III

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PDV Mitch

Mes yeux me font mal, mon crâne aussi d'ailleurs. Depuis combien de temps n'ai-je pas dormi une vrai nuit de sommeil, depuis que je suis ici?

Je descends manger avec les autres, laissant Stiles un instant, avec sa poubelle entre ses mains.

- Mitch, tu devrais dormir...

Je me passe de l'eau dans le visage, pour me garder réveillé.

- si je dors, serais-tu en mesure de me promettre que tout ce passera bien?

Tous baissèrent les yeux, non, j'en étais sûr.

- Mitch, si tu ne vas pas dormir, va au moins prendre l'air de temps en temps.

J'hoche de la tête, mes frères... C'est bon de vous revoir, après tout ce qui c'est passé, j'avais besoin de revoir ce qu'il me reste de cher à mon coeur.

Je regarde mon assiette vide, ayant finit de manger, ça ne surprant pas.

- je te le promets.

je lève la tête interpellé.

- tu peux dormir, je vais m'en occuper.

- Thomas, c'est très gentil, mais...

- Mitch, tu dois dormir, c'est rendue une question de santé, va dormir, je m'en occupe pour la soirée.

Je le fixe un instant, puis je lui souris doucement en hochant de la tête, pour finir je me lève et dans l'encadrement de la porte je me retourne vers eux trois.

- si vous me chercher, je serai dans le salon, sur le divan.

Je les vois faire oui de la tête, par la suite, je vais dormir un peu.

Je me réveille en sursaut et accours à l'étage. Je ne le vois plus, où est-il? OÙ EST STILES?

Je fais le tour de la maison, Joël est dans son lit, Stuart est dans la même chambre dormant tout les deux. Je retrouve Thomas dans une marre de sang, dans la salle de bain.

- qu'est-ce qui s'est passer?

- ils... Ils ont enlevé... Gn.. Stiles.

Il tousse, avec mon aide, il se redresse.

- ils ressemblaient à quoi? Tu t'en souviens?

- Scott, c'était Scott.

J'hoche de la tête, puis sans vraiment de mal, je le transporte dans la chambre des deux endormis, pour plus de précaution.

- que vas-tu faire?

- retrouver notre frère et le ramener.

Je pars de la chambre, puis de la maison, pas de bonne humeur, ho que non, je ne suis pas de bonne humeur.

J'arrive chez ce dénommé Scott, où avec mon flingue je tire en l'air. Une femme en robe de chambre descend en courant, paniquée.

- mais qu'est-ce qui ce passe bon sang, ici? Stiles? Lâche cette arme!

Je fais non de la tête et m'approche d'elle.

- tu vas appeler Scott et me donner le téléphone après.

- mais... Mais... Qu'est-ce qui ce passe bon sang!

Je pointe mon arme vers elle, mon visage fermé de tout émotion. Elle sort son téléphone en panique, elle compose un numéro, puis me donne d'une main tremblante le téléphone.

- assis toi.

Rapidement, elle s'assoit à la table.

- maintenant tu te tais, jusqu'à ce que je te le dis, compris?

Elle hoche de la tête, je baisse donc mon bras, ne voulant pas faire d'erreur éternelle, plus que nécessaire.

- Maman? Maman tout va bien?

- Scott, ta mère n'a rien, enfin pour l'instant. Où es-tu?

- qui es-tu, où est ma mère?

Je tire par la porte ouverte, histoire qu'il entende bien le fait que je suis armé.

- maintenant ta gueule, tu vas me rendre Stiles sur le champ. Ma patience à des limites, et elles sont bien plus que dépassées à ce stade.

- je vais te dire où nous sommes, prête moi ma mère avant, je veux m'assurer qu'elle va bien.

- je peux t'assurer qu'elle va bien, mais je te préviens, si tu persiste à perdre du temps, elle n'ira pas bien.

Il me donna une adresse, une adresse que je ne reconnais pas. Je raccroche et redonne la boîte électronique à sa propriétaire. Pour ensuite rentrer les données dans mon map.

- qu'es... Qu'est-ce que vous aller lui faire?

Je tourne les yeux vers la femme, je ne répond rien et en laissant de l'argent pour les réparations des dégâts qu'a causé ma première balle, je pars sans un mot.

J'arrive au pied d'un immeuble, je quitte ma jeep après avoir réarmée mon arme de toutes ses balles. Je ne pris pas la peine de cogné et ouvre toutes les portes, absolument toutes les portes, jusqu'à temps que j'ouvre une porte où les gens à l'intérieur m'attendent de pieds fermes, je sus à ce moment que j'étais arrivé à destination.

- Stiles?

Je leva mon arme pour tirer aux pieds de la personne ayant prononcé ce nom.

- où est-il?

Un garçon bronzé arrive, mon frère dans les bras, ça doit être lui Scott.

- il ne va pas bien...

- tu crois que je ne le sais pas? Allez, donne le moi et je pars.

Il s'approche doucement de moi, mais avant même qu'il n'arrive à un mètre de moi je lui tire entre les deux pieds.

- je ne veux plus voir personne bouger, ici.

Je dis ça en tournant la tête vers la personne à ma droite.

- principalement toi, sinon tu vas voir ce que ça fait d'avoir une balle entre les deux yeux.

Je le vis glousser et se retourner pour partir, mais je tire juste à la courbe de son cou.

- qu'est-ce que tu ne comprends pas, dans le fait de ne pas bouger?

J'avance jusqu'à mon frère que je mis sur mon dos d'une main vive. Toute en partant je retire sur quelqu'un le vieux au sale sourire.

- je peux savoir ce qui te fais sourire, vieil homme?

- rien, mais avant que tu partes, je peux avoir ton numéro?

Ça ne fut pas long que sa cuisse était ensanglantée et qu'il se plia de douleur. Pendant ce temps Stiles me vomis dans le dos. Je les laissa après.

Quand je rentra à la maison, tout le monde était réveillé, enfin, je ne vois pas papa, dans le lot, mais ce n'est pas plus mal.

- Thomas est dans la chambre, il dort, sa tête s'est pris un méchant coup.

Je monte dans la salle de bain où je mis le malade dans la baignoire.

- je vais prendre une douche, nettoyez le.

Je descends à la salle de bain du rez de chaussée, où je pris une douche bien chaude, pour enlever la senteur de vomi qui me colla après.

Les frères StilinskiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant