Chapitre 23 :

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Je décide de me lever pour aller prendre l'air dehors, mon téléphone continue de sonner dans ma poche.

J'ouvre la bée vitrée et je marche jusqu'au jardin.

J'ai besoin de prendre l'air, j'en est besoin..

Mon téléphone sonne encore et encore, je décide de regarder, ça vien de Sergio, Aaron, Guilia, mon père, ma mère, des membres de ma famille, des amis.

Mais le message de mes parents m'alerte.

« Tu n'aurais jamais dû t'aventurer dans ce Cartel mais viens nous voirs chérie, je sais que tu viendras nous voirs. Mais on doit voir ton visage qu'on as pas vus depuis longtemps ».

Quelque larme s'échappent de mes yeux, un léger sourire s'insère de forme sur mon visage.

Au moins ils ne me rejettent pas.

J'entends des pas derrière moi, je fini par me retourner, c'est Rafaël,

Voyant que je pleure il me prend dans ces bras sans réfléchir.

-Rafaël : Quesqu'il se passe princessa ?

Je lui montre le message de mes parents, il lis et rives ces yeux doux dans les miens.

Il sèche mes larmes avec son pouces.

-Rafaël : Quesque tu veut faire ?

-Léna : On y va..

-Rafaël : On ? T'es sûr que tes parents me laissent entrer ?

-Léna : Si ils ne te laissent pas entrer alors je ne rentrerai pas !

Un sourire s'affiche sur son visage, également sur le miens.

Mes larmes sont sèches, je laisse place à mon sourire. Rafaël dépose un bisous sur mon front.

On as pas terminés de manger mais on est déjà dans le véhicules de Rafaël, une BMW blanche.

Comme toujours un couteau suisse et un flingue dans nos poches, le danger peut arriver à tout moment !

On as parlée tout le long du trajet, on est maintenant arrivés, cette fois ci on se gare devant chez moi et on aperçoit les voitures de mes parents.

Je prend une bonne grande bouffée et je toque à la porte, Rafaël ce trouve juste derrière moi.

Le trousseau de clés tourne dans la serrure et la porte s'ouvre, je tombe nez à nez avec les parents.

Ils ne m'analysent pas et me prend directement dans leurs bras, puis cette fois ils me regardent.

Leurs regards tombent dans celui de Rafaël.

-Papa : Non.

-Léna : Si c'est non on fait demi-tour.

-Rafaël : On viens à votre demande, on est armés seulement car elle danger arrive à tout moment.

-Maman : C'est bon mi amor on les fais entres il ne vont pas te manger.

Ma mère nous ouvres grand la porte, on entrent, ils nous proposent de s'asseoir sur le canapé pour discuter.

-Maman : Quesqu'il sait passer durant tout ce temp ?

-Léna : C'est très long alors je vais vite fait résumer, Guilia la raconter une histoire et j'ai décider de la suivre, on devait voles une cargaison à Rafaël mais tout ces pas bien passer. Guilia c'est faite chopper, j'ai dû m'enfuir avec cette cargaison, j'ai eu un accident, puis j'ai était kidnappé par son bras-droit. Rafaël était infernal.

-Rafaël : Tu l'étais aussi princessa !

Un sourire s'échappe de mes lèvres.

-Léna : Beaucoup de choses ce sont passer, Guilia ma mentis pour me mettre dans la merde, puis on la kidnapper dans mon kidnapping par un vieux de 50 piges. Il as tenter de.. me.. vio- vous avez compris.. Rafaël m'a retrouvée est ma repris. Puis tout c'est rétablie, les jours d'enfer sont devenus des joues heureux. Toute ces joues j'ai vécu dans el violences, la drogue, les armes, les meurtres et j'en passe.. on as retrouvée la cargaison de drogue vide, la seule personne pour la voler était Guilia, on est donc allez au lycée. Elle nous as donnée toute les coordonnées de la personne qui l'a. Puis il y a eu un attenta et j'en passe.

-Papa : Donc tu as tuer ma niña ?

Mon regard tombe dans le vide, quesque je dois répondre ? Oui papa maman, votre fille est une meurtrière.

Je me ressaisis, mon regard tombe dans celui de Rafaël, dans ces yeux il me dis de dire la vérité car tout ce sera.

Mon regard ce pose sur mes parents.

-Léna : Oui, plusieurs fois, depuis cette semaine, plus précisément depuis hier.

Un léger gémissement de frayeur s'échappe de la bouche de mes parents.

-Rafaël : Ne regarder pas votre fille comme une meurtrière ou peut importe, regarder la comme la fille que vous avez toujours regardée.

Je regarde Rafaël, il sait comment parler. Ça m'impressionne, je pourrais le regarder infiniment.

-Maman : Et pour Rayan ?

-Léna : On s'en occupes, j'espère qu'on le trouvera le plus vite possible.

Tout à coup des bruits de flingue ce fait entendre, les vitres explosent.

On se lèvent tous par réflexe, Rafaël et Moi on vient de prendre nos flingues dans nos mains.

-Rafaël : Je viens de voir leurs visages, ce sont les gardes de Pablo. Il faut mettre tes parents à l'abri.

Mes parents sont juste derrière nous, on est comme leurs bouclier.

A chaque tire mes parents ce crispent de frayeur.

Rafaël essaye de tirer mais les vitres brisés et cassée complique la tâches, j'attrape mon talkie-walkie.
Discussion talkie-walkie :

-Léna : Rose, Hugo, Mateo, Zayan, Loukas, Adrian !

-Rose : Quequ'il y as ?

-Hugo : Léna, Rafaël vous partez sans prévenir, vous êtes partis baisés ou quoi ?

-Rafaël : Ferme ta geule Hugo !

-Léna : Espèce de cabrón on est pas des exister du sexe comme toi alors bouge ton cul a ramener une équipe à notre localisation !

-Mateo : Mais quesqu'il se passe ?!

-Rafaël : On ce fait attaquer de nouveau par les gardes de Pablo bande de fils de pute !

-Loukas : J'envoie une équipe, ils sont en route !

Mes parents on l'air choqués de notre communication mais c'est comme ça !

Je réfléchis, je réfléchis, Rafaël est à coter de moi et mes parents sont en face.

Ce sont les gardes de Pablo, et si je me « livre » à eux alors ils vont tentes de m'emporter et on pourra les attaquer.

-Léna : Rafe écoute moi attentivement, je vais faire sembler de me livrer, ils vont tenter de m'attraper et on va attaquer. L'équipe sera sûrement arrivés, je veux que tu prennes mes parents pour les mettre dans la voiture en sécurité, en même temp tu éliminera sur le passage.

-Papa : Hors de question !

-Rafaël : Vas-y, je serais pas loin quoi qu'il arrive.

Je prend mon armes que je charge pour m'assurer de ne pas manquer de balles, tout ce passe sous le regard insistant choquée de la situation de mes parents.

LÉNAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant