Chapitre 31

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21 Septembre 1882


- Eh ! Vous en mettez-

Lorsque l'ami de Mason, Orion, entra comme un boulet de canon dans la pièce, je sortis de mes pensées. En réalisant la situation, je ne pu m'empêcher de me sentir embarrassé.

Mason, lui, regardait son ami, sans bougé.

- Eum... Orion ? Qu'est-ce que- Qu'est-ce que tu fais ici ?

La question de Mason sembla le déstabiliser.

- Je- Enfin... Euh... 

Il reparti comme une flèche dans la direction par laquelle il venait d'arriver.

Mason baissa la tête dans ma direction, faisant en sorte que nos regards se croisent.

- Euh- On devrait y aller, je pense.

En me libérant de son étreinte, les yeux de Mason me laissèrent penser qu'il était surpris.

- Allons rejoindre les autres.

Je le repris par la main, et cette fois-ci nous sortons de la buanderie.

Nous déambulons dans les couloirs de ma maison, entrant dans certaines des pièces en passant devant pour voir s'ils étaient là.

Il s'avéra qu'ils nous attendaient dans le salon. 

Seul Orion avait l'air gêné, peut être qu'il n'avait rien dit aux autres ?

Nous nous asseyons sur le canapé vers Simon et Frederick.

- Michael ! Regarde ce qu'on a trouvé dans ton frigo !

Simon me regarda avec un grand sourire en me pointant un gâteau sur la table basse.

- Pendant un instant j'ai cru que tu allais dire que vous aviez trouvé de l'alcool...


(Encore une fois, les initiales de chaque personnages seront indiquées à chaque dialogues (sauf dans le cas du personnage principale, aka Mike)) 


- Si : Ne penses pas qu'on a pas chercher ! 

- F : Je penses qu'après la dernière fois, tes parents ont pris des précautions.

- Ca c'est même pas passé ici la dernière fois !

- M : Mes parents ont prévenu tous les vôtres, tu t'en rappelles ?

- C'est vrai que dis comme ça.

En observant tous le monde se trouvant dans le salon, je ne pu m'empêcher de penser que nous étions beaucoup. 

Pas sur que les parents vont accepter autant de monde...

- Eum- Les gars c'est pas contre vous mais y a énormément de monde là. J'suis pas sûr que les vieux ils vont êtres d'accord, là.

- Ste : C'est vrai qu'on est beaucoup, sinon on peut aller dehors ? Y aura plus de place et comme ça on foutra pas le bordel à l'intérieur.

- J : Bonne idée.

- Simon, va ranger le gâteau où tu l'as trouvé.

Sur ce nous nous levons tous et nous dirigeons dans mon jardin. Nous nous positionnons en cercle, et Simon nous rejoins un peu après. 

Un silence se posa en attendant que quelqu'un ne lance le dialogue.

Quelques secondes après nous être installer, Simon se racla la gorge.

Tu es... Celui de mon rêve ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant