Chapitre 27 : Le départ sans nouvelle.

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CASSY MONERO :

Je ne m'inquiète même plus pour lui. Je suis juste déçue et énervée.

Il pense qu'à lui. C'est qu'un égoïste.

Ça me saoule de le voir dans cet état. Je ne veux plus jamais le voir comme ça.

Je décide donc de ne pas aller à l'entraînement.

J'ai fais demi tour et je vais au toilette pour attendre le prochain cours.

J'ai toujours dans mon sac une brosse à cheveux et une trousse à maquillage.

Je vais donc me refaire une beauté ça passera le temps.

J'arrive devant le miroir, je vois que j'ai de plus en plus de cernes. C'est évident car je dors de moins en moins.

Je remet de l'anti cernes, ça ne marche pas trop car au point où j'en suis je n'ai carrément plus de cernes mais des poches.

Je prend ensuite ma brosse à cheveux et je commence à me coiffer.

Je vois des poignées de cheveux tomber alors j'arrête directement et je me met à pleurer.

C'est dur de voir que je m'éteins petit à petit.

A cause de ce foutu traitement.

Il ne marche pas, il ne fait qu'empirer mon état.

Tout d'un coup je repense au mail que j'ai reçu.

Une clinique ma contacter pour que j'aille me faire guérir la bas.

Au début je ne voulais pas y aller par ce que elle se situe à Londres et il faut faire treize heure de vol pour y parvenir. J'avais pas envie de partir aussi loin mais plus le temps passe plus je me dis que j'ai pas le choix.

Je m'assoie contre le mur et je regarde les vols disponibles.

J'en veux un le plus tôt possible.

𓇽𓇽𓇽

Après dix minutes de recherche j'en trouve un demain à neuf heure.

Je n'ai pas le temps de réfléchir il faut que j'assisse, vite.

Je réponds donc au mail de la clinique et je leur dis que je serai là demain à 23 heure environ.

Je sors donc du lycée et je cours jusqu'à chez moi.

J'entre dans la maison essoufflé de ma course et je vois ma mère assise devant la télé.

-Maman j'ai accepté. Annonçai je encore essoufflé.

Elle se lève et se met en face de moi.

-Accepté ? Accepter quoi mon coeur ?

Mon cœur ?

-Pour la clinique, je pars demain matin.

Elle me regarde en souriant et me prend dans ses bras.

-C'était la bonne solution. Tu la dis à tes amis ?

-Non, je veux pas le dire, la plupart d'entre eux ne sont pas au courant et je veux pas leur dire.

-Tu fais comme tu le sens.

-Merci maman...

Elle me caresse la joue avec un sourire réconfortant.

Elle a changé depuis un certain temps, ça me fais du bien.

Je monte en haut et je fais mes valise.

Je repense à ma dédissions de ne rien dire à mes amis.

Surtout à Javon et Jaden.

love disease...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant