Bakugo x Reader (Mon Boxeur)

Chapitre 9

Point de vue de T/p

Je me réveillais tôt le matin, on était dimanche et j'avais une vengeance à accomplir. Quand on est rentrés hier du club de boxe, l'ambiance entre nous deux était un peu étrange, entre la taquinerie et de la tension. Nos deux autres colocs l'avaient bien remarqué mais n'avait pas osez poser de questions à notre plus grand bonheur.

Je me levais de mon lit et étira mes bras au dessus de ma tête, avant de me glisser dans le couloir, puis dans la chambre du blond. Je referma doucement la porte derrière moi. J'avais envie de me venger d'hier et du fait qu'il m'a réveillé beaucoup trop tôt. Je sais que monsieur aime bien faire la grâce matinée le dimanche matin, alors le réveiller à 5h est une bonne petite vengeance. Doucement j'allumais la petit lampe de bureau qui éclairé faiblement pour ne pas le réveillais maintenant. Puis je sautais sur son lit le faisant sursauter.

T/p : Aller debout Bakugo ! Aller ! Aller ! Debout !

Avec un regard encore bien endormi et un grognement rauque il me prit rapidement par les hanches me faisant tomber sur son matelas et laissant échapper un petit cris de surprise. Mon dos collé contre son lit et lui au dessus de moi, j'avais l'impression d'être une proie prise au piège. Ma petite vengeance c'est retournée contre moi. Ces yeux étaient carnassiers et l'aire de la chambre est devenu soudainement lourde et électrique. Ces mains entouraient mes poignées me laissant aucune possibilité de fuite.

Bakugo : Je te manquais à ce point pour que tu te glisse dans sa chambre de si bon matin ?

T/p : Pfff, je voulais juste me venger d'hier. Mais maintenant...

Bakugo : Maintenant tu es prise au piège... Si l'agneau ne veux pas ce faire manger par le loup il n'a cas pas rentrer dans sa tanière !

T/p : Je ne suis pas un agneau !

Bakugo : Oui c'est vrai tu es une petite chose...

Son regard était si intense que je ne pu même pas lui répondre, la boule chaude d'hier dans le vestiaire reviens dans mon bas ventre, tout comme les papillons dans mon estomac. Ses yeux glissèrent jusqu'à mon cou, le suçon qu'il m'avait fait était bien marqué, la marque était maintenant d'une couleur violette, un petit sourire arrogant ce dessina sur ces lèvres.

Bakugo : J'aime l'idée que ce soit moi qui t'ai marqué...

Mes joues prirent une couleur rouge, depuis peux j'avais compris à quel point le blond peut être possessif que ce soit avec ces affaires, ces amis ou encore avec moi.

Toujours avec un sourire sur les lèvres, il ce pencha vers moi pour déposer sa bouche sur la peau de ma clavicule, ces cheveux doux me chatouillaient le visage et je pouvais sentir qu'il me faisait un deuxième suçon. Étrangement je le trouvais très doux dans chacun de ces gestes comme-ci il avait peur de me faire mal. Il déposa ses baisers mouillaient tout le long de ma clavicule jusqu'à la naissance ma mâchoire. Puis son souffle chaud caressa mon oreille dans un souffle iratique. Je me tournais un peu vers lui, ces yeux étaient fiévreux. Il colla son front contre le mien.

Bakugo : T/p... Dit moi Qu'est-ce que je suis en train de faire ?

T/p : J'aimerai pouvoir te retourner cette question...

Bakugo : Dit moi d'arrêter s'il te plaît... Si tu ne me le dis pas, je ne pourrais jamais m'arrêter... Et tu peux me croire ce à quoi je pense actuellement te ferai rougir...

T/p : A quoi tu pense ?

Il avait réussi à piquer ma curiosité, même si je savais que c'était une question dangereuse. Et au vue de son regard ça l'étais. Il soupira profondément avant de répondre à ma question.