Série "Still and Already" Tome 2 de la quadrilogie
✨27 ans et Célibataire✨
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Son divorce vient à peine d'être rendu officiel qu'un nouveau problème surgit. Un problème trop longtemps mit de côté. L'ombre de sa mère plane toujours autant et ses sec...
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Jour J !
— Alors, comment te sens-tu, Papsi ?
— Stressé, princesse. Comment je suis ? Y a rien de travers.
— Tu es parfait, Papa, dit Hermionne. Tu vas enfin être avec une femme que tu mérites. Alice est parfaite pour toi. Et puis, c'est pas la première fois que tu te maries.
— Merci de me le rappeler. Je vois à quel point je peux compter sur toi, râle mon père.
— Oups.
Je réajuste sa cravate.
— J'aurais vraiment aimé que tu l'as rencontre plutôt. Peut-être que nos vies n'auraient pas été autant chamboulées.
— Sauf que je ne vous aurais jamais eu. Malgré tout ce qui a pu nous arriver à cause de votre mère surtout cette année, vous restez la plus belle chose qui me soit arrivée dans ma vie. Vous m'êtes précieuses, mes filles. Vous êtes devenues des jeunes femmes intelligentes, belles, courageuses. Vous avoir auprès de moi me satisfait et je sais que je peux mourir en paix sachant que vous êtes toujours là. C'est le seul souhait d'un père. D'avoir ses enfants près de lui. J'ai raté des années de votre vie mais je suis heureux de pouvoir vous compter parmi celles et ceux qui seront témoin de mon union avec Alice. Peu d'enfants accepteraient de voir un de leurs parents refaire leur vie et vous avez été là pour moi et vous avez acceptées Alice de la meilleure des manières. Je vous aime de tout mon cœur, mes enfants.
Les larmes coulent et je me jette dans ses bras. Il me serre contre lui et dépose un baiser dans mes cheveux.
— Purée, mon maquillage ! Papa ! Fallait laisser ton discours pour plus tard.
— Laisse ton pot de peinture et viens pleurer un peu ! lui dit mon père en tendant la main vers elle.
Elle ravale ses larmes et sourit avant d'attraper sa main. Papsi nous enserre dans ses longs bras dans un câlin collectif. Hermionne essuie mes larmes et je fais de même. Je suis aussi heureuse de la voir comme père. Il mérite tellement d'être heureux. Personne ne le mérite plus que lui à mes yeux.
On entend toquer puis la porte s'ouvrent sur nos trois cousins.
— Dans cette famille, vous aimez trop faire des câlins sans moi, se plaint Julian.
— Juste en ouvrant la bouche, comme là maintenant, t'es repoussant, souffle Chris.
On hoche tous la tête sans exception.
— je suis vraiment le mouton noir de cette famille.
— Je dirais un âne après c'est pas une compétition tu sais, se moque ouvertement Elijah.
— Si vos âneries sont terminés, puis-je avoir un mot seul avec mon fils ? intervient Papi en apparaissant à la porte.
Julian s'apprête à vraiment dire une ânerie quand Papi continue en le fixant bien du regard.
