-Chapitre 9- / séquence alternative.
Partie 2.
— Maria vult habere you... dit-il sans vraiment savoir sa signification. Il atteignit la dernière marche d'escalier, devant lui se trouvait un long couloir sombre. Un interrupteur se trouvait en face d'un mur à quelques centimètres de lui, il alla en sa direction pour l'allumer, et à sa plus grande surprise, le lampadaire se montra fonctionnel.
— Mais... c'est démentiel, pendant 168 siècles, ce lampadaire fonctionne toujours ! dit-il en fixant l'objectif lumineux (le lampadaire). Hélas, même si le lampadaire avait vécu pendant ces dernières années entières, celui-ci n'hésita pas à faire quelques clignotants à répétition.
— Du coup ! s'exclama le jeune homme, qui est-ce qui voulait me voir ou... m'aurait connu auparavant. À sa droite se trouvaient deux portes – potentiellement les chambres des deux garçons. Il fit quatre pas avant que la porte gauche de la droite ne se mit à s'ouvrir lentement, Marc mit ses deux mains au niveau de ses oreilles vu le bruit qui émanait de la porte (des grincements de porte).
— Quelqu'un est là... qui est-ce qui voulait me voir ? Veuillez vous manifester s'il vous plaît ! s'exclama Marc, le regard un peu éparpillé. Il s'approcha alors de la chambre de gauche là où la porte s'était entre-ouverte, il pencha alors sa tête dans l'interstice de la porte. Il vit en premier l'un des lits des deux jeunes garçons, un meuble poussiéreux se trouvait à côté ainsi que le placard à vêtements et des jouets éparpillés au sol. Lorsqu'il entendit trois coups de la chambre opposée.
— Bonjour ! Qui est-ce ? dit-il d'un ton sarcastique et paniqué, encore trois coups retentirent. Il sortit, avant de marcher pas à pas en direction de la porte droite, plus Marc marchait plus il ressentit des frissons le long de son corps – de son corps jusqu'aux dents.
— Oh mon dieu ! s'écria Marc élevant le ton, je déteste cette foutue sensation. Il fut de plus en plus près lorsque la paume de sa main prit la poignée de la porte l'ouvrant brusquement pour y découvrir les deux garçons ensanglantés tête baissée.
Une véritable vision d'horreur aux yeux de Marc.
— Ahhhh ! s'écria-t-il de toute ses forces. Les deux garçons tête baissée remontèrent d'un coup leur visage en direction de Marc, laissant apparaître des pupilles blanches à leurs yeux.
Ce qui projeta Marc au mur : mur qui menait dans le Hall d'entrée.
— Non c'est pas vrai... comment est-ce que je suis arrivé ici ! s'exclama-t-il d'un ton confus et angoissé. La porte bloquée – il se mit à plusieurs reprises à frapper à la porte afin que quelqu'un puisse lui venir en aide (y compris personne).
— Au secours, aidez-moi ! s'écria le jeune homme frappant à plusieurs reprises contre la porte en continu. Il frappa une dernière fois à la porte lorsqu'il entendit un bruit à l'arrière, quand il se retourna brusquement pour y apercevoir le spectre de la dame blanche le long du couloir.
— Est-ce vous, Maria ? dit-il la voix tremblante et accroché à la porte comme une victime. Le spectre resta figé pendant les dix dernières secondes avant qu'elle ne se dirige instantanément en sa direction.
Marc horrifié, poussa un énorme cri alors que l'entité se mit à attraper sa gorge plaqué contre la porte, il ressentit une énorme pression directement dans sa gorge (comme si qu'on l'étranglait). Il vit l'entité près de lui, la peau pâle, les yeux noirs et des larmes noires coulant les dents acérées.
Quand soudain toute la demeure se mit à se pencher ainsi que Marc et la dame blanche.
— Non... s'il vous plaît ! dit-il la voix écorchée par la pression mise, Marc fit tout pour se débattre – la bouche grande ouverte, Maria ouvrit sa bouche pour y injecter un liquide noir dans la bouche de Marc, ce qui le paralysa et le fit ramener cette fois-ci dans la réalité (actuellement dans sa chambre).
Marc se réveilla en sursaut et agité pendant quelques secondes...
— Ahhhhhh !
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Maria : La Malédiction De La Dame Blanche [ CHAPITRES INTÉGRALE ] [ CORRIGÉ ]
Mystery / ThrillerEn 1839, en pleine forêt se trouvait une maison un peu au beau milieu de nulle part, une belle femme vivait paisiblement avec son mari et ses deux beaux enfants. Jusqu'au jour où un grave incident familial c'est passé... 168 ans plus tard un jeune e...