XVII

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PDV Stiles

On arrive dans ma Jeep à l'établissement scolaire, pour se rendre au bureau du directeur, Joël un peu à la ramasse, mais pressé pas moi-même qui est trop excité pour ne pas l'être.

Je les laissa là avant d'aller voir mes amis, toujours aussi content.

- revoilà notre Stiles que l'on connaît, tu vas bien?

Scott me prend dans une accolade fraternelle sous ma réponse positive, puis ce fut le tour de tout le monde, tous ont appris que j'étais finalement malade et donc, mon état émotionnel était au plus bas, enfin... Vous voyez le genre, je ne pouvais pas vraiment le leur dire que c'était Joël et pas moi.

On va dans le local de classe tout en parlant de tout et de rien, j'espère juste que tout ce passera bien pour mes frères, ils ne sont pas les plus sociales, alors je me fais un peu de soucis.

Dans la classe d'histoire, tout le monde est là, tout le groupe, même Théo, les jumeaux et Jackson.

- nous accueillons un nouvel élève, il s'agit du jumeau de ce si agacent Stiles, en espérant qu'il soit moins chiant, procurer lui un chaleureux accueil.

Je pousse me mets au fond pour qu'il soit devant moi et lui fait signe de venir.

- si ça peut le calmer, va donc où ton frère est...

La professeur soupire bruyamment, même d'ici on l'entend, mon frère marche avec précaution dans les rangers, tout en évitant parfaitement les regards des autres.

Il s'assoit sans bruit et baisse la tête. Joël n'est pas vraiment un modèle de personne sociable et interactive. Dans un lieu tel que l'école, je me demande bien comment il a fait pour survivre lorsqu'il a pris mon nom.

- Stiles tu recommences à sentir le... Ho... Rien...

Étan qui se retournait en même temps de parler, se tue immédiatement en se retournant vers l'avant. Joël releva la tête à mon prénom, s'il se met à réagir à mon nom, on va avoir un problème...

Pendant tout le reste du cours, mon frère regardait l'extérieur d'un air pensif, je dois dire que comme ça il pourrait rendre de suite la pluspart des filles et quelque garçons fou de lui. En particulier Danny qui le fixe de façon baveuse de son bureau.

Je tire sa chaise vers l'arrière, de un parce que je n'ai rien à foutre, de deux il me semble un peu trop paisible pour quelqu'un qui se trouve dans un lycée.

- après on est en édu, tu crois que tu seras correct?

- obligé?

- on peut prétexter que tu as un problème médical qui t'en empêche.

- hum.

Je le lâche une fois la discussion terminée, tout comme Mitch, tout les Stilinski ont une chose qui font que les conversation sont terminées, celui de Joël est de ne plus répndre avec des mots, à partir de ce stade, si on continu de lui parler il va prendre doucement ses distances jusqu'à partir. Le mien c'est simple, j'aime parler, j'aime être dans l'action, alors quand je n'aime pas la tournure que prend la conversation, je change de sujet d'un coup, m'en foutant si c'est discret ou pas.

Il nota quelque chose sur un papier qu'il garda pour lui, puis quand la cloche sonna, je l'attends, laissant mes amis partir devant.

Il ne se pressa pas, mais sachant que je l'attendais il se dépêcha quand même un peu.

- désolé, de te faire perdre ton temps.

- pas garve, je vais te montrer où se trouve le vestiaire.

Après avoir été au case et franchit un obstacle très gênant pour mon frère, soit les corps peu habiller de mes camarades de classe, il me demanda s'il pouvait rester seul avec le professeur.

- tu veux que j'écoute pour toi?

- non, c'est bon.

Il ressort du bureau, la tête basse et va directement dans les gradins à l'extérieur. Je me demande de quoi ils ont parlé pour que mon frère réagisse comme ça.

PDV Joël

Stiles court un peu partout, je ne sais pas quel sport ils font, mais courir autant me montre que ce n'est pas pour moi, sans attendre, je commença le devoir du cours d'histoir, il n'est pas long, mais je ne veux pas avoir à mettre du temps sur ça à un autre moment.

Pourtant de temps en temps, ma concentration, déjà pas bien exigeante, ce trouvais dans un état pratiquement nul, comme si quelqu'un me regarde si fixemment que mon âme en est pénétré... C'est troublant, mais je n'ose pas relever la tête.

Stiles des fois, par moment où je regarde dans le terrain pour savoir s'il va toujours bien, me fais un beau sourire et me fais de grand geste du bras, ce dernier, je ne lui rends pas, mais le sourire, je lui en fais un avec joie... Enfin, un sourire, ça reste à voir.

Je quitte silencieusement les lieux une quinzaine de minutes avant la cloche de midi, je me trouve dans un coin que je saurais tranquille une fois celle-ci pleine.

Stuart fut le premier ici avec moi, son regard était terrifier avant de reprendre un indiférance qui lui était propre.

- tout va bien?

- je ne pensais pas qu'il y aurait autant de bruit dans une si petite école de coin isolé.

J'hoche de la tête, lui disant que moi ce matin, j'aurais du avoir sport, mais mon état m'a permis de manquer celui-ci.

- je suis totalement perdu, je connais absolument personne.

- mais oui, tu connais Liam?

Stiles s'est installer, suivis de ses amis. Notre jeune frère, de nouveau sur son si précieux téléphone ne fais qu'un bruit de questionnement. Je sais qui est Liam, mais je ne le connais pas très bien, je ne sais que quelques petites choses sur chaque personne ici présentes, des petites choses appris durant une semaine et une petite soirée.

- bah oui, le petit blond avec qui Thomas a dormi dans son lit.

Thomas le frappe à la tête et pas qu'un petit coup, mais de quoi il parle? Thomas a dormis avec quelqu'un, quand?

- c'était le jour de la libération, abrutis.

On voit mon frère avoir un gros frisson, quand à moi, je ne fais que baisser les yeux, je ne me souviens pas de ce fameux jour: le jour de la libération, mais je me souviens de tout ce qui s'est passer avant... Je ne peux pas leur en vouloir, je ne veux pas qu'ils marche sur des pierres précieuse quand ils me parlent...

La porte de la cafet s'ouvre brutalement, ce qui porta mon attention dessus, sans même me retourner.

- ELLE A GAGNÉE!

Un énorme frisson me prend, du vomis me monte à la bouche, duquel j'arrive à le stopper avec la main. Les yeux écarquillés, mon cerveau en ébulition, je me mors la vers inferieur avec tellement de force que du sang prire place dans ma bouche et une goute sur mon menton. Je sens mes cuisses se redirent et mes yeux voir flou... Ma chair me brûle, c'est insupportable...

Les frères StilinskiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant