CHAPITRE 20 : Et de trois.

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PDV Alex.

Je ne sais pas ce que me cache Syra, mais il faut absolument que je le sache. Je ne sais même pas ce qu'elle a fait ce matin et en plus de ça elle nous ramène une sorte de punk super bizarre qui se trouve être une de ses amies. Alors je ne sais pas ce qu'il m'a prit mais je lui ait proposé de venir avec elle ce soir pour l'aider à trouver une autre personne. J'espère que ce n'est pas une personne comme Ynes. J'avoue que cette fille m'inspire de la méfiance. 

Cela m'a surpris que Syra accepte aussi facilement. Il faut qu'elle passe des test pour bipolarité.

Me voilà donc maintenant dans ma belle voiture avec Syra au volant roulant comme une dératée.

- Est-ce que j'aurais oublié de te demander si tu as le permis ? Demandais-je.

Je n'ai pas peur de la vitesse en voiture, mon gang et moi en faisons souvent et on gagne la pluparts du temps car on hésite pas à appuyer sur la champignon, mais la façon dont Syra conduit m'inquiète légèrement.

- T'es au courant que je n'ai que 17 ans ?

A ce moment là elle fonça tout droit sur une voiture mais finit par l'esquiver de peu.

- Je me coucherais moins bête, dis je.

Elle rigola et on s'arrêta devant un bâtiment. Je ne le regardais pas contrairement à Syra qui exprimait de la peur et de la tristesse face à celui ci.

- C'était vraiment obligé de s'habiller tout en noir ? J'ai l'impression qu'on va faire une effraction, dis je.

Elle ne répondit pas et je la regardais avec des gros yeux que je tournais ensuite vers le bâtiment qui se trouvait être un orphelinat. Je ne pense pas que l'heure des visite soit encore ouverte, ce qui confirme mon idée d'effraction.

- T'es sérieuse là ?

Syra me regarda et me fit un grand sourire.

- Plus sérieuse que ça n'existe pas .

Alors là, c'est clair, elle doit absolument faire partie de mon gang. Mais d'un côté je n'ai pas envie de l'embrouiller là dedans.

- Tu m'explique pourquoi tu veux cambrioler un orphelinat ? Demandais-je.

Elle commença à rire puis finit par me répondre.

- Oh tu sais là dedans il n'y a pas grand-chose à cambrioler. Enfin du moins, des choses.

Oh non, j'espère qu'elle ne compte pas faire ce à quoi je pense.

- Attend, attend, dis je, tu compte enlever une personne ?

- Libéré serait le mot exacte mais enlever marche aussi.

- Ah ouais, et tu m'explique comment tu compte t'y prendre ?

- Tais toi et suis moi, s'exclama t'elle.

Elle commençais à grimper sur le haut portail et moi comme un con je la suivais.

Une fois les pieds sur terre son sourire disparut.

- C'était ton orphelinat ici hein ? Devinais je.

- Oui.

On longea l'immeuble et Syra regardais par toutes les fenêtre dont la vue lui faisait disparaitre le sourire peu à peu et je crus même voir une larme mais je ne m'y attardais pas, trop curieux de savoir ce qu'elle avait bien put voir. Je m'approchais de la vitre et regardais l'intérieur et là... le choc. 

A heavy past.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant