Chapitre 13 :

175 5 5
                                    

Une fois qu'on est arrivés devant chez Pablo, bien évidemment on ne se gare pas devant.

On se gare légèrement plus loin, on ce cache derrière les murets.

Puis on tirent sur chaque gardes, aucun survivant, c'est tout ce qu'il faut.

Point de vue de Léna :

D'après une fenêtre qui montre qu'il fait jour je dirais qu'on est dans les environs de 10h ?

J'ai eu énormément de mal à dormir et heureusement l'autre pervers n'as pas pointé le bout de son nez cette nuit.

J'ai énormément faim puisque je n'ai manger que depuis hier matin mon petit déjeuner chez moi.. ma famille me manque terriblement.

Tout à coup la porte s'ouvre brusquement, et voici le gros pervers de nouveau dans cette chambre..

Décidément quand on parle du loup.. mais j'aurais ne pas en parler alors..

-Pablo : Mi amor on va continuer la ou on sait arrêter hier..

Je me lève brusquement pour tenter de trouver une issue de secours. Une fenêtre !

Une fenêtre !

Oui une fenêtre !

C'est du verre, il suffit que je l'explose et m'enfuir, on est a seulement un étage alors je risque seulement de me foulée la cheville.

Je préfère largement me blesser que de briser ma virginité par un violeur, car oui on ne peut même pas appeler ça une première fois..

Il avance vers moi, mais je cours jusqu'à cette fenêtre.

Je perd pas de temp pour enfoncer mon poing dedans ce qui brise la fenêtre.

En y ressortant mon poignet droit j'ai des bouts de verre enfoncés ainsi que mon poignet en sang.

Décidément en 2jour j'ai était kidnappé deux fois et blessée un nombre infini.

J'allais m'apprêtée à sauter lorsque ce pervers ma attrapée et plaquer contre le mur.

Sauf que cette fois il me bat jusqu'à ce que je perde conscience.

Point de vue de Rafaël :

On as tuer tout les gardes qui était dehors, il y as personnes dans la maison pour l'instant.

Tout les gars restent en bas à l'intérieur et moi je monte à l'étage sans essayer de faire de bruit.

Plusieurs cris ce fait entendre en bas mais aussi en haut, et ces cris proviennent d'une voix que je reconnais instantanément, Léna.

Je charge mon arme immédiatement pour être sûr que cette balle partira.

Point de vue de Léna :

Après avoir était battu par ce vieux pervers j'ouvre délicatement les yeux.

Je suis attachée d'une menotte du poignet droit à un chauffage, mais il as retirer mon t-shirt, il est fier de lui..

LÉNAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant