Chapitre 18 :

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Discussion talkie-walkie :

-Garde : Les gars vous êtes entourés ! On vous attendez devant mais y a les gardes de Pablo qui sont dedans ils vous cherchent !

-Hugo : Bien reçu prend du renfort !

Rafaël balance Guilia de l'autre coter de la pièce, sans savoir pourquoi Rafaël prend ma main et nos doigts s'assemblent, on sort le plus vite possible.

-Rafaël : Hugo tu l'es surveille je veux que aucun y ressort !

Hugo l'accorde, on sort de cette salle de classe, Loukas vient avec nous. On est entourés !

Les balles fusils dans tout les sens, on arrives à en tuer pas mal, nos gardes arrivent enfin.

Ça nous attaquent sans s'arrêter, puis au moment où on croyais que tout était terminée ca bombardes de nouveau.

Une balle passe très proches de moi et Rafaël.

-Léna : Rafaël ta droite ! En criant le plus possible.

J'ai crier tellement fort que toute les classes on dû m'entendre.

Je pousse Rafaël dans la salle de classe de math, celle où nous étions avant.

La porte s'ouvre directement on est plaqués à la porte.

-Hugo : Putain ils sont combien !

-Léna : Et cabrón ferme la ! On se fait bombarder, c'est Pablo il est là pour moi.

-Rafaël : Léna !

Rafaël m'attrape pour me protéger en me mettant sur le coter, il tire. Je me déplace correctement et on enchaîne les tirs en restant dans la classe sous le regard choquée de tout le monde.

J'arrête les tirent car j'ai plus de balles, je me retourne brusquement vers Hugo.

-Léna : Cabrón envoie ton flingue j'ai plus de balle !

Hugo me lance son flingue, je range les flingues dans la poche de mon short.

Rafaël trop concentré dans les tirs je l'arrête en posant mon index sur ça bouche ainsi que la mienne.

-Léna : Arrête les feux, il faut qu'ils croient qu'on est blessés, comme ça ils viennent vers nous et on continuent l'attaque. En chuchotant.

On arrêtent tout les feux et on attends que ils viennent vers la classe pour attaquer.

J'attrape mon talkie-walkie pour savoir où ce trouve Loukas.
Discussion talkie-walkie :

-Léna : Tes ou Loukas ?!

-Loukas : Dans la salle B13, venez m'aider, j'ai besoin de rend fort !

Je lance un regard a Rafaël ainsi qu'à Hugo.

-Léna : J'y vais, mettez les sous les tables. En parlant des gens de la classe qui sont outrés.

-Rafaël : Fait gaffe je surveille tes arrière, si y as un problème fait signe au talkie-walkie.

J'affiche un léger sourire puis je sors, Rafaël garde mes arrières.

Il y as presque plus d'hommes ennemis et tant mieux, ça doit faire une bonne trentaine de minutes.

J'entre dans la salle où ce trouve Loukas, je lui fait signe de venir et de me suivre.

Alors il ne discute pas, on retourne dans la salle où tout le monde.

Ma respiration est saccadée, Rafaël fait signe d'arrêter les coups le feu.

Du sang à gicler sur mon visage à cause des meurtres qui s'accumulent.

-Aaron : Léna quesque tu est devenue ?.. Dit-il complètement affolé.

-Hugo : Probablement une nouvelle mafieuse qui as fait 70 meurtres en une journée, je te conseille de ne pas l'ouvrir avant que Rafaël ou quelqu'un du gang te menace. Ou même qui te tue.

-Rafaël : Fermez tous vos geules putain ! Le premier qui l'ouvre il se prend une balle entre les yeux.

Je tourne mon regard vers Loukas qui lui as l'air déboussolé.

Il saigne, non ! C'est sur son avant-bras.

-Léna : Putain Loukas ! Rafe, fait assoir Loukas, moi je vais allez chercher du matériel dans l'infirmerie.

Rafaël fait assoir Loukas en lui parlant pour essayer de le garder éveillé.

Pendant que Hugo tient toujours en otage les gens de ma classe moi je pars en courant jusqu'à l'infirmerie en restant sur mes gardes.

Une fois que j'ai la trousse de soin je repars vite dans la classe.

Sauf que en arrivant devant la classe j'aperçois un homme visait que Rafaël à l'entrée de la classe mais personne l'a remarqué.

J'attrape mon flingue est je lui tire une balle dans le crâne, il s'affale au sol directement.

Plusieurs cris de peur ce sont entendre, j'entre dans la classe sous le regard choquer des autres.

Rafaël et Loukas partent a l'attaquent pendant je soigne Loukas.

Je prend un scotch que j'enroule fort sur le bras de Loukas pour faire un stop de sang, je retire la balle qui est coincé dans son bras puis je le coud.

-Sergio : Léna.. c'est vraiment toi ?

-Léna : C'est pas l'heure de me faire une moral là, vous ne savez pas ce que j'ai vécu pendant 3/4 jours.

-Aaron : Alors dit le nous !

-Léna : D'accord. Guilia est une menteuse, elle m'a mis dans la mierda en me parlant de ces histoire de cul et je sais pas quoi, on as du voler la cargaison de Rafaël qui contenait 2 millions d'euros. Guilia as tirer sur un homme qui nous as vu puis elle sait faite chopper, moi j'ai du me tailler avec la cargaison. J'ai eu un accident à cause de la fatigue, puis quelque heures après ils m'ont capturée. J'ai appris tout sur les mensonges de Guilia, il y as eu un homme Pablo qui est venus puis quelque heure après il as attaquée, je me suis prise un balle dans le bras puis j'ai était capturé par ce Pablo. J'ai tenter de m'enfuir par tout les moyens en éclatant une vitre mais non ça m'a valut une blessure est maintenant un bandage au poignet, puis je passe tout les détails. Je suis ce que je suis aujourd'hui, et je me fou de vos commentaires, ce que je raconte est seulement 10% de cette histoire.

J'ai terminée de recoudre Loukas et les coups de feu viennent de terminer, Rafaël et Hugo entrent.

La partie est terminé, on as gagné, face à ce que j'ai dis la plupart sont choquée, mais ce n'est absolument presque rien de ce que j'ai vécu en 3/4 jours.

-Rafaël : Lève toi Loukas.

On se lève puis on part mais juste avant de partir je m'arrête devant la porte.

-Léna : Guilia on te retrouvera, cette histoire n'est pas terminé.

-Hugo : Et surtout ma petite puta tu ne pourra pas te cacher éternellement.

Un rire du gang s'échappent de nos gorges puis on sort réellement cette fois ci.

On montent dans les voitures, cette fois ci je suis seule dans la voiture avec Rafaël car tout les autres sont ensembles.

-Léna : Il faut que j'aille chez moi récupérer mes affaires.

-Rafaël : C'est risquer.

-Léna : Mes parents travaillent il sont pas à la maison.

Il fini par accepter, Rafaël a prévenu tout le monde de rentrer directement à la casa, on est maintenant en route chez moi.

LÉNAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant