Créatures

Chapitre 2 : Une étrange rencontre

Le Stridus s'était enfuit dans les couloirs, Sam était prête à tirer mais la créature partit par la ventilation.

- Il faut qu'on aille prévenir Régina. Informa Jake

Le groupe se rendit dans la cours et vit la directrice. Jake ouvra la discussion.

- Mauvaise nouvelle on  as perdu la créature. Dit Jake

- Pardon ! Ne me dites pas qu'elle se balade dans mon école !

- Malheureusement on n'en sait rien. Il nous faudrait les plans de la ventilation , le Stridus c'est échappé par la ventilation. Expliqua Jake

- On dirait des amateurs . Non mais franchement.

- Bougez-vous et donnez nous ce plan! Cria Sam

- Je vous conseille de baissez d'un ton. Répliqua Régina

- Au fait Régina que faisait cette créature dans une salle de cours est-ce que tu aurais un objet maudit ? Demanda Jake

- Alors j'ai effectivement trouvé un objet maudit mais je ne l'ai pas mis dans ma salle. 

Jake se mit à citer quelques objets maudits. Régina tiqua sur une chaise qu'elle venait d'acheter, elle était d'origine victorienne, elle venait de l'installer dans son bureau. Pendant ce temps Marcie utilisa sa magie pour essayer de sentir une présence. Elle ne trouva rien et en informa le groupe. Régina confirma.

- On as perdu la trace de la créature mais est-ce qu'on pourrait explorer l'école pour essayaient de trouver des indices.

La directrice accepta à condition de ne pas mètre la pagaille devant ses élèves. Le groupe se rendit d'abord sur le terrain d'athlétisme pour scruter l'école de loin. Les élèves étaient de plus en plus curieux et une petite foule commençait à s'amasser autours du terrain ce qui empêchait le travail de recherche du groupe. La colère montait en Sam, elle montait tellement qu'elle sortit son arme menaçant les élèves.

- Dégagez les morveux on doit bosser ! Cria Sam

- Bordel de merde pas encore! Dit Jake

La seconde d'après Jake utilisa un sort d'amnésie légère pour que les élèves oublient leurs visages car il savait que la police allait arriver d'une minute à l'autre, une arme feu dans une école suivit des menaces envers les élèves c'était évident que les professeurs ou même des élèves eux-mêmes ait appelés la police. Jake était en colère contre Sam, à cause de son geste ils allaient sans doute perdre la trace  de la créature. Surtout que ce n'était pas la première fois que Sam sortait son arme de colère provoquant l'échec de la mission. Chris essaya tant bien que mal de calmer la situation. Le silence gagna la voiture quand Jake eu une idée. En attendant la directrice utilisa sa magie pour dissuader le Stridus d'attaquer, pour le moment cela fonctionnait mais, elle savait que tôt ou tard Jake devrait revenir.

- On change de plan on va direction les galeries commerciales. Dit Jake

- Pourquoi ? Demanda Marcie

- Je connais quelqu'un qui vend des objets qui assez vintage, et la chaise peut correspondre à la boutique.

- Oui mais la chaise est possiblement maudite...Dit Sam

- Justement cet homme a déjà eu des soucis avec des objets maudits.

Sam acquiesça et roula en direction du lieu. Aujourd'hui il faisait beau les galeries étaient remplie, mais cela ne démotiva pas le groupe, ils allaient juste interroger le gérant de la boutique de vieux meubles. Une fois dans la boutique Marcie observa toute la pièce et elle compris les paroles de Jake.En effet la chaise correspondait bien à l'ambiance du lieu. Les salutations passées, le gérant reconnu l1 chaise grâce à la description de Chris. Jake pausa quelques questions assez banale. Au vu des réponses la chaise était bien maudite. Marcie fût surprise que le gérant parlait ouvertement du paranormal, mais en même temps si il connaissait bien Jake c'est qu'ils avaient déjà du collaborés ensemble, par le passé. Jake tiqua sur une phrase du gérant, apparemment une personne louche rôderait dans les galeries devant des boutiques anciennes et surtout devant sa boutique. Le gérant fit une petite description l'homme, il avait des cheveux plutôt foncés, devait faire entre 1m75 et 1m80 et semblait avoir les yeux marron c'était juste une supposition car le gérant ne l'avait jamais vraiment vu de près.