Ils se sont aimés mais se sont perdus de vue sans jamais cesser de s'aimer.
Ils vont finir par se revoir après tant d'années mais ils ne seront pas comment s'y prendre.
Ils seront forcés d'être ensemble pour les yeux des médias mais comment arrive...
Cela fait maintenant quatre jours d'Elvi habite chez moi. Je suis contente qu'elle ait accepté de rester ici parce que je pourrais pas si elle était allée chez ses parents. En parlant d'eux, sa mère avait vendu la maison et son père ne n'avons pas eu de nouvelle. Son père semble être une bonne personne malheureusement influencé par une mauvaise personne.
- Bonjour Pepi ! me dit Elvi en entrant dans le salon.
Elle vient vers moi et s'assoit sur le canapé avant de me faire un bisous sur la joue. Je crois que je m'y habiturai jamais.
- Bien dormi ? je lui demande. - Très bien et toi ? elle me réponds. - Avec toi toujours ! je lui dis en souriant.
Elle me sourit en retour avant de parler.
- D'ailleurs Pedri - elle commence - Demain je pars en vacances avec Ava ! Avec tout ce qui s'est passé ces derniers temps je pense que ça me fera du bien !
Je suis déçu, dans trois jours je pars à Tenerife pour voir mes parents, je lui aurais proposé de venir avec moi. Mais je pense qu'elle raison, elle en a besoin. Mais savoir qu'elle saura loin de moi pendant je sais combien de temps me fait mal. Je voulais l'avoir à mes côtés.
- Oh ! Pendant combien de temps ? je lui demande en essayant de faire un sourire qui ressemble plus à une grimace à mon avis. - Normalement une bonne semaine. me dit-elle simplement. - Et vous partez où ? je lui demande. - En Grèce ! me dit-elle toute contente.
Je souris, elle avait toujours rêvé de pouvoir aller là-bas. J'aurais aimé que je sois le premier à l'emmener en Grèce.
- Tu cours ce matin ? elle me demande. - Oui pourquoi ? je lui dis. - Je peux venir avec toi ? elle me répond. - Bien sûr Elvi ! je lui dis.
Quand nous étions ensemble nous courions beaucoup ensemble au bord de la mer.
- Super merci ! Je me prépare et on peut y aller ! me dit-elle en se levant.
[...]
Cela faisait à peu près une heure que nous étions partis et nous avions fait environ dix kilomètres même si en général je fais un peu plus, je trouvais ça déjà bien.
- Stop Pedri ! elle me dit derrière moi toute essoufflée.
Je rigole en voyant à quel point elle avait du mal à reprendre son souffle on dirait qu'elle est au bout de sa vie.
- Arrête de te moquer de moi Pedro ! On est pas tous des grands sportifs ici ! me dit-elle vexé à moitié. - Je n'ai rien dit ! - je dis en levant les bras de manière innocente - Ça va on a fait dix kilomètres ! Tu peux en être fière ! - dix kilomètres ? Je suis morte ! Je ne peux plus rien faire ! elle me dit en exagérant. - Allez viens ! Si tu veux on va boire un verre quelque part ! - je lui dis - Monte sur mon dos !
Elle n'y réfléchi pas deux fois et monte sur mon dos. Elle est tellement légère.
- Merci beaucoup Pepi ! elle me dit en me faisant un bisous sur la joue.
Je souris avant de nous mettre en route vers un bar.
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