Chapitre 5 :

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Mais c'est déjà mieux que rien ! Je me recous le bras blessés en laissant échapper d'autre gémissement de douleur.

Une fois que j'ai terminer de me recoudre je sors du camion, quelque bleus sur mes jambes et quelque coupures ainsi que sur mes bras du à l'accident.

Il faut que je parte absolument d'ici ! Je traverse la forêt, je place mes cheuveux blonds derrière mon oreille qui eux me gênent en marchant.

Plus je marche plus j'entend des bruits de voiture est bon signe !

Je marche jusqu'à escalader la barrière de sécurité, je lève mon pousse pour quelqu'un vienne en mon aide.

Après 10min et une 70eme voiture qui le passe devant comme si de rien état en voyant mon état.

Je commence à perdre espoir en laissant des larmes couler sur mon visage

Une voiture s'arrête à coter de moi, j'avoue que je stress mais c'est ce que je voulais après tout.

On est sur la bande d'arrêt d'urgence alors l'homme sort de la voiture pour venir à coter de moi.

-?? : Hey niña pourquoi est-tu dans cette état ?!

-Léna : Ce n'est pas grave je vous l'assure j'ai juste besoin d'aide, emmener moi loin de cette autoroute.

-?? : D'accord monte, mon nom est Rodriguez et toi ?

-Léna : Mon nom est Miller.

On montent dans ça voiture un bruit de fond en musique.

-Mr Rodriguez : Miller ce n'est pas Espagnol ?

-Léna : Je suis américaine italienne espagnole c'est pour ça.

-Mr Rodriguez : Oh d'accord je comprend mieux ! Je me disais bien que tu ne ressembler pas énormément à une espagnole.

J'affiche un léger sourire de gentillesse. En temp normal je ne serai pas monter dans la voiture d'un inconnu mais là il y avait aucun autre choix.

-Mr Rodriguez : Je vais t'emmener à l'hôpital tu est beaucoup trop blessée.

-Léna : Non ! Hum.. non s'il vous plaît.

-Mr Rodriguez : Pourquoi ça ?

Je pense qu'as son goût j'ai répondu trop vite même beaucoup trop.

Mais après tout si je vais à l'hôpital je serrais soigner et en sécurité.

-Léna : Ignorez ce que j'ai dit vous pouvez m'y emmener.

-Mr Rodriguez : D'accord.. tu peut me tutoyer ma niña aussi non je me sans vieux ! En rigolant.

On rigoles légèrement, lui c'est un vrai espagnol, cheuveux foncés peau bien bronzé et yeux chocolat.

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Le reste du trajet sait bien passer , il me parlait de ça famille est sur le fait qu'il as une femme est une fille de 12ans.

Moi je l'ai plus écouté que parler, on vient tout juste d'arriver à l'hôpital.

On sort de la voiture, on referment les portières derrière nous, je suis devenus affaiblie à cause des blessures la fatigue et la faim.

Toute à l'heure j'ai vu que le tableau de bord afficher qu'il était 15h.

Une fois qu'on est devant l'hôpital on s'arrêtent.

-Léna : Merci beaucoup Mr Rodriguez.

-Mr Rodriguez : C'est avec grand plaisir, prend soin de toi.

-Léna : Merci encore !

On affichent un sourire sur nos visages mais nos visages sont très vites effacés plus précisément le mien..

Un balle vient de transpercer le crâne de Mr Rodriguez et il vient tout de s'écraser par terre, plusieurs cris de choque sont entendus à mes oreilles.

Moi, choquée, les yeux grand ouvert, un léger cris de souffrance ce fait entendre de ma part, les larmes aux yeux.

Je peux pas voir ça.. je fais deux pas en arrière et je sens que je heurte quelqu'un derrière moi.

Je me retourne par réflexe, il y a 4 hommes, 1 qui me tient maintenant les poignets, 1 autre qui tient les épaules et 2 autres qui me regardes avec un qui tient un chiffons.

Bien sûr je reconnais vite le visage des mafieux qui travaille pour Rafaël. Zayan, Adrian, Loukas, Mateo.

Le chiffon est vite poser sur ma bouche mon nez, mon regard est poser dans celui de l'homme qui est entrain de m'endormir avec ce chiffon, j'ai aucune chance de m'en sortie maintenant c'est sur..

Puis trous noir je suis endormie.

Point de vue Rafaël :

Je viens tout juste d'atterrir sur mon territoire, j'ai eu un appel de mes gars pour me dire qu'ils ont trouvés la deuxième puta.

Et ils viennent tout juste de la poser en cellule et bien évidemment pas avec celle ca copine, ça serait trop beau.

Mon oncle Diego rentre directement dans ça propriété, moi je vais directement retrouver mes gars, mon bras-droit et ces putas.

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Je suis dans mon bureau assis sur ma chaise avec en face de moi Hugo, mon bras-droit.

-Rafaël : Hugo je vais être clair avec toi, c'est la première fois que toi et ta bite vous mettez mon business en l'air.
-Hugo : Oui mais je n'aurais pas pensé que Guilia irais jusqu'à nous voler le camion je ne sais même pas d'où elle sort ces infos.

Je me lève, déjà que je suis sur les nerfs, lui en rajoute une couche, c'est pas compliqué que simplement retenir ça bite de toute les femmes qui font battre un cœur ?!

Ma veine que le front et le cou se laisse apparaître. Je donne une gifle à Hugo.

-Rafaël : Hugo, ce n'est pas parce que tu est mon bras-droit et qu'on as grandit ensemble que tu peut tout de permettre. Rappel tout qui je suis, sache que heureusement que tu as eu qu'une gifle parce que je me reteins. Alors maintenant ferme ta geule.

Je sors de mon bureau en faisant claquer la porte, maintenant il fait j'aille parler à cette puta, Léna je crois.

Je descend jusqu'au cellule, une fois devant ça cellule j'entre en déverrouillant.

Point de vue de Léna :

Après les 4hommes du cartel de Rafaël qui m'ont endormis je me suis réveillée.

Sauf que je me suis réveillée dans une cellule, c'était sur..

Je me lève délicatement en aillant toujours l'horrible mal de bras et mon corps qui au blessure.

Une fois debout je tourne en rond en essayant de réfléchir comment je peux m'en sortir.

Tout à coup mes pensées sont interrompus par la porte qui s'ouvre.

LÉNAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant