Chapitre 9 :

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-Loukas : Tu devrais dire ou ce trouve cette cargaison pour être potentiellement libérée.

Loukas tourne le dos en marchant dans la cellule, il as le dos tourné et ici une arme, serait-ce le bon time pour sortir de cette endroit ?

Je prend vite l'arme et je le vise, lui l'a remarqué et souris.

-Loukas : J'en étais sûr.

-Léna : Laisse nous partir, s'il te plaît.

-Loukas : Non mais il y as un truc qui m'amuse !

Je fronce légèrement les sourcils quesqu'il y as de drôle alors que je le braque d'un flingue ?

-Loukas : Le truc qui est drôle c'est que tu me braque alors que tu ne sait pas utiliser un pistolet.

Ma main qui tient le pistolet tremble, vais-je faire un meurtre ?..

-Loukas : Tire et tu pourras sûrement t'enfuir. Allez c'est ta seule chance, je t'en prie.

Les larmes me montent légèrement pendant que ma main tremble, j'abandonne en jetant le flingue sur la table.

-Loukas : Il n'étais pas charger, et même si il était charger tu n'aurais pas tirer, tu sait pourquoi ? Parce que tu n'en serait pas capable, me pensais-tu bête pour laisser une arme chargée à ta dispo ?

J'ose faire un « oui » de la tête, il aurait très bien pu oublier qui sais.

Son visage ce crispe de colère.

-Loukas : Comme tu sait, Rafaël à de la patience mais légèrement et sache qu'avec toi il est sympa, là maintenant je pourrais te tirer une balle dans le crâne mais ça ferait vachement chier parce que t'es yeux sont beaucoup trop précieux. Soit tu m'épargne une journée de regret sois tu parle comme une petite fille qu'on donnerais des bonbons. Dit-it en calmant ces nerfs.

-Léna : Je parlerai seulement à Rafaël ! Dis-je en larme.

Il hausse les sourcils de surprise, c'est vrai que même moi je ne mis attendais pas à ce que j'ai dis, c'est sortis tout seul.

-Loukas : Tes désirs sont des ordres mi querida.

Il attrape sont talkie-walkie pour parler à Rafaël sûrement, il explique que je veux seulement parler au chef.
Discussion talkie-walkie :

-Rafaël : Putain cabrón combien de fois je vais t'expliquer que quand tu parles tu doit rester appuyer que ce putain de boutons !

-Loukas : Ouais hum, la prisonnière ta demandé.

-Rafaël : De quoi tu parles cabrón ?!

-Loukas : Señorita ojos vairons elle veut parler qu'à toi ! (Mademoiselle yeux..)

Puis plus aucun signe, Loukas sort de cette cellule et en attendant je m'adosse sur le mur en mettant les mains dans mon dos.

La porte s'ouvre c'est Rafaël, il le fait toujours aussi peur et j'ai l'impression que quand je le vois il est de plus en plus en colère.

LÉNAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant