Le début de la fin !
Marc, escaladant les marches de la demeure lugubre, chercha désespérément à ouvrir la porte qui semblait être le cœur de cette étrange demeure. Il s'apprêta à visiter toutes les pièces de la demeure, il avança de deux trois après le seuil de la porte, ses pas résonnant dans le silence oppressant de la maison abandonnée.
- Tout est exactement comme dans mes vision que j'ai eue, affirma-t-il.
- Tout est tellement vieux, ajouta-t-il, debout là dedans.
Il longea le long couloir ( presque infini )Tout les murs étaient d'un noir épais, rempli de griffures comme-ci qu'une personne les aurais fait à l'infini.
Le bois grinçait 3 fois plus qu'il ne l'était déjà, l'or de sa première venue ( dans un rêve ).
Parvenant à sortir du couloir infini, il se retrouva né à né avec le fameux salon, les vitres étaient rouillé, les murs étaient dans tous dans un état plus que pittoresque, tout les espaces étaient parsemé de poussière volante et de saleté encombrants, comme dans sa vision, la manoir était rempli de toiles d'araignée pendant toute ses années , des recoins jusqu'aux plafonds, des petits insectes y rôdait dans cette endroit.
Les meubles étaient tout aussi décrépit que la bâtisse en elle même, leur couleur brun et blanc ont laissé place à un noir gris très épais; parsemé de poussière comme le reste des autres endroits.
Marc se dirigea vers l'un des meubles qui se trouvait collé au mur décrépit, il ne pouvait que marcher doucement avec la pression du sol et de son état.
À peine il eu le temps de d'attraper la poignée du meuble que celle-ci s'était mis à grincer sans aucun geste forcé.
- C'est étrange, s'exclama le jeune garçon, il leva la poignée de sa main, afin d'atteindre le poignet du meuble, il pouvait sentir la vieillesse du meuble, c'était tellement sec et rouillé, qu'il ne l'a même pas encore ouvert, il retira ses mains de la poignée et remarqua des tonnes de poussière et des traces noires épais recouvrant la paume de sa main.
Alors il frotta sa main sur son jean de couleur gris et le haut de son gilet noir.
- Pendant 168 ans..., dit t'il avant de reprendre, tout ce qui vivait avant dans cet endroit, son vide, vieux..., sal.
- Mais je m'égare du sujet, je dois arrêter cette chose au plus vite, avant qu'il n'y ait de grosses conséquences.
De nouveau, il se mit à reprendre son exploration, afin d'arrêter tout se massacre, la pluie de l'extérieur se faisait apercevoir et entendre, ce qui apaisait Marc, qui ressenti de la confiance en lui au fur et à mesure, il aperçut une grande étagère vitré, à l'intérieur se trouvait de magnifiques verres ( ils étaient magnifiques ) car ceux-ci étaient rempli de poussière, de toile d'araignée et pour certains mêmes était rouillé, presque fissuré.
À peine il fit une demi marche arrière que le meuble situé à l'arrière, s'était faite tiré par une force invisible, ce qui provoqua un bruit strident, désagréable aux oreilles de Marc qui se l'est bouchea avant qu'il ne tombe au sol.
- Ah merde, qui est là ! s'écria le jeune garçon.
Le son avait encore un grand effet dans ses tympans, mais il pouvait s'en passer, quand tout à coup !
Il entendit le sol grinçer du deuxième étage, mais pas que des simples grincement..., quelqu'un se trouvait en haut.
Marc attentif et se retourna doucement et vit l'interstice entre l'escalier menant à l'étage du dessus et le mur séparant le couloir infini. Marc ne dit pas un mot pendant quelques instants.
- Y... Il y a quelqu'un ? dit t'il sans recevoir de réponse. Qu'est-ce que t'attend, aller, viens me défier si c'est que tu veux. Aucune réponse n'est attendu.
Il décida alors de prendre son courage à demain et d'aller monté ses marches d'escaliers.
Il commença -t- à monté les marches d'escaliers, étant fabriqué à partir de bois, il n'est pas très étonnant d'entendre les escaliers grinçer par la vieillesse et le temps, mais moins étonnant que l'une des marches se brise, Marc arriva enfin à arriver au deuxième étage.
- Et plus d'une et je me serais retrouver coincé ici à tout jamais, il se remit de ses émotions avant d'allumer l'interrupteur, la lampe mît un temps avant de s'allumer, celui-ci émettait un son de bourdonnement frénétique en continu.
- C'est quand tu veux, dit t'il avec sérénité, mais comment je dois battre un démon même, question qu'il se posa lui même, perdant confiance petit à petit mais resta sérieux et prêt à défié quelconque entité ( si il y parvient tout de même ).
À sa droite trouvait les deux portes des deux enfants, une vision très marquante aux yeux de Marc, il hésita à s'en rapprocher mais, il repensa à tout ce qui s'était passé pendant c'est dernier jour, il repensa à toute sa famille plongée dans un sommeil et il se sent obligé d'arrêter cet enfer à tout prix !
- Tu sais quoi, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ! s'écria Marc avant qu'il n'ouvre violemment la porte d'un coup sec, aucune présence humaine n'était présente dans cette pièce, seul la présence de fissures sur les recoins meubles, saleté encombrants et présence de petits insectes y rôdait autour.
( PSSS ) Marc entendit un chuchotements derrière le seuil de la porte.
( Hé suis moi ) c'était une voix assez enfantin, potentiellement la voix d'un des deux garçons, mais impossible à identifier, Marc se retourna brusquement mais ne put voir ou même identifier la personne, seul des bruits de pas était audible.
- Qui est-ce ? s'écria Marc avant de s'avancer de plus en plus, apercevant une échelle suspendu par un plafond demi suspendu ( c'était le grenier ).
Une lueur blanche était apparu au même endroit où se trouvait le grenier, comme-ci qu'elle voulait attirer Marc dans cet endroit.
- Qu'est-ce que..., dit t'il sur la surprise, il s'avança de plus près avant d'y monté et d'atterrir au grenier.
Et comme-ci que cela ne suffisait pas, le grenier était encore pire que le reste de la maison, celui-ci puait la mort, une odeur nauséabonde encombrant toute la pièce, des tonnes et des tonnes de toile d'araignée de partout et des tableaux éparpillés entre eux, ils étaient presque illisible tellement les toiles et la poussière remplirent tout les tableaux, ainsi que les murs et des artifacts éparpillés un peu partout, et le bruit du parquet qui après tout le temps qu'il à passer dans cette endroit lui était une habitude pour lui.
Il n'avait pas fait jusqu'au début mais il aperçut une corde pendent au-dessus du toit de la demeure. Mais sur le moment il n'a rien dit, plus loin, il aperçut un grand miroir rectangulaire positionner dans un coin, envahi de poussière et de toile, tellement envahi qu'il pouvait à peine voir son reflet dans le miroir.
Il sentit une présence à l'arrière, mais il n'osa pas se retourner, alors il décida de frotter le miroir afin de pouvoir distingués ce que cela peut-être, lorsqu'il vit un homme, un pendu avec la même corde que tout à l'heure, un homme âgé de la quarantaine, soixantaine vêtu d'habill du dix-septième, dix-huitième siècle, il pouvait sentir l'odeur s'amplifier.
- Mais qu'est-ce que, Marc se retourna brusquement derrière lui, mais personne ne se trouvait, cela devait sûrement être une illusion, il regarda de nouveau le miroir et l'homme était maintenant debout à côté de lui et lorsqu'il se retourna...
L'homme se tenait derrière lui.- Ahhh ! s'écria le jeune homme pétrifié ( il à vu pour la toute première fois un fantôme ).
- Que fait tu ici ? Que recherche tu, demanda l'homme d'une voix rauque et saccadé. Je... Je... Je viens mettre un terme à se vacarme, vacarme ? dit l'homme sans expression.
- Qui... Qui êtes vous ?
L'homme ne répondu pas sûr le moment mais, fera de très grandes révélation à Marc.
- Je suppose que tu es venue pour... Elle, cette... cette vipère, encore jusqu'à aujourd'hui..., j'en suis pétrifié..., de... De quoi est-ce que vous parlez ? dit t'il la voix tremblante.
- En 1839, nous vivons assez paisiblement, je faisais tout pour qu'elle est une meilleure éducation, mais je savais qu'elle n'était pas elle même, souvent, je l'entendait mijoter quelques choses, mais je n'avais aucune idée de ce que cela pouvait être, je ne l'ai pas inscrit dans une école quelconque pour qu'elle apprenne à étudier à cause de ses comportements, donc, je devais trouver une solution, j'engageais des professeurs particuliers quand soudainement, ceux-ci mourait à chaque fois, toujours envers sa présence, et puis... Il y avait ce fameux jour, sans que je ne le sache et mon autorisation, elle voyait un homme en cachette et même que des fois, l'intimité s'en était emparé, faisant place au plaisir, je ne pouvais plus vivre dans le mensonge, je lui ai avoué que ma fille... Était âgé que de 12 ans, alors qu'elle n'en paraissait dans la vingtaine...- Je... Je vous demande pardon..., dit t'il stupéfait lorsqu'il réalisa.
Lui, et moi avons gardé le secret pendant de nombreuses années entière et ce jour, j'ai vu tout le massacre..., tout ce qu'elle à fait, et pour me punir donc... Je me suis pendu.
Mais même mort, elle à encore une grande influence sur nous jusqu'à aujourd'hui.
- Je vais l'arrêté, je vais trouver une solution pour l'arrêter je vous le promets !
- Vous ne pouvez pas, nous ne sommes que des pions dans tous cela..., tu es venu ici, et tu y restera emprisonné à jamais, tu seras porté disparu et ta famille ne seront plus que dans un profond sommeil, ils seront tous morts... C'est la fin maintenant.
- Non... Non ! s'écria Marc essayant de l'assommer alors que t'elle un fantôme, il disparut, ce qui permit à Marc de s'échapper, alors qu'il décida les marches de l'échelle, il fit face au deux enfants au regard vide et à la peau pâle.
Il entendit des rires et cris de ces enfants, il descendit des escaliers tout en évitant l'escalier auquel il y avait échappé quelques minutes avant, mais il n'y echappa pas pour cette fois et trébucha au sol, jusqu'à la sortie il coura mais attraper par une force jusqu'au salon, et l'homme du grenier fit retour cette fois-ci dans le salon Charles Henry, muni d'une hache le teint pâle et sans expression.
Il leva sa hache d'une vitesse, Marc se roula vers le côté gauche comme une saucisse, il se leva afin de s'enfuir mais Charles leva sa hache avant de la projeter vers lui, il parvint à l'éviter alors qu'il s'était planqué dans la cuisine, il trouva un couteau tranchant et énorme, il un réflexe instantané alors que derrière lui se trouvait le spectre de "Maria" la dame blanche, il lui planta le couteau en plein œil avant de pousser son dernier hurlements avant de disparaitre.
- Ca y est, c'est... C'est fini ! dit t'il avec un sourire d'espoir, il courut alors jusqu'à la sortie, il vit une clé en dessous, clé permettant d'accéder à la sortie, il parvint à débloquer la porte, lorsqu'une personne se tenait devant lui.C'est le début de la fin Marc...
Avant de se faire planter un coup de hache dans la tête, puis trainer et enfermé dans ses mauvais souvenirs pour toujours.
3 jours plus tard des annonces de recherche ont été dispersés dans tous les coins de New-York, Liberty Square, Times Square, Détroit, Los Angeles, Chicago, tout le reste de la famille ont été déclarés mort tous... Cette histoire à fait parler de tout l'Amérique, jusqu'aux pays Européens, l'un des cas les plus médiatisé, d'un cas de disparition mystérieuse, une famille morte sans aucune empreinte du suspect et cela restera l'une des affaires la plus effrayante et suspect de l'Amérique.
Parfois les fins ne peuvent pas toutes être heureuse...
Fin.
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Maria : La Malédiction De La Dame Blanche [ CHAPITRES INTÉGRALE ] [ CORRIGÉ ]
Mystery / ThrillerEn 1839, en pleine forêt se trouvait une maison un peu au beau milieu de nulle part, une belle femme vivait paisiblement avec son mari et ses deux beaux enfants. Jusqu'au jour où un grave incident familial c'est passé... 168 ans plus tard un jeune e...