PDV Stuart
Aujourd'hui, Stiles s'est levé, enfin, juste un moment... Puis il est retombé sur le sol de la cuisine, comme une merde, je l'ai regarder, se tortiller sur le sol un bon moment, le prenant en vidéo, pour me souvenir que malgré toute la merde qui s'est passer cette semaine, quelque chose de bon en est ressorti. La stupidité de mon frère, prouvant qu'il s'en était bien remit. Enfin, selon moi.
- Stuart! Mais pourquoi tu ne l'aides pas?
Joël le relève et le fais s'asseoir sur une chaise de la table. Ce dernier me dévisage un instant, avant de faire la vaisselle du encore malade.
- Thomas est aller chercher une chaise roulante, comme ça on va pouvoir aller dire bonjour tous ensemble à papa.
Je soupire, papa, c'est pas sérieux, il nous a refilé son fils, pensant qu'il allait mourir, pour ne pas avoir à gérer la situation en face, tout en prétendant ne pas pouvoir rester. Quel boulet comme père.
- vous voulez vraiment y aller?
- oui, pourquoi? Papa s'est beaucoup inquiété pour lui.
Je lève les yeux de mon téléphone, pour regarder froidement notre frère.
- et tu as entendu ça où? Si tu dis ça juste par principe que c'est son père et que par défaut il doit constamment s'inquiéter pour son fils...
- Stuart, il est notre père, à toi, à moi et à tout les autres.
Les deux autres entre dans la pièce, curiosité mal placé je présumes.
- c'est sans moi, à et en passant, tant que vous allez être là-bas, demandez lui pourquoi il n'est pas une seule fois venue rendre une visite à son seul fils avec qui il est sensé avoir le plus d'affinité.
- Stuart, arrête...
- il n'est pas... Venu me voir.
- pas juste toi, il n'est pas rentré depuis le jour où on est arrivé.
- Stuart ça suffit.
Je me tourne vers Mitch, puis repose mes yeux sur le dit malade.
- même Mitch a plus agit en t'en que père que lui.
Je quitte la pièce en contournant tout le monde pour aller dans la courre arrière de la maison. Sur laquelle je prends appuie et me laisse descendre. J'ai mal au crâne. Rapidement je repris mon téléphone et mes écriteaux. Un moment passa, avant que je ne rentre.
J'arriva dans le salon, non sans pour autant écouter et noter ce qu'il se passe dans la cuisine.
- tu as fais qu! Kof kof.
- j'ai pris ta place pour l'école, mais ne t'inquiète pas, ils n'ont presque rien remarqués!
- quant à moi je leur est demander de dégager, et ils m'ont assommé pour te kidnapper.
- Mitch...
- j'ai peut-être brutalisé tes amis et leur parents.
- comment ça?
- déjà, j'ai menacé la mère du certain Scott McCall au fusil, en plus d'avoir fait un trou dans le plafond du rez de chaussée, puis j'ai débarqué chez je ne sais pas trop qui, j'ai tiré pas mal de balles dans le sol, et une à un vieux, dans la cuisse, surement le grand-père de Scott.
- t'es pas sérieux?
- j'étais fatigué, épuisé, en colère, ils m'ont cherché et je les ai trouvé, ce sont des risques à prendre.
Il croisa les bras, ce qui signifiait que c'était la clause de la discussion. Moi-même j'ai du mal à croire ce que j'entends, est-ce qu'il a vraiment fait ça?
- ha mais au fait, Scott...
- Stiles, arrête de parler.
- n'a pas de grand-père.
- Stiles, tais-toi.
- et puis, comment ça ils m'ont kidnappé?
Même de dos à eux, je peux sentir l'aura grandissante de Mitch, une aura prouvant que se dernier, n'est pas content du tout que Stiles en rajoute toujours un peu plus à chaque fois qu'il ouvre la bouche.
L'aîné de la fratrie, fait demi-tour pour partir, d'après moi ça ne lui a pas plus que notre frère est renchérit...
- finalement, vous y allez toujours, chez papa?
Joël me regarde méchamment une seconde fois, mais je m'en fou lourdement, mon visage collé à mon téléphone, tout en replaçant mes lunettes sur mon nez.
Je me leva du divan, sans dire un mot et retourna à l'extérieur. Il fait beau, dans un sens, c'est du gâchis de rester enfermer dans la maison, alors je vais aller pianoter dans un parc en pleine air.
- Stiles, je suis désolé pour il y a trois jours, je ne pensais pas à mal...
- hum...
Je ne lâcha pas mon téléphone des yeux, écrivant à l'aide à ma petite bande de frères, qu'ils viennent me chercher... Ils y a les kidnappeurs de mon frère, juste là... Je fais quoi, je fuis? Non mauvaise idée, un enfant de cinq ans va plus vite que moi, ils me rattraperont à coup sûr. Je fais semblant d'être Stiles? Non plus, je ne les connais pas du tout, pas même leur nom, je vais me faire repérer... Mais si je reste sur mon téléphone, aussi je vais avoir l'air louche... Que faire?
- Stiles tu portes des lunettes maintenant?
Je pars en courant, les contournant, n'importe qui peut me rattraper, mais pour mon plus grand soulagement, personne ne tente de m'arrêter ou même de me poursuivre, je du quand même m'arrêter au coin de la rue pour reprendre mon souffle. Après, près de deux minutes je me remets à courir du mieux que je peux... Enfin, c'est ce que je dis, mais c'est sans doute pas ce qu'eux voient de moi.
Je rentre à la maison suite à plusieurs poses de quelque minutes pour reprendre mon air complètement perdu.
- tout va bien?
- ils... Ils étaient...
Je pose ma main sur mon torse, je crois bien que je vais mourir, à la place j'envois finalement le message à mes frères, n'ayant pas eu le temps plus tôt...
On entend une personne descendre comme une furie les escalier et prendre sa batte de baseball. Avant de s'arrêter sur moi, a qui on a du venir apporter une chaise, sous peine que je tombe à cause de la faible force de mes jambes, déjà pas forte de base... Oui je l'admets, je suis le plus faible de toute la famille, il n'y a pas plus faible.
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Les frères Stilinski
Fanfiction- Stiles, tu es sûr que tout va bien? - Stiles, tu ne me reconnais pas? - mais qu'est-ce qui ce passe bon sang, ici? Stiles? Lâche cette arme! - Stiles tu portes des lunettes maintenant? Qui est vraiment Stiles? Un meurtrier? Une armoire à glace? Un...