, nous nous disputions lui et moi donc je lui ai demandé de ne pas deverser sa colére sur moi ou sur une autre personne et de peindre à la place. Et aussi surprenant qu'il le soit, Klaus m'a écouté. Il n'y avais pas de régles me concernant donc aprés quelques minutes de reflexion, je décide d'aller le voir. Arrivée dans son atelier qui était grand ouvert d'ailleur, je m'adosse à la porte et croise les bras sur ma poitrine. Il étale rageusement la peinture sur la toile et donne des coups brusque de pinceau. Je ne sais pas s'il est entrain de se calmer ou pas, son expression ne change pas. Je me dirige alors vers lui, doucement, puis m'assois sur ses genoux. Il arrête instantanément tout mouvement puis glisse sa main libre dans mes reins. Il lache ensuite son pinceau qui tombe au sol et pose cette main sur mes cuisses puis plonge sa tête dans mon cou. Je caresse donc ses cheveux et le serre dans mes bras. Je sens qu'il est toujours tendu et que cette chose qui le rend vraiment en colére est toujours present alors je commence à chanter. Je sais, on dirait un gros bébé mais ce n'est pas tous les jours que Klaus est comme ça donc j'en profite et tant que cela le calme on est quitte. De plus, il ne me "vire" pas parce qu'il ne "veux pas me crier dessus". Je suis contente que les vampire ne peuvent pas lire les pensées. La pression sur ses épaules se relachent lentement comme de la glace qui fond. Je finis ma chanson tranquilement et reste toujours là où je suis. Personne ne parle, et ce n'est pas un silence bizarre. C'est juste Klaus et moi profitant de ce moment et de l'un de l'autre.
Je décale un peu sa tête pour le regarder dans les yeux. Je lui fais des bisous papillon sur tout le visage en lui repétant que l'aime à chaque bisous. Quand j'eu fini, je le regarde avec un grand sourire, satisfaite qu'il sourit un peu. N'oublions pas que c'est Klaus non plus. Il ne va pas nous faire un grand sourire. Il m'attire doucement par le cou pour un vrai baiser. Un millions de chose éclate en moi comme la premiére fois que ses lévres se sont posées sur les miennes même si on est ensemble depuis deux ans. On se sépare par manque d'air et il replonge directement sur mes lévres. Eh oh laisse moi respirer monsieur?!?. Je me mets donc califourchon tout en repondant à son baiser. Une fois bien installée, je me sépare de lui encore et ses mains se posent naturellement sur mes reins.

_ tu te sens mieux maintenant? Dis-je doucement en caressant son visage

_ beaucoup mieux, dit-il en posant sa tête sur ma poitrine et soupire longuement

_ parfait parce que j'aime pas quand tu es grincheux. Et tu as cette habitude de froncer les sourcils que quand tu es en colére et que je te regarde trop longtemps, j'ai envie de rigoler. Dis-je en gloussant.

Il léve la tête et fronce les sourcils comme je l'ai prédis et j'éclate de rire. Lui, il me regardent comme si j'étais folle avec un petit, minuscule sourire amoureux que j'arrive à voir. Je me calme petit à petit et le regarde dans les yeux en souriant. Alors il dépose encore délicatement ses lévres sur les miennes pour un doux baiser comme s'il avait peur de me briser.

_ je t'aime Klaus, dis-je dans un murmure. Mon front colé au tien

_ moi aussi, dit-il sur le même ton

_ je retire ce que j'ai dit trois plutôt. Je veux dire au lieu de t'enfermer dans ton atelier, viens à moi........j'ajoute face à son expression confuse.

_ ça semble être une bonne idée mais........

_ y'a pas de mais plus je viendrai à toi de toute façon en plus tu manque dés que tu sors de cette maison et je m'ennuie donc..........

_ ai-je le choix?

_ nope, dis-je en deposant un chaste baiser sur ses lévres et souris grandement.

_ d'accord ma douce, dit-il dans un soupire.

Je pense que je le fatigue mdr. C'est lui qui ne veut pas que je sorte parce ce que c'est trop dangereux et il a raison. Donc il n'a pas d'autre choix que d'accepter toutes mes demande. Traitement de princesse. Je baille puis me blottis à lui et entoure mes jambes sur sa taille. Comprenant ce que je voulais, il se léve avec moi accrochée à lui comme un koala. Il marche vers ma chambre et me dépose doucement dans mon lit et partit se changer. J'étais en pyjama toute la journée donc pas besoin. Il revient quelques minutes plutard sans t-shirt. Ohh, cet homme veut me tuer. Je jubile interieurement parce ce que j'ai le copain le plus beau et sexy. Dés qu'il se met sous les draps, je me cole à lui. Je léve ma tête pour reclamer mon baiser du soir. Comme si il ne m'a pas embrasser 15 minutes avant. Mais c'est pas pareil. Celui la c'est un rituel que j'ai moi même posé. Il me donne donc ce que je lui demande. Ce qu'il embrasse bien mon copain.

_ bonne nuit Klaus, dis-je en chuchotant alors que je commençais à somnoler.

_ bonne nuit ma douce........................,merci. Dit-il en me caressant. Je ne sais pas si j'ai bien entendu et je ne m'en préoccupe pas et m'endore directement.

Klaus était fasciné par la rapidité que sa copine pouvait dormir. Interieurement, il se sent vraiment chanceux c'est d'ailleur pourquoi il l'a remercie. Pour rester à ses côtés même si defois il est "grincheux" comme elle le dit si bien. Et il l'aime tellement mais le connaissant, il ne l'avoura jamais à voix haute.

recueil KLAUS MICKAELSONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant