- La belle vie ! dit-il en croisant les bras derrière la tête, s'imaginant une belle vie d'écrivain, dédicacé par ses fans de ses best-sellers. Quand il se fit interrompre par le violent claquement de sa porte.
- C'était quoi ça ! dit-il en se levant brusquement de son siège, regardant sa porte droit devant lui. Aucun bruit n'était présent à l'extérieur de sa chambre, commençant légèrement à paniquer.
- Q... qui a claqué la porte ? dit-il sans que personne ne réponde. Il pensa qu'au premier abord, cela devait provenir de la fenêtre du salon, mais pour en être sûr, il devait s'approcher de la porte, mais n'ayant pas eu le courage, il recula aussitôt.
- Il... il faut que j'aille voir ce qu'il y a derrière la porte ! dit-il avec courage.
- Non ! C'était beaucoup trop violent, d'une manière dont elle s'est fermée !
- Pourtant, il n'y a personne à part moi... maman, papa, Fabien et Makayla.
- Qu'est-ce que j'aurais fait dans une de mes histoires ? dit-il en se rassurant et se ressaisissant. - J'aurais franchi la porte et combattu le vilain... mais là, c'est la réalité... c'est encore plus complexe !
Marc n'avait pas d'autres choix que d'avancer vers la porte.
Maintenant droit derrière la porte, restant fixé derrière la porte, le cœur battant, il ne disait plus un mot, devant ouvrir la porte... d'une certaine manière.
Il prit la poignée de la porte, l'ouvrit en y plaçant son bras entre les deux intersections qu'il y avait pour savoir si cela devait être un courant d'air ou autre chose.
- Non... il n'y a aucun courant d'air ! dit-il avant qu'un énorme courant d'air refroidisse son et lui fit prendre de la peur, reculant de plusieurs pas, la porte se refermant seule devant lui, le laissant sans voix.
- C'est... c'était quoi ça ! a-t-il dit la voix tremblante et paniquée de ce qu'il s'est passé. Un courant d'air était bel et bien passé en une fraction de seconde.
Marc commençait alors réellement à être effrayé par la situation. Il ne savait quoi faire que de rester planqué loin de la porte.
- Non... il y avait vraiment quelque chose !
Il devait se ressaisir et prendre son courage à deux mains. Il marcha petit à petit, franchissant la porte, tenant la poignée de la porte, l'ouvrit tout doucement, quand soudain un bras d'une couleur d'un blanc pâle surprit brusquement Marc qui se mit à crier de toutes ses forces, tombant en reculant tout en rampant au sol, le corps tremblant.
- Q... qui est là ! dit-il en criant de peur, tremblant de tout son corps.
La porte s'était élargie, voyant un drap blanc traîner au sol, pensant donc que quelqu'un s'était introduit chez eux.
Doucement, Marc se leva pour se rapprocher de la porte de sa chambre, l'ouvrit et vit son petit frère passer instantanément allant d'un couloir de leur appartement.- Fabien... où est-ce que tu vas ! dit-il, le cœur battant.
La fenêtre s'ouvrit, ce qui poussa alors les rideaux dans les airs, Marc regardant la scène et marchant en direction de la fenêtre pour fermer celle-ci.
Regardant par la fenêtre, sans pour se rassurer et reprendre ses esprits sans se douter de ce qu'il y avait derrière lui.Il entendit le même bruit de drap, quand il se retourna brusquement et qu'il vit un drap blanc longer le couloir qui menait à la chambre des petits, des parents et de la salle de bain.
Il regardait fixement la scène pendant quelques secondes avant qu'il ne se mette à marcher pas à pas vers le couloir, apercevant son petit frère passer vers la salle de bain de façon fantomatique.
Marc se mit à marcher prudemment mais aussi de peur de ce qui pourrait se cacher.
- Makayla... Fabien, est-ce que vous êtes là ? dit-il à voix basse et apeuré.
Au fur et à mesure qu'il marchait, il entendit une porte s'ouvrir derrière lui.
C'était la porte du placard. Pris de peur et ne sachant quoi faire malgré tout, il se força à avancer et à prendre son courage à demain. Maintenant près du placard, il prit la poignée de la porte, l'ouvrit et se mit à crier de ce qu'il a vu à l'intérieur.
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Maria : La Malédiction De La Dame Blanche [ CHAPITRES INTÉGRALE ] [ CORRIGÉ ]
Mystery / ThrillerEn 1839, en pleine forêt se trouvait une maison un peu au beau milieu de nulle part, une belle femme vivait paisiblement avec son mari et ses deux beaux enfants. Jusqu'au jour où un grave incident familial c'est passé... 168 ans plus tard un jeune e...