Chapitre 7 :

215 5 0
                                    

J'avais dis à Hugo de contrôler ce qu'il avait entre les jambes mais apparemment c'est trop dur ! Alors que cette Guilia c'est une puta qui se fait baisée par les premiers venus avec de la liasse !

En tout cas Léna qui recroqueviller sur elle même qui est la meilleure amie de Guilia la puta elle a l'air de s'en battre les couilles que ça meilleure amis écarts les cuisses a tout les hommes de Madrid.

Si Léna veut mourir pour ça meilleure amie la puta alors ces ordre sont des désirs.

-Rafaël : Aller ! T'es entrain de faire bouillir la colère en moi là !

Aucun regard alors je décide de sortir mon flingue et lui poser sur le front en enlevant la sécurité ce qui fait lever la tête et son regard complètement déboussolé dans mes iris.

-Rafaël : Je te donne une dernière chance, et puisque je suis sympa pour l'instant ta le choix, hablar o pelota ? (Parle ou balle)

Elle ne répond pas me surprend je l'avoue, mais en regardant plus attentivement j'aperçois qu'elle ne répond pas a cause la paralysions de la terreur.

Mon regard tombe sur ces lèvres, qui sont rose clairs, elles tremblent à cause de la peur.

Ces yeux font les long cils blonds montrent ce qu'eux vairons qui le tapent sur le système, ils sont embués de larme. Et en ce posant la question elle n'a rien d'une espagnole à 100%. Ces cheuveux sont blonds aucun espagnols à les cheuveux blonds, sois cheuveux noir sois cheuveux marron.

Ces yeux vairons de couleurs bleu et l'autre vert le prouve également car tout les espagnols on les yeux soit vers soit marron, et ça couleur de peau également.

Les espagnols sont plutôt d'une couleur de peau bien bronzée alors que elle sait léger seulement grâce au soleil.

Je m'abaisse à son niveau, elle est vraiment petite elle !

-Rafaël : Alors hablas o pelota ? En essayant de contrôler ma voix a cause de la colère qui est entrain de me surpasser.

-Léna : Si vous libérez ma meilleure amie et que vous nous laissez tranquille alors peut-être que je parlerais.. D'une voix cassée à cause des pleures.

-Rafaël : Mi querida ta meilleure amie a signer son arrêt de mort au moment où elle as trahis le gang. Alors que toi tu as un énorme infini de chance pour t'en sorti si les informations sont les bonnes et si je trouve ma marchandise.

Sans savoir pourquoi elle ce met à rigoler, j'ai une tête de clown ou à rigoler là maintenant ?

Son impolitesse me met en rage mais je laisse un sourire malsain apparemment, pour arrêter son rire qui m'insupporte a l'aide de mon pouce j'appuie sur ça blessure toute fraîche qui est sur son bras.

Suite à ça c'est elle qui arrête de dire mais c'est mon rire qui apparaît, bien évidemment ce n'as rien d'un rire, c'est sourcils qui se tord du as la douleur me fait comprendre que son messages était passer.

Je la relève brutalement pour qu'elle soit debout blouse dans l'encadrement du mur avec ma main autour de son cou.

Et une nouvelle fois je fais parcourir mon arme le long de son corps.

-Rafaël : Léna, il fait que tu comprend une chose, ici c'est moi qui décide. De ce que je fais de toi, je décide que tu vis alors tu vis et si je décide que tu meurt alors tu meurt et tu vois cette gâchette ? Il suffit que j'appuie Driss pour mettre fin à ton insolence, tu as bien compris ?

Elle me regarde terrifiée en agitant la tête de haut en bas pour le dire que c'est un « oui ».

Ces pleures doublement d'intensité lorsque mon flingue descend sur son short.

-Léna : Non, ne fait pas ça.. je t'en supplie.. en plantant son regard dans le mien.

Je descend mon regard sur ces hanches qui sont d'ailleurs bien dessinés, je me rend compte qu'elle as posée ça main sur mon flingue pour m'empêcher de tente de lui retirer ce qui n'étais pas d mon intention.

La seule chose que je veux faire c'est l'intimider le plus possible.

Je remonte mon regard sur elle, ces yeux sont fermer pour pas me regarder.

-Rafaël : Regarde moi Léna.

Ces yeux vairons s'ouvrent doucement jusqu'à la rencontre de mes yeux bleus.

-Rafaël : Hablar o pelota ? Lui demandais-je depuis maintenant la troisième fois qui ne faisait que accentuer la colère et l'envie de lui mettre une balle entre les yeux vairons ce qui me dérangerais.

-Léna : Je vais parler, mais tu doit me promettre que aucun d'entre vous toucheras à un cheuveux de ma meilleure amie ! En plus elle ne fait même pas partie de votre cartel !

Un léger sourire ce pose sur mes lèvres, je pense que ça « meilleure amie » lui as raconter seulement 5% de la vie de ça meilleure amie la puta.

Je vais sûrement la plomber alors je ne répond pas, je lâche ma prisonnière qui s'écoule par terre et qui ce recroqueville de nouveau sur elle, alors que moi je m'installe sur une chaises les jambes écartés en attendant qu'elle parle.

Point de vue de la Maman de Léna:

Ma fille Léna, est partis depuis 11h et il est actuellement 18h, elle n'ai pas allez en cours aujourd'hui, et elle n'ai pas rentrer à 12h pour manger.

Ça fait donc 9h sans nouvelles car son téléphone et à la maison et je peux vous assurer que moi et son père on est super inquiet de ce qu'il y as pu lui arriver..

Si elle ne rentre pas ce soir demain matin on ira annoncer la disparition au flics..

Ne plus avoir de nouvelles comme ça de ma fille me fou le stress indescriptible..

Sergio et Aaron qui sont ces meilleurs amis on eux aussi aucunes nouvelles et il l'ont pas vu de puis 11h eux aussi super inquiets. Même Guilia a disparu apparemment.

Point de vue de Léna :

Heureusement que Rafaël a était appelé à temp pour un à rendez vous ici ou je n'en sais quoi.

Je ne lui est rien dit et je compte rien lui dire pour l'instant.

Je suis toujours aussi recroquevillée sur moi même, je n'arrive pas à enlever la sensation du flingue froid qui était sur la hanche heureusement que Rafaël n'a pas insisté pour allez plus loin..

Après 10min sans rien j'entends le verrou de ma cellule ce tournée ce qui m'alerte pour le dire que quelqu'un va entrer..

Mon cœur va sortir de ma cage thoracique, j'ai tellement peur..

Ma tête est bloquer sur mes genoux pour ne pas voir qui sait.

Sauf que cette fois je ne vois pas une mais deux ombre de personne.

Je relève difficilement la tête, j'aperçois Rafaël qui as l'air énervé ou pas ?

LÉNAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant