Les retours étaient vraiment bons, comme toujours, et à chaque fois, ces histoires étaient absolument appréciées de tous les internautes qui les lisaient. Mais jusqu'au moment où il aperçut ce commentaire qui serait la descente aux enfers pour lui désormais.
"Des histoires répétitives où le héros va dans un endroit sans aucune raison, parfois pour ses envies personnelles, se fait poursuivre par des créatures ou des fantômes dans cet endroit pour se battre et à la fin s'échapper. Du déjà vu et revu, tout est bien qui finit bien pour lui. Même pour une adaptation au cinéma, ce serait trop blockbuster et trop simple. Sans ajouter que ces histoires ne sont même pas inspirées de faits réels, et il romanticise ses expériences pour l'attention, sans assez de tension ou d'intrigue."
À ce moment précis, Marc eut un choc en lisant la critique, restant figé à son lit avant de l'éteindre et de se morfondre au creux de son lit pendant une vingtaine de minutes.
— C... comment ça pour l'attention ? dit-il, ayant perdu tout espoir en lui.
— Pourtant, les gens aiment mes fictions et la...
Marc perd tout sens de motivation, restant dans un silence complet pendant vingt minutes.
— Je crois que je vais abandonner... a-t-il dit en fermant les yeux, ne laissant en arrière-plan que les bruits de pluie et d'orage. Il suffisait d'un commentaire négatif pour que toutes ses idées et son inspiration pour ses œuvres disparaissent et tombent en l'air pour un seul commentaire.
Marc, à son jeune âge, était un enfant solitaire, assez introverti, mais aussi rempli d'une imagination débordante. Ses premiers exploits ont été montrés par son professeur d'école qui l'observait souvent pendant les temps de récréation, en train d'écrire dans un coin ou même au préau de l'école, écrivant ses histoires.Le soleil d'après-midi brillait à travers les fenêtres de l'école. Le professeur, M. Spring, buvait son café du matin sur son mug. Il déposa son verre sur la table et sortit de la salle des professeurs parcourant le préau. À sa surprise, il vit au loin un de ses élèves, le jeune Marc Montana. Il s'approcha discrètement afin de l'atteindre. Il était tellement discret que Marc ne put l'apercevoir quand il vit plusieurs feuilles remplies disposées à l'opposé, et une feuille sur laquelle il était en train d'écrire. Il fut surpris quand il vit que tout était rempli comme s'il écrivait un texte.
— Oh ! Qu'est-ce que tu fais de bon, Marc ? dit M. Spring.
Marc leva sa tête, surpris que son professeur se tenait juste derrière lui pendant qu'il écrivait.
— Oh, euh, bonjour monsieur... ça fait longtemps que vous êtes resté ici ? dit-il timidement.
— Oh non je viens d'arriver il y a quelques secondes, tu as l'air de bien bosser dit donc qu'est-ce que c'est ? dit le prof curieux.
— Euh, et bien... parfois quand j'en ai l'envie je peux écrire des histoires qui me passent par la tête.
— Je peux y jeter un coup d'œil ? dit-il, curieux de ce que cela pourrait donner.
— Heu, d'accord si vous voulez ! dit Marc d'une voix appréhendante. Le prof prit toutes les feuilles auxquelles il y était inscrit des écritures dessus, et il s'aperçut que ce qui était inscrit dessus était un récit, une histoire fantastique avec une intrigue par derrière. Mais ce qui surprit encore plus le prof, c'est qu'à une feuille à l'autre, aucune faute d'orthographe n'avait été commise.
— Woaaw... c'est extraordinaire ce que tu as écrit ! s'exclame M. Spring.
— Pour de vrai ? dit Marc.
— Oui, c'est fantastique et intriguant à la fois, et en plus de ça, il n'y a aucune faute d'orthographe. Tout à coup, le visage du petit Marc se transforma en un grand sourire illuminé par les compliments du professeur, et il fit de même en convoquant les parents du petit Marc en fin d'après-midi.
— Oui bonjour monsieur ! Pouvons-nous savoir la raison de notre venue ici ? dit David.
— J'espère que Marc n'a fait aucune bêtise dites-moi ? dit Marie inquiète.
— Non, au contraire ! s'exclame le professeur.
— Alors quel est le problème ? dit David. Et bien je pense que votre fils a potentiellement trouvé une voie dans laquelle il voudrait se diriger ! dit-il en montrant les travaux qu'a produits Marc.
— Attendez, vous allez nous dire que c'est lui qui a écrit tout ça ? dit David étonné par le nombre de pages que Marc a écrit.
— Et oui, et je l'encourage vivement à continuer dans cette voie ! dit M. Spring avec un sourire au visage.
— Donc c'est pour cela qu'il s'enfermait dans sa chambre ! dit Marie enjouée de la nouvelle.
— Et en plus, sans aucune faute d'orthographe ! s'exclame le professeur. Votre fils est peut-être bien introverti et discret, mais il a un très gros potentiel avec les qualités qu'il a. Dit le professeur.
— Et bien... nous sommes tout aussi surpris et ravis d'apprendre cette bonne nouvelle ! dit David étonné de la grande nouvelle qu'ils viennent d'apprendre.
Revenons maintenant à la réalité, alors que Marc était allongé dans son lit, profondément endormi, laissant place aux oranges et à la pluie à l'extérieur. Les deux petits étaient tous les deux dans leur chambre, dans le noir complet, en train de se raconter des histoires d'horreur munis de leur lampe torche.— C'était une nuit dans la ville de New-York, un homme regardait tranquillement les chaînes d'info à la télévision quand tout à coup trois coups retentirent à la porte d'entrée. L'homme regarda en direction de la porte, et de nouveau trois coups retentirent. Alors, l'homme se leva en direction de la porte. Il l'ouvrit, et personne ne fut là. Il se dit au premier abord que c'était une blague. Il referma la porte derrière lui et revint s'asseoir sur son fauteuil, visionnant la télévision. Quand une annonce de prévention signala qu'un fou maniaque rodait dans les parages et qu'il fallait verrouiller toute la maison, éteindre les télévisions et ne faire aucun bruit. L'homme était interpellé par des pas provenant de sa chambre jusqu'à son salon. Il était à l'intérieur.— Tu pouvais faire un effort sur l'ambiance quand même ! dit la petite Makayla.— Ouais, c'est ça, t'as eu peur, mais tu veux pas le montrer. Dit Fabien d'une voix moqueuse.— Moi j'ai mieux que toi ! s'exclama Makayla.— Raconte toujours ! dit Fabien.— Revenons 168 ans en arrière... en 1839 dans le Texas, une belle femme raffinée vivait dans une grande maison avec ses deux enfants et son mari...— Makayla, on connaît tous cette histoire de la dame blanche et la maison d'où elle vivait, ça ne marche pas. Dit Fabien. Tu pouvais au moins me laisser finir de raconter mon histoire ! s'écria la petite.— Je te l'ai dit, on la connaît déjà tous, elle est connue partout ! dit Fabien.— Oui, bah moi je suis sûr que tu ne savais pas qu'un fou malade était venu tuer elle est toute sa famille ! dit Makayla en guise de défense.— C'est faux, ça, c'est ce que les gens racontent... c'était son père qui a tué toute sa famille et l'a abandonnée jusqu'à mourir.— Oui, bah en tout cas...Makayla ne put finir sa phrase que quelqu'un toqua à la porte trois fois de suite.— C'est qui ça ? demande Fabien. Qui est-ce ? s'écria Makayla.De nouveau, quelqu'un frappa trois fois à la porte. Les deux petits restèrent silencieux et chuchotèrent.— Vas-y ! dit Fabien à voix basse à sa sœur.— Ça va pas ! Toi, vas-y ! dit-elle nerveusement.— Pourquoi moi ? dit nerveusement Fabien.— Y a personne qui répond, je sais pas c'est qui et aussi t'es plus grand que moi donc vas-y !— Roh et puis merde alors ! dit-il nerveux.Fabien se lève de son lit, marchant en direction de la porte, le cœur battant, s'approchant au fur et à mesure, avant de prendre la poignée de la porte et de l'ouvrir.Rien au premier abord quand tout à coup quelqu'un se mit à courir en direction de leur chambre, Fabien pris de panique ferma la porte, restant derrière celle-ci alors que les pas se sont estompés.— Fabe, c'était qui ? dit la petite à voix basse.— Je sais pas... je sais... il n'eut le temps de dire ce qu'il avait que la porte de la chambre s'était ouverte à grande vitesse, projetant le petit à l'arrière, pendant que Makayla poussait des cris de peur.
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Maria : La Malédiction De La Dame Blanche [ CHAPITRES INTÉGRALE ] [ CORRIGÉ ]
Mystery / ThrillerEn 1839, en pleine forêt se trouvait une maison un peu au beau milieu de nulle part, une belle femme vivait paisiblement avec son mari et ses deux beaux enfants. Jusqu'au jour où un grave incident familial c'est passé... 168 ans plus tard un jeune e...