L'ombre et La lumière

Chapitre 17 ♡

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Quelques jours plus tard...

Alors que je sortais de la bibliothèque, une main m'attrapa le bras, je tourne la tête pour apercevoir Tom.

Tom : Vient, faut que je te parle de quelque chose d'important.

Il récupère alors ma main et nous attire dans une salle vide, il ferme la porte derrière lui.
Il ouvre un livre et un autre.. il soupir et hésite à un instant puis me fais signe de regarder, je lis alors le contenu du livre..

Tom : Le but est d'introduire une partie de son âme après avoir commis un meurtre.

Je relève la tête vers lui.. une larme coule le long de ma joue.. il veut crée des Horcruxes pour devenir immortel, je sais qu'il a peur de la mort.
Il l'as montré lors de notre troisième année au cours de DCFM, il sais poser face à un détracteur, on as tous vus son corps mort mais la c'est de la folie !

Tom : Belladone, je sais c'est ...
Belladone : ... de la folie.
Pourquoi voudrais-tu faire une chose pareil, Tom ?
Tom : Je ne sais pas.. par envie d'immortalités, de pouvoir ou de simple fait que j'en es besoin.

Je ferme les yeux et me retourne vers lui.

Belladone : Tom ! Ce n'est pas seulement le simple fait de devenir un sorcier connu ou le plus puissant de la terre.. Tu parle de magie noir et de mort encore une fois !
Tu parle d'assassinats !
Je t'en pris.. je sais que tu as peur de mourir mais oublie ces idées, ce n'est pas de cette manière que tu pourra trouver la paix.
Si tu fais ça, tu risque de te briser encore plus.
Et d'une manière ou d'une autre.. on fini toujours par mourir.

Je replace une mèche bouclé qui retombé sur son front, il pose alors ses mains sur mes joues, j'aperçois alors une minuscule larmes au coin de son œil, je me permet de l'essuyer.

Tom : Je suis désolé, je ne sais plus ce que je fais ni qui je suis..
Je pensais trouver quelque chose qui me permettrait de me prouvais à moi-même que si je suis ici c'est pour accomplir quelque chose qui ferai de moi, un puissant sorcier.
Belladone : Tom, je sais que tu peux battre t'es démons parce que j'ai confiance en toi.
Dans cet sombre période, tu te battre, on vas la battre ensemble car je t'aime et je ne t'abandonnerais pas.
Mais promet moi, t'oublie ses dangereuses idées..
Tom : J'avais malheureusement déjà commencer, Belladone.. j'en es deux.. mon journal et la bague des Gaunt.

Je le regarde, il sort son journal et retire sa bague.. il me regarde longuement.

Belladone : Que comptes-tu faire ?
Tom : Je vais libérer et extraire les âmes des objets..
Belladone : Ce n'es pas dangereux ??
Tom : Cela fera beaucoup moins mal que de déchirer son âme. Il suffit d'avoir du remord ou le pensais très fort.. mais en tout cas, c'est promis Belladone.
Belladone : D'accord. Plus de promesse en l'air ?
Tom : Promis, je ferai tout pour toi.
Belladone : Tu deviendra un grand sorcier, j'en suis convaincu mais de manière légale et juste.
Je crois en ton bon côté.

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Je replace une mèche derrière son oreille puis l'entraîne dans une étreinte, caressent doucement ses cheveux.
Comment j'ai pu en arriver là ?
J'avais qu'une idée en tête, être immortel et tuer ceux qui n'avais pas le sang-pur.
Mais depuis quelques temps, cet idée ne me convient plus.. Si je fais tout ça, je vais perdre la seule femme, la seule personne dans ce monde qui m'aime et qui voit le bon en moi.
Je peux pas faire ça..
M'imaginer que Belladone m'abandonne me rendrai encore plus sombre que je le suis déjà.
Je regarde mes horcruxes.. je n'es aucun remords sur ce que j'ai fait à cet sang-de-bourbe et à mon moldu de père.. mais je sais comment faire pour enlever ses âmes.

Belladone se séparer de moi avec le sourire.. je préfère voir ce sourire que la voir pleuré et malheureuse.
Je me retourne pour ramasser mes affaires, je regarde une dernière fois les livres sur les horcruxe et la magie noir avant de les refermer et les donner avec détermination à Belladone.
Elle lance un regard perplexe.

Tom : Donne les a Dumbledore.
Je ne veux pas prendre le risque de replonger là dedans ou que quelqu'un d'autre tombe sur ses livres.
Dit-lui également de.. fouiller la réserve.

Elle hoche la tête et me sourit.

Belladone : C'est déjà une bonne volonté.

Je hoche la tête puis nous sortons de la pièce.
Belladone ce dirige vers le bureau de Dumbledore mais elle se retourne vers moi, intriguée.

Tom : Quoi ?
Belladone : Je me demander.. pourquoi avais-tu refermé le couvercle de la potion Amortentia ?
Tom : Je sentais une odeur de vanille, de sucre et de rose. Je crois que ça me sembler être ton odeur, non ?

La vanille pour l'odeur de ses mains, le sucre pour touts les bonbons qu'elle mange et la rose pour son parfum et sa fleur préférée.
Elle rougi légèrement ce qui me fais sourire comme un abruti encore une fois.

𝒫𝒹𝓋 / ℬℯ𝓁𝓁𝒶𝒹ℴ𝓃ℯ

Je lui sourit en me sentant rougir, je lui tourne le dos pour monté les escaliers et rejoindre le bureau du professeur Dumbledore.
Je toque à sa porte, il vient m'ouvrir avec le regard surpris.

Dumbledore : Belladone ?
Belladone : Tenez, monsieur.
Dumbledore : Ce sont des livres que tu m'avais emprunté ?
Belladone : Pas tout ta fait, monsieur.

Je rentre dans son bureau et referme la porte, il regarde les livres et écarquille ses yeux en me regardant.

Belladone : J'ai réussi à convaincre, Tom.
Il allais .. créé des horcruxes et utilisé la magie noir, il me l'es as donner pour que vous les détruisissiez. Plus personnes ne doit les utiliser, monsieur. De plus, il m'a demander que vous allez fouillez dans la réserve de la bibliothèque pour.. essayez de trouver d'autres livres de ce genre.

Dumbledore me sourit reconnaissant.

Dumbledore : Vous avais réussi, Miss Blackwell.
Belladone : On peut dire ça.
Dumbledore : Vous avais sauvée un futur mage noir, vous avais la bonté de votre mère.
Belladone : Monsieur.. est-ce que mon père..
Dumbledore : Oui Belladone, ton père a était comme Tom. Il voulais devenir immortel et voulais utilisé l'une des plus grande magie jamais excitée mais il a fais la rencontre de ta mère c'est alors que tout a changer pour ton père..
Belladone : Je savais qu'au fond mon père avais le cœur sensible.

Dumbledore me sourit puis d'un coup de baguette, il fis explosé les livres.

Dumbledore : Je vais allez moi-même retiré les livres de la bibliothèque, merci pour tout Belladone.
Belladone : Merci a vous, monsieur.