Bakugo x Reader (Mon Boxeur)

Chapitre 11

Point de vue de T/p

Je n'avais pas beaucoup dormis cette nuit, une boule d'angoisse était dans mon ventre, j'avais peur pour le contrôle de littérature moderne. L'angoisse était tellement intense, que sa m'a tenue éveillée une bonne partit de la nuit. Si mes parents apprennent que dans l'hypothèse que je loupe ce contrôle sa va être l'horreur, ils vont me piquer la plus grosse crise de ma vie. Comme-ci ma mère pouvais entendre mes peurs, je reçus un SMS d'elle. Pourquoi est-ce qu'elle doit m'envoyer un message dans un moment pareil ? 

📩: De maman

C'est bientôt les partiels, tu dois avoir de bonnes notes. 
Ne gâche pas tout ce qu'on a fait avec ton père. 
Nous ne tolérerons aucun échec de ta part. 

La boule d'angoisse dans mon estomac grossis d'un coup, quelques mots de ma mère et c'est encore pire. Tout ce que j'ai envie c'est d'être à ce soir et d'aller dans mon lit pour enfin dormir. Je me levais lourdement, avant d'aller chercher mes affaires dans mon armoire et alla m'habiller dans la salle de bain en espérant qu'une douche bien chaude me détende. 

Point de vue de Bakugo

J'étais en train de me faire un café avant d'aller en cours, quand la petite chose ce posa sur un tabouret, le visage livide, jouant avec ces mains nerveusement. La voir comme ça m'inquiète, je lui fis un chocolat chaud, et lui déposa sous son nez. 

Moi : Bois ça, sa te fera du bien !

Fébrilement elle pris la tasse dans ses mains avant d'en boire quelques gorgées, elle commençait à reprendre quelques couleurs. Je n'aime pas la voire comme ça, la voire aussi angoissée pour un simple contrôle ce n'est pas normale, à réagir comme ça son traumatisme doit être profond tout comme la peur qu'elle ressens envers ses parents. Elle m'avait déjà dit que ces parents lui mettait la pression, mais là ce n'est pas de la pression, c'est la mettre dans une cocotte minutes et attendre qu'elle explose. 

Moi : C'est dans combien de temps ton contrôle ? 

T/p : Dans une heure... 

Moi : Je t'accompagne, mon premier cours est dans une heure trente. 

Elle me remercia du regard, elle termina rapidement son déjeuner et moi mon café. On sortit tout les deux de l'appartement et on se dirigea vers la fac. Même si on était lundi il y avait déjà pas mal de monde sur le campus. On allait vers son bâtiment, quand elle s'arrêta net d'un coup, je me tournais vers elle pour voir une larme couleur le long de sa joue, sa me brise le cœur de la voir comme ça. Je lui pris doucement la main et l'emmena dans un coin tranquille sans personne autour de nous. 

Ses yeux étaient brillant de larmes qui perlaient le long de ces joues, avec mes pouces je les essuya mais elle ne ce calma pas. Puis je la pris dans mes bras, une de mes mains caressa ces cheveux, l'autre lui faisait des papouilles dans le dos. Elle pleurait à chaude larmes, et son corps était secoué par sa crise de pleure. L'avoir dans mes bras c'était une sensation étrange mais en même temps agréable. C'est au bout de dix bonne minutes qu'elle ce calma enfin, elle avait eu besoin d'extérioriser tout ce qu'elle ressentait. 

Moi : Tu te sens mieux ? 

T/p : Oui, merci... Désolée... 

Moi : Pourquoi tu t'excusez ? Sa va c'est rien, c'est normale de craquer parfois. T/p ne stresse pas autant, j'ai révisé avec toi quasiment toute la soirée, tu connais le cours par cœur, tu es prête pour ce contrôle. 

T/p : Mais si j'oublie... 

Moi : Tu n'oubliera pas !

T/p : J'ai envie de rentrer à l'appart...