Chapitre 26 :

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-Rafaël : Si tu continue comme ça mi princessa je vais finir par te prendre sur ce bureau.

-Léna : Quesqu'il t'y empêche mi amor ?

Il est surpris de ma réponse, et j'avoue que je suis surprise de moi même également. Je n'ai jamais.. fin voila vous avez compris.

Et ça il le sait sûrement car rien que ces mains ce posent sur mon corps, un léger frissons me parcours.

Nos lèvres sont de nouveau en contact, nos corps sont proches et nos langues ce rencontrent.

-Rafaël : Tes sur ?

-Léna : Oui alors maintenant arrête de parler !

Nos lèvres de nouveau en contact mais s'intensifient de plus en plus.

Ces baisés sont maintenant dans mon cou, pendant ce temp je déboutonne petit a petit la chemise de Rafaël.

Une fois ça chemise complètement déboutonné, une des ces mains s'agrippent à l'arrière de mes cuisses et l'autre sur ma nuque. Un petit temp d'arrêt me laisse l'observer et lui également regardant mon visage.

Ça chemise déboutonner me laisse apercevoir ces jolis abdos dessinée ainsi que ces tatouages, ces yeux, ces yeux putain !

Ces yeux bleus ! Je fond !

Il commences déboutonner ça chemise que je porte, il commence par le bas de la chemise, il est tellement long dans ces gestes que ça me donne d'énorme frissons.

Pendant ce temp nos yeux sont plantés entre eux, mon cœur pompe beaucoup, beaucoup de sang face à ce rythme cardiaque énorme.

Il est arrivés au milieu des boutons de la chemise, il commence à déboutonner le haut de la chemise avant que mon soutien-gorge soit offert à ca vu.

Seulement UN et j'ai bien dis UN bouton qui cache mon soutien-gorge mais il s'arrête pour m'embrasser.

C'est langoureux et passionnant, ces mains se déposent dans le bas dans mon dos en s'y agrippant.

Mes mains sont emmêlés dans ces cheuveux.

Nos lèvres sont légèrement rougis et gonfler dû à nos baisés, nos cheuveux sont légèrement emmêlés.

Il s'attaque de nouveau à mon cou, il laisse sûrement des traces, alors si j'en ressors a des traces il doit également en avoir !

J'embrasse légèrement son cou comme lui, j'en laisse des traces sûrement comme lui.

On s'embrassent de nouveaux langoureusement mais toujours plus intense, ces mains sont sous la chemise qui tiens à seulement un bouton.

Ça main glisse sous l'attache de mon souris dans mon dos et redescend jusqu'à s'agripper à mon short que le haut de mes cuisses arrières.

Une voix que on connais beaucoup trop bien nous interpelle brusquement, on avait même pas entendu la porte s'ouvrir..

-Rose : Désolée de déranger ! Mais il y as un problème, un grand problème !

On se retourne brusquement vers cette voix.

-Rafaël : Putain quelque tu veut ?!

-Rose : Des gardes de Pablo sont devant la maison, ils viennent tout juste d'arriver ils n'ont pas encore tirer mais ça va pas tarder ! Les parents de Léna devaient partir avec l'équipe dehors mais les gardes de Pablo était déjà devant alors ils sont dans l'entrée en stress, bouger vos culs avant qu'il attaquent !

-Rafaël : Combien ils sont ?!

-Rose : Je dirais une dizaine !

On sors vite de ce bureau, Rafaël toujours ça chemise ouverte, ma chemise presque complètement ouverte, on dévale les escaliers, on réajustera nos chemises une fois qu'on sera à l'entre car ce n'est pas le plus important pour l'instant.

Une fois qu'on as terminés de dévaler ces putains d'escaliers on se retrouve à l'entrer, on rattache les boutons de nos chemises sous le regards des mes parents ainsi que Rose.

Une fois qu'on as terminés de rattacher ces foutus boutons Rafaël sort son flingue ainsi que Rose mais je l'es arrêtent.

-Léna : Laissez moi faire, préparez seulement 2 cellules.

-Rose : Tu entends quoi part « laissez moi faire » ?

-Léna : J'ai un plan, et dans ce plan vous devez seulement restez ici pour préparer deux cellules. Rafaël dès que je t'appelle t'attrape un gars vivants.

-Rafaël : Fait gaffe, vraiment Léna.

Je le regarde en souriant puis je baisse bien ma chemise pour pas que l'on aperçoit mes armes.

Rafaël sort son talkie-walkie.
Discussion talkie-walkie :

-Rafaël : Hugo prépare deux cellules immédiatement.

-Hugo : De suite.

Je sors de la maison fermant la porte derrière moi, je lève les mains l'air innocente.

-?? : Voilà ta tout compris ma beauté !

-Léna : Garde tes surnoms.

-?? : Viens avec nous, Pablo sera heureux.

J'attrape mon flingue très rapidement, une balle entre les yeux, l'autre une balle dans le cœur, l'autre dans la cervelle.

Je vais m'apprêtée à appeler Rafaël.

-Léna : Rafe !

La porte s'ouvre et il se jette sur le premier venu, je lance mon couteau dans le cœur d'un des hommes.

Il en reste que 2, un homme est déjà sous l'emprise de Rafaël, le dernier je l'attrape également, le couteau sous la gorge, il est complètement désarmé.

On les faits avancés de force jusqu'à la maison, des gardes prennent le relais les envoyant dans les cellules séparées en surveillance.

-Léna : Papa, maman vous pouvez y allez la voiture est la bas.

-Rose : Il faut que Pablo cesse les interventions.

-Rafaël : Oui, il fait que tout le monde ce réunisse pour qu'on effectuent un plan pour l'éliminer et que j'attrape également ces territoires. On doit éliminer Pablo, Abdel et Izan.

-Rose : Donc si on les éliminent tu récupères combien de territoire ?

-Léna : Il en récupère en tout 5 je crois.

Rafaël attrape sont talkie-walkie.
Discussion talkie-walkie :

-Rafaël : Je veux tout le monde dans la salle de réunions, les gardes vous rester à les qu'éveillés et surveille le territoire.

Personne ne répond mais on sait que tout le monde sera là, je fais un dernier câlin à mes parents, qui eux partent dans la voiture pour rejoindre l'hôtel.

Une fois la porte fermée, on va tous dans la salle de réunion, tout le monde est là.

On explique le but d'éliminer Pablo en priorité dans la semaine et de éliminer Izan également.

Le plan ce met en marche, il se développe petit à petit.

On discutent de nos plans pendant des heures et des heures, tout doit être parfait.

LÉNAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant