LÉNA

Chapitre 6 :

En regardant qui ça pourrait être je vois que c'est Rafaël, tout ce que je ne voulais pas. Je suis morte.

-Rafaël : Léna ?

Je relève la tête, c'est la première fois que je le vois, ces cheuveux noir, ces yeux bleus, ça peau légèrement bronzer grâce au soleil comme la mienne, il est grand et musclés.

Je le dévisage en l'observant, il commence à avancer vers moi mais je recule jusqu'à heurter le mur.

Je glisse jusqu'à la droite jusqu'à heurter la fin, je suis finie maintenant.

Mes yeux vairons rencontrent ces yeux bleus meurtriers, un bleu tellement meurtrier qu'il en fond la chair de poule.

Je m'assoie dans le coin du mur en roulant mes bras autour de mes jambes. Et mes jambes coller à ma poitrine.

Il s'installe juste en face de moi en s'accroupissant seulement ces pieds touche le sol puis le reste de son corps tiens l'équilibre.

Je le dévisage une dernière fois pour voir à quoi il ressemble. Il fait peur..

Son arme viens de claquer juste à coter du mur ce qui viens de me faire sursauter de peur en accélérant mon rythme cardiaque.

-Rafaël : Regarde moi ! Dit-il sur un ton froid mais calme, en dirait qu'il se retient.

Mes yeux vairons rencontrent une nouvelle fois ces yeux bleus.

-Rafaël : Tu sait qui je suis pas vrai ?

Je le regarde simplement sans répondre ces yeux ne quitte pas les miens.

-Rafaël : Léna, sait-tu qui je suis ?

J'agite le légèrement la tête de haut en bas pour dire « oui », j'avale difficilement ma salive sous la peur.

-Rafaël : Alors qui je suis ?

-Léna : Ra.. Rafaël. Le chef du cartel de Madrid..

-Rafaël : Bien bonne réponse Léna. Maintenant, où.est.ma.marchandises ?

-Léna : Je t'en supplie, ne me tue pas !

Il fronce les sourcils avec un léger sourire.

-Rafaël : Veut-tu que je le fasse maintenant ?

-Léna : Non ! Non ! S'il te plaît..

-Rafaël : Alors où est ma putain marchandise ?!

-Léna : Je peux pas.. je peux pas le dire..

Il se lève m'entraînant avec lui dans son mouvement.

-Rafaël : Tu me tiens tête toi et tes putain de yeux vairons ?!

A vrai dire je ne comprend pas vraiment alors je feinte les sourcils, je vois pas le rapport avec mes yeux vairons ? Je suis plaquée contre le mur ça main enroulant mon cou sans pression, il est proche de moi, même beaucoup trop à mon goût.

-Léna : Je.. Osais-je commencer.

Mes larmes au yeux n'arrange rien, ça prise sur mon cou ce resserre légèrement, son corps et coller au miens, ça tête ce rapproche de mon oreille. En même temp il as poser son flingue mon ventre qui est dénudé a cause de mon top et mon short ce qui m'en donne des frissons.

-Rafaël : Où.est.ma.cargaison.Léna ? En passant légèrement son flingue pour lever légèrement mon top.

Ça m'en donne encore plus de stress, je ferme les yeux en avalant difficilement ma salive.