49. Famille

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(Sorry pour les fautes mes zamoureuses !)






Aaron

— On a perdu sa trace. Mais on a des hypothèses sur l'emplacement où il a pu se rendre. dit Anthonin en parcourant les données sauvegardées les plus récents.

— On doit effectuer des profondes recherches afin de le retrouver au plus vite, c'est un Rozzov, il disparaîtra vite. continua Lev en inspirant une bouffée de sa cigarette. T'en penses quoi ? prononça-t-il en se tournant vers moi.

Mes coudes étaient posés sur mes jambes qui effectuaient des rapidement mouvement, tapant le sol.

— Ce que j'en pense c'est que vous devez putains de vous dépêcher pour me retrouver ce batard au plus vite ! Vous ne cesserez de travailler que lorsque vous me le ramènerez ici, vivant ! crachai-je en me levant rapidement du bureau, balançant la chaise en arrière alors que des murmures se faisaient dans la salle.

— Aaron ! entendis-je Lev siffler.

Je ne lui répondis pas, me dirigeant vers l'ascenseur.

Ça faisait déjà un bout de temps que ces Rozzov me tapaient sur les nerfs. Et avoir perdu la trace de ce Vizelli alors qu'on l'avait sur la main me donnait des putains de pulsions meurtrières.

— Putain Bogdan, arrête-toi. Tu nous fais quoi là ? C'est pas de leurs fautes si le clochard s'est barré, tes hommes ne sont pas des robots, ils ont fait de leurs mieux je te signale ! dit-il en expirant la fumée qu'il contenait dans la bouche.

— Et bien c'est que tu ne fais pas assez bien ton boulot Lev. dis-je en pénétrant dans l'ascenseur, Lev derrière moi.

— Bogdan, tes hommes t'ont putain de suivit pour retrouver cette petite femme ! Certains d'entre eux se sont même sacrifiés pour cette petite suk-

Je ne le laissai pas terminer sa phrases que mes doigts se retrouvaient en train de fortement serrer le col de son costume, le dos violemment plaqué contre l'ascenseur.

— Ose ne serrais-ce que terminer ta putain de phrase, Lev. crachai-je entre mes dents, ma respiration devenant saccadée.

— Woh, woh, mec calme toi, lâche-moi. Exuse-moi, elle n'est pas une suk-

Mes poignets exercèrent une nouvelle pression sur son torse, le coinçant plus brutalement.

— Je veux dire..je veux dire..Bordel mec tu m'étrangle là ! cracha-t-il difficilement.

— Entraîne ces hommes plus durement et que ce genre de merdes ne se reproduisent plus ! crachai-je en le regardant droit dans les yeux avant de brutalement le lâcher et de sortir de l'ascenseur, retirant avec rapidité la merde de cravate qui m'étranglait.

Lev

J'attrapai mon cou et le frottait alors que je suivais un Bogdan plus que sur les nerfs dans la chambre où reposait la fille.

Ce fou avait une sacré poignée.

Nous entrâmes dans la chambre où se reposait Aksana et je m'adossais contre le mûr alors qu'Aaron se mettait à faire les cents pas dans la pièce, les poings serrés, la mâchoire contractée, les sourcils froncés.

Bordel.

C'était la deuxième fois maintenant que Bogdan réagissait comme ça, lorsque son père avait été assassiné, et maintenant.

BOGDAN (Mafia Book) [RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant