A heavy past.

CHAPITRE 5 : te revoir est un cauchemar.

Bonjour bonjour, aujourd'hui je vous poste un chapitre largement plus long que les autres car je suis en vacance ( enfin ) et je pars faire du ski en savoie. Pour en profiter je vais donc éviter internet, alors dégustez bien ce cinquième chapitre !

La route avait été très courte. A peu près 10 minutes pour y aller. J'en conclu donc que je vais habiter proche de la ville.

En route Ava ne cessait de parler. Ne l'écoutant même pas je lâchai quelques « mmh » quand le courage me le donnait car la fatigue s'emparait de moi.

- Je vois que tu es fatiguée, c'est vrai qu'il est tard. Aaron est chez sa petite amie pour te laisser tranquille cette soirée, et Bennett devait être à la maison mais il a du aller à une réunion de dernière minute. Alors je te laisserai tranquille. Si tu le veux tu pourra aller directement dans ta chambre de prendre une douche et te coucher. Ta journée à du être longue. Surtout avec mes bavardages incessants.

Elle rigolait. « Je te le fais pas dire » avais-je envie de dire.

- Qu'a tu dis Syra ?

Oups, j'ai peut-être pensé à voix haute.

- Euh rien je disais juste qu'effectivement je suis fatiguée.

Me rattrapai-je.

- Ouf, pendant un court instant j'ai eu peur que tu te moquais de moi.

Waw. Cette femme est vraiment stupide.

- Oh non voyons j'oserai pas.

Je souris de toute mes dents, essayant de cacher ce dernier en plaquant ma main dessus.

On arriva enfin à un grand portail qui s'ouvrit. IL faisait nuit, et je ne pus voir comme était m'extérieur.

On rentra dans la maison. De toute ma vie je n'en ai jamais vue une aussi grande.

Tout était d'or, de grands escaliers à droite et à gauche montaient au troisième étage alors qu'un immense salon était posté devant moi.

Je resta la bouche entrouverte alors que le domestique d'Ava et Ava me demandaient de les suivre en prenant l'escalier de gauche. Ce que je fis après quelques secondes d'absences cérébrale.

Une fois à l'étage, elle ouvrit une salle où s'y trouvait une chambre.

- Je te laisse tranquille, dors bien.

Elle partit, non sans tituber par la fatigue.

Je posa ma valise petite valise en pleins milieu de la chambre et regarda cette dernière avec de grands yeux.

Un lit où un géant dormirait sans problème dessus était en plein milieu, un immense dressing en face et une petite fenêtre sur le côté, donnant accès à la vue de la maison voisine. Une porte se tenait aussi sur le côté.

Ayant complètement la flemme de forcer sur les yeux, je m'affala sur le li en étoile de mer et m'endormis.

Je me réveillai doucement, le réveil sur ma gauche ( ou plutôt ma droite si j'étais couché correctement ) indiquait 10h.

Je regardai ma chambre, puis me décidai à me lever.

Dur.

J'ouvris la porte que j'ai aperçu la veille.

A l'intérieur se trouvait une salle de bain, tout de blanc moderne. Elle était magnifique, mais plutôt flippante dans la catégorie « trop lavé ».

Tout à coup, une idée me traversa l'esprit : et si je me lavai ? Je sentis mes aisselles et hocha la tête pour acquiescer : effectivement, me laver parait une bonne idée.