— Ahhhhhh ! cria Marc en voyant sa sœur recouverte d'un blanc pâle à l'apparence fantomatique pencher ses deux bras en avant, criant dans sa direction. Marc tomba au sol, Fabien ouvrit la porte de la salle de bain et courut le long du couloir allant du salon, ainsi que ce qui devait être sa sœur Makayla, qui elle courut aussi se cachant dans le salon. Marc eut tellement peur que ses cris interpellèrent les parents de celui-ci, inquiets de ce qui s'était passé.
— Purée, ils m'ont fait un sale coup ces morveux ! dit-il, la voix tremblante.
— Chéri ! Mais qu'est-ce qui s'est passé ? dit la mère.
— Quelqu'un est entré par effraction ? dit le père.
— Non, je crois que c'est Fab et Maky qui m'ont fait un coup ! dit-il, la voix paniquée et énervée.
— Aller, lève-toi, fiston ! dit le père.
Marc se leva alors en s'étirant le dos, ayant reçu quelques coups.
— Où sont-ils ? dit le père.
— Dans le salon ! dit Marc.
Alors, les trois avancèrent à la recherche des deux petits, quand tous virent le petit Fabien courir dans le salon et disparaître par la suite.
— Fabien, qu'est-ce que tu fais ? dit la mère.
— Bon, venez avec moi ! dit le père prenant les devants de la famille, arrivant jusqu'au salon où ils virent les deux rideaux blancs côte à côte, ils sentirent tous le coup monté.
— C'était sûr qu'ils m'avaient fichu un coup ! dit Marc, assez vexé de ce qui s'était passé.
— Pour la première fois, les petits effraient le plus grand, j'ai toujours pensé le contraire ! s'exclama le père avec un ton ironique.
— Ce n'est pas drôle ! dit Marc.
— Bon les enfants, allez, ça suffit pour aujourd'hui ! s'exclama Marie d'un ton sage.
— Sinon, vous serez tous les deux punis ! dit le père.
— Pendant une semaine ! dit-il, sans recevoir de réponse.
— Pendant un mois... ou un an ! dit-il, essayant de les attirer et de les faire céder.
— Aucune réaction, tu n'étais pas assez sérieux, je pense ! dit la mère d'un ton ironique.
— Coriaces, ces enfants... bon, il ne reste qu'à y aller ! dit le père marchant pas à pas devant le rideau de gauche.
— Fabien, je te laisse une dernière chance... bon, tu l'auras voulu ! dit-il, levant le rideau pour y voir sortir la petite Makayla, la peau pâle, criant de la même manière qu'avec Marc, faisant tomber le père au sol qui hurla de frissons et surprit les deux autres avant que Makayla ne se mette à rire ainsi que Fabien dans le rideau de droite.
— La mère ne put aussi s'empêcher de rire à ce qui venait de se passer.
— Oh mon dieu, j'ai failli avoir une crise cardiaque ! s'écria David au sol.
— Rooh alors vous deux ! dit Marc de façon sévèrement sarcastique.
— Maman, au lieu de nous défendre, tu nous enfonces encore plus !
— Ça, c'est vrai ! dit David, respirant profondément.
Marie s'approcha alors de son mari, l'aidant à se relever. Fabien et Makayla, sans s'arrêter de rire, coururent jusqu'à leur chambre, claquant la porte.
— Je vous aurai un jour ! dit Marc criant en direction de leur chambre.
— Ça, c'est ce qu'on verra !! dirent les deux petits.
— Et vous serez punis pendant deux semaines ! ajouta David, pouvant entendre au loin s'apitoyer sur leur sort.
— Aller, Marc, tu peux retourner dans ta chambre maintenant, pendant que moi, j'aide à remettre en bon état ton père.
— J'ai terriblement mal ! ajouta David, se plaignant de sa douleur atroce.
C'est alors que Marc retourna en direction de sa chambre, un sourire sarcastique au visage par ce qui s'était passé cette fois-ci, fermant la porte derrière lui, plongeant dans son lit les yeux fermés pendant quelques minutes, pour les rouvrir quelques minutes après, repartant pour les avis qu'on a pu poster des personnes sur son chapitre.
Il allume son ordinateur, accédant au blog d'Internet où des histoires sont postées, y compris la sienne, pour regarder les avis des personnes.
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Maria : La Malédiction De La Dame Blanche [ CHAPITRES INTÉGRALE ] [ CORRIGÉ ]
Mystery / ThrillerEn 1839, en pleine forêt se trouvait une maison un peu au beau milieu de nulle part, une belle femme vivait paisiblement avec son mari et ses deux beaux enfants. Jusqu'au jour où un grave incident familial c'est passé... 168 ans plus tard un jeune e...