Chapitre 33 :

133 4 1
                                    

La respiration de Léna ce fait calme et lentement.

La machine cardiaque annonce 58 de pulsations du cœur.

-Rafael : Princessa t'es forte et on le sais tous, j'ai même une surprise pour toi quand tu te réveillera !

Bien évidemment je en m'attendais pas à une réponse pudique elle est endormie.

-Rafaël : Je t'aime Léna.

Son rythme cardiaque augmente à 70.

-Rafael : Tes une coquine toi ! Tu attend que je te parle pour que tu augmente ton rythme cardiaque !

Alors je continue de lui parler en attendant qu'elle ce réveille.

Je reste comme ça pendant environ 2min à lui parler, mais son rythme ce remet à baisser.

68, 54, 43, 36, 30, 27, 22, 18. Les machines sonnent dans tout les sens et son cœur s'affaiblit !

-Rafael : Médecin ! Hurlais-je.

J'ai tellement hurler qu'on as dû m'entendre jusqu'à dehors mais j'en strictement rien a foutre c'est ça vie qui est en jeu la.

Les médecins arrivent tous, ils retirent le tuyau qui était dans ca gorge, ils augmentent l'oxygène dans ces narine et commence à massage cardiaque.

Son rythme reviens, ouf !

25, 43, 56, 64, 70.

Putain ! Faut pas faire des frayeurs comme ça !

-Médecins : Maintenant elle va ce réveiller dans les minutes qui arrivent.

Ils sortent de nouveau de cette chambre, je m'assois à coter de ma beauté.

Je roule de nouveau ça main dans la mienne.

Ces doigts bougés dans les miens, merci !

Ces paupières cherchent à s'ouvrir jusqu'à s'ouvrir petit à petit.

Point de vue de Léna :

J'ouvre délicatement mes yeux, la lumière est là, je suis vivante ?! Je ! Suis ! Vivante !

Je me rappelle que mes yeux c'était fermer dans la maison de Izan après avoir était attaquée, et les derniers visages était ceux de Rafael et de Lyana.

Je suis dans un lit d'hôpital et également dans une chambre d'hôpital.

Je cherche du regard Rafael, il tient ma main, mes pupilles tombent dans les siennes.

-Rafael : Holà mi princessa. Un grand sourire au lèvres.

Je vais lui faire une petite frayeur !

-Léna : Qui êtes vous ? D'une voix légèrement cassée.

Son visage ce décompose littéralement pendant que j'affiche un sourire.

-Léna : Je rigole imbécil ! Viens là putain, embrasse moi jusqu'à mon dernier souffle !

Son visages s'illumine de nouveau, ces lèvres ce plaquent au miennes, putain j'ai cru que quand j'avais fermer les yeux ça serait la dernière fois que je goûterais à ces lèvres !

LÉNAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant