Chapitre 10 :

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En moins de 5min les deux personnes demandaient dans la cellule.

Lorsque ils sont arriver j'aperçois que Guilia a encore était battu..

J'allais me lever mais la main de Rafaël posée sur mon épaule arrête mon geste.

Mon regard passe dans tout les regards de cette pièce, Hugo, Adrian, Guilia et Rafaël.

-Guilia : Désolée Léna..

Elle pleure et craque ces doigts, ça montre son signe d'angoisse.

Mais elle est désolée de quoi ? C'est moi qui as décidée de la suivre dans cette histoire.

-Rafaël : Répète ce que tu ma dit il y as moins de 10min.

La voix froide de Rafaël frissonne dans mon corps, tout les regards sont sur moi.

-Léna : C'est Hugo.. c'est le traître.

-Hugo : Perdón perra ?! (Pardon Salope)

Hugo d'un élan d'avance vers moi mais Rafaël l'arrête directement à l'aide de ça main sans me lâcher.

Hugo tenait toujours Guilia fermement qui elle pleurait.

-Rafaël : Alors dit nous Hugo ? D'après ce qu'on entend tu revend des infos du cartel à nos rivaux ? Et ma coke était pour un cartel ennemis, c'est ça ?

-Hugo : Te a voy a partir esa cara de puta ! (Je vais te baiser salope !)

-Léna : C'est ton traître Rafaël ! S'il te plaît je t'en supplie pour que tu me croit ! Il voulait enlevais la vie de ma meilleure amie ! Il te trahira toi et ton gang comme il le fait en revendant les infos ! Lâchez nous pour favor !

-Adrian : Mi querida niña, le pire c'est que dans l'histoire que t'a copine la puta. Ta inventé plein d échoués au quel tu as l'air d'y croire !

Je fronce les sourcils, donc ils nous croient pas ?! Guilia et Moi allions poudroie maintenant ?!

J'aurais jamais dû voler cette marchandise et simplement écouter mon instinct ! Mon idée d'aller parler directement à Rafael nous aurait éviter d'une balle entre les yeux !

Mon visage est remplis d'incompréhension, Rafaël finit par attraper mon visage dans ces mains.

-Rafaël : Ta copine ici. En dirigeant mon visage vers elle. Ta raconter des bobard, de la connerie, et que ta cru mais ça signera ton arrêt de mort aujourd'hui. En me regardant droit dans les yeux.

Je suis déboussolée, je regarde ma meilleure amie..

-Léna : Guilia ! Dit leurs !

Mais rien elle regarde le sol, comment ?..

-Léna : Guilia ?.. Tu ma mentis ?..

Aucun regard ni paroles de ça part.. maintenant comment faire confiance quand même quelqu'un de chère de ment..

Je la regarde avec de la colère et du dégoût, elle m'a mise dans cette merde et elle me ment..

Une larme s'échappe de mon œil gauche, la déception peut ce lire dans mes yeux.

Tout à coup Hugo sort son flingue qui était dans la ceinture de son pantalon.

Il pose son flingue sur ma tempe tout en enlevant la sécurité, ça me vaut un léger sursaut.

Mon rythme cardiaque s'accélère de plus en plus, et je peux même dire que ça s'entend à ma respiration.

Je tourne ma tête sur la main de Rafaël qui est toujours sur mon épaule pour éviter que je me lève, alors je dépose mon regard dans le sien.

Dans son regard on ne comprend pas vraiment, il réfléchit ?

Je remet mon regard de colère et de dégoût sur Guilia qui elle regarde toujours le sol.

-Hugo : Je la bute Rafe ?

-Rafaël : Non, du moins pas encore.

Il l'a dit avec de la douceur ? Et calmement..

Guilia me regarde enfin, elle est décomposée en me voyant sous l'emprise de deux mafieux qui un me menace.

Hugo retire enfin son flingue de ma tempe, un soulagement, dois-je te remercier Rafaël ?

Non après tout je vais mourrir dans tout les cas.

Hugo ce remet à ça plage en tenant fermement Guilia qui me regarde enfin.

Rafaël fini par me lever de ma chaise, son corps et coller à mon dos.

Ça main droite tien ma mâchoire pour bien me montrer la direction de « ma meilleure amie ».

Il est si proche que son souffle est dans mon cou, j'essaye de déglutir le mieux possible. Ça bouche et proche de mon oreille de pouvoir me chuchoter.

-Rafaël : Ce qu'il sait vraiment passer, c'est que la puta aquí presente (la pute ici présente), c'est un jour « éprise » de mon bras-droit. Et puis la puta s'associe avec une autre puta. Et ensemble elles découvre un bon marché qui rapporte bien plus que de baisé le premier devant la porte. Oui plus risqué mais avec de l'intelligence en y arrive, l'argent ce fait bien plus rapidement évidemment.

Il prend une légère pause, ça main s'enlève de ma mâchoire et ces deux mains ce posent sur mes épaules.

Ça main gauche tien son flingue sûrement chargée en désignant Guilia.

J'avale une nouvelle fois ma salive difficilement et je tourne légèrement ma tête vers celle de Rafaël qui je me rend compte et très proches de la mienne.

Je dirais 20cm qui éloignent nos visages, ces yeux bleus ce plantes dans les yeux vairons, je fini par reposer mes yeux sur Guilia.

Si vous savez comment je suis déçu d'elle.. et de surtout de l'avoir suivis alors qu'elle me mentez..

-Rafaël : Et ce marché des dos putas s'appelle « baisé le business de Rafaël », et tout ça à travers ce cabrón. Les deux putas s'amusaient à sauter mon bras-droit pour prendre le plus d'infos possible, et quand ce cabrón avait le dos tourné elles écoutaient ces conversations et fouiller son téléphone et si des informations importantes s'y trouvaient alors elles le volaient. C'est ça toute la vérité princessa.

Je ne répond rien je regarde seulement Guilia qui me fixe, elle me regarde comme si elle s'en voulait sauf que moi je la regarde de dégoûts.

-Rafaël : En ce qui concerne Hugo, il n'a pas jamais appuyé sur la détente pour tuer Victoria. C'est un Ylan qui l'a fait, celui que Guilia a buter pour voler ma cargaison c'était une taupe aussi. Mais sache que ta copine t'a entraîner dans cette merde noire pour te demander ma protection. Elle avait tout simplement peur de buter l'assassins de ça copine, toute.seule.

Mes larmes coulent seule dans mon contrôle, ce sont des pleures silencieux. Réellement j'aimerais ne pas croire Rafaël, mais tout ce raccordent, Guilia ma menti, et j'en est la preuve dans ces yeux.

LÉNAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant