XVI

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PDV Joël

Combien de temps se sont-ils écouler depuis que je suis sortie de cet enfer? Où suis-je, j'entends des reprirations, mais contrairement au gagnant, ils semblent si calme, de plus une lumière pénètre sous la porte, j'ai l'impression d'être libre, enfin.

- Stuart réveille toi, c'est l'heure.

Mes yeux laissent tomber des larmes, c'est la voix de Mitch, il nous a seccouru...

Les minutes passent que je ne soit en mesure de bouger autres chose que mon haut du corps en plus de mes hanche et de mon bassin.

La porte s'ouvre d'un coup sur Mitch, qui s'arrêta net.

- tu... Tu es réveiller, ça fait plaisir.

Mes pleures se multiplis et je tends mes bras vers lui.

Mitch vient me prendre dans l'un de ses bras, mon grand frère est trop fort. Avec le second il seccout Stuart dans tout les sens.

- aller c'est l'heure.

Sans résultat, Mitch le prends dans son second bras et le traine à la hauteur de ses hanches.

- je suis désolé... D'être un fardeau.

Il embrasse ma joue toute trempée avant de descendre les dernière marches. Thomas est là, devant nous et en me voyant, il sourit, je ne vois plus rien, mes larmes m'en emêchent.

- je vais t'aider, donne le moi.

Je me fais transférer de bras et donc pleure sur l'épaule de mon aîné. Il s'assoit sur une chaise et tends la seconde partie du corps vers le centre de la table.

- comme ça Joël est réveiller! C'est une belle journée qui commence.

- oui.

J'entends la voix de papa, mais je ne le vois pas, la voix de Stiles aussi est présente, cependant, pour son apparence, c'est la même chose que pour le paternel.

Je me calme peu à peu, pour voir tout le monde réunie autour de la table, tout à son propre niveau d'éveille, Mitch au plus haut et... Stuart au plus bas, sa tête lévite au dessus de sa toaste, on se demande tous comment elle fait pour ne pas tomber dessus.

Mon sourire revient peu à peu.

- où allez-vous?

- on continue de faire des chose pour la rentrée, la votre est demain, Stiles doit partir au lycée et papa au travail.

J'hoche de la tête, c'est impressionnant de savoir comment le temps passe vite.

- je veux venir aussi.

- tu veux aller où?

- à l'école?

- oui.

Ils me regardent tous comme si je venais de dire l'impensable. Aucun d'eut ne lève la tête pour me regarder, mon coeur me fait tellement mal, je suis vraiment le pire des frères, mes larmes reviennent.

- je me porte volontaire pour lui faire la réaducation de ses jambes!

Stuart à crié, avant de se manger une énorme claque derrière la tête.

- rêve toujours que tu vas le faire! Tu te souviens de ce qu'il s'est passer quand je ne pouvais pas me lever?

- bha oui, mais...

- il n'y a pas de ''mais'', il est hors de question que l'on laisse Joël avec toi, pour une quelconque réaducation.

Il fait la tête avant de continuer de manger.

- je vais l'aider.

Je regarde Thomas les yeux larmoyant.

- merchi.

- pleures pas pour ça, c'est normal.

Il me pose sur le divant un instant, puis une heure à peu près, après, il reveint.

- essaye de bouger les jambes.

J'essaye, j'essaye vraiment, mais rien ne bouge, lorsque je regarde les yeux de mon aîner, non concluant, mes pleures reviennent.

- écoute Joël, ne pleure pas, tu pourras pleurer quand on aura réussi.

J'hoche de la tête et essuis mes larmes avant de me faire soulever dans les airs.

- réessaye.

Je le fais et quand je vois ses yeux reprendre de l'espoir, je me retiens de verser une larme.

Il me pose sur le sol, cinq secondes... c'est le temps que ça pris avant que je ne tombe dans les bras de mon aîné.

Stuart vient se poser sur le divan et me regarde fixement, venant de lui c'est rare qu'il regarde quelqu'un de cette façon.

Enfin, il a plutôt l'air dans la lune durant quelques minutes, pour qu'après il se retourne, dos à nous, coucher sur le canapé.

Toute la journée j'avais fait ça, je réussissais à me tenir et à marcher, lentement mais sûrement...
J'y suis enfin parvenu.

- finalement, il se pourrait bien que tu puisses retourner au lycée avec tes frères demain.

Je pleure de nouveau, j'ai réussi, j'ai réussi!

Stiles me prend dans ses bras et papa nous rejoint pour une longue étreinte d'encouragement.

Le repas se passe bien, bien meilleur que jamais, enfin, de toutes les fois dont je me souviens. C'est agréable de nous retrouver comme ça.

Les frères StilinskiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant