Chapitre 30 :

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Je ne sais pas pourquoi mais je suis sûr qu'il se passe qu'elle chose entre ces deux là.

Comme deux petits suspects d'une relation secrète, je suis couper dans mon analyse lorsque Rafaël apparaît derrière moi.

-Mateo : Oula j'en connais qui n'ont pas que dormi hier !

-Rafael : Ta geule Mat ! Vous êtes pas innocents vous deux, vous croyez que jsuis con ?

-Rose : Je vois pas de quoi vous parler, je vais déjeuner !

-Rafael : Vous baisés ensembles ça se voit à 600 mètres bande de cons.

Un léger rire nerveux s'échappent entre leurs lèvres.

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Rose Hugo et Mateo sont parties je ne sais où, Adrian n'as toujours pas pointé le bout de son nez depuis hier soir et Loukas est partis dès le réveil.

Nous sommes donc seul, on est sur le canapé, ces jambes sont écartés et son bras gauche est sur le canapé des pauses tête et son autre bras poser sur mon dos, moi je suis en califourchon sur lui jouant avec ces mèches rebelles,

Il regarde la télé pendant que je place bien ces cheuveux, ces yeux s'ancrent dans mes yeux vairons.

Son bras qui était poser sur les têtes de pauses canapé ce place dans ma nuque est ces doigts atterri dans mon collier pour me demander de rapprocher mon visage du sien.

Puis quelque minutes nos lèvres ce mêlent ensembles.

-Adrian : Rafe ! Rafe ! Putain les gars !

On ne s'attendait pas à entendre Adrian, lorsque on entend ça voix on tourne directement la tête vers lui.

Il as une sale geule est on pourrait même dire qu'il as pleurer, des marques qui sont sûrement des coups sont sur visibles sur son visages.

-Adrian : Oh lieu de vous apprêtez à baisés ensembles Rafe j'ai un problème un gros !

-Rafael : Bah débite !

-Adrian : La petite, ma fille putain ! Lyana ! Les gardes de Izan l'ont enlever avec ça mère, Céline putain !

Quoi Adrian ? Adrian, papa ? J'aurais jamais penser mais ce qu'il dit est choquant, une petite enlever ?!

-Rafael : Assis toi et raconte tout !

-Adrian : Il faut faire vite ! Hier soir je suis rentré pour allez les voirs, et je l'es est vus ligoter toute les deux et on m'a poser un flingue sur la geule est j'avais pas mon putain de flingue ! Il était vingt ou je sais pas ! Bordel la petite a 3ans elle sait marcher et à peine parler !

-Léna : On va la retrouvée.

-Adrian : Putain de merde ! J'ai tout fait pour cacher son existence mais non ! Bordel de merde !

-Rafael : Préviens l'équipe on dégage immédiatement, on saute dans le premier jet privée pour allez chez cet enfoirer, on récupère le frère de Léna, ta fille et Céline.

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Toute l'équipe est dans ce jet, il est 11h. On manges dans l'avion est on se prépare pour l'intervention.

2h de vols, donc 2h pour préparer un plan solide contre ce connard.

Le premier qui trouve la petite là choppe, également pour mon frère et là fille de la petite.

Le premier qui trouve prend. Et tout les gardes de Izan ainsi que lui ça meurt sans réfléchir.

On as pris aucune affaire, seulement des armes et quelques soldats.

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On viens d'atterrir à destination, on est maintenant sur les terres de ce connard de Izan alors il faut faire attention à chaque pas.

On montes tous dans nos véhicules, je suis dans le même véhicules de Hugo Rafael et Rose.

Le trajet ce fait très rapidement vu la vitesse, en moins de 5min c'était terminer, on est environ 6 voitures.

Cette fois on ce gare devant la propriété on en as rien à foutre, maintenant on assassine tout les gardes jusqu'à entrer dedans.

Personne a part quelque gardes on était touchée, on peut maintenant entrer, le plan est que on montent chacun à chaque étages, je monte au dernier étages. Le but est d'être le plus discret.

Sans regarder derrière moi je tape un sprint dans les escaliers avec mon flingue à la main.

Des pas sont derrière moi mais c'est des gars du gang pour monter jusqu'au étages, puis plus aucun pas puisque ils sont dans leurs étages.

Je suis maintenant seule au dernier étages, mon arme est charges prêt à tirer, il y a 4 portes et j'espère trouver au moins 1 personnes qui est sur notre listes. Soit la femme de Adrian, sois mon frère sois la petite de 3ans.

J'ouvre une porte, personne ce sont des toilettes, j'ouvre une autre porte, personne c'est une salle de bain.

J'ouvre une porte, c'est une chambre est personne dedans, plus que une.

Si personne est là ça veut dire qu'elle est dans d'autres étages, pendant ce temp plusieurs cris, gémissements de douleurs et tirs ce dont entendres plus bas.

J'ouvre la porte, je vérifie, mais rien.. sauf que j'entends des pleures qui m'intrigue.

Je tombe nez à nez avec une petite fille de 3ans, blonde au yeux bleus/vert, traumatisée et rempli de peur.

Elle est ligotés des pieds, les poignets et la bouche en pleure, je me dépêche d'avancer vers elle.

Je lui fais signe de ne rien dire, je lui enlèves cette cordes qui la serrer et lui retire le scotch de ça bouche.

-Léna : Je suis là pour te sauver, tu connais Rafaël ?

-Lyana : Ui.. tío Rafaël.. t'es qui toi ?.. En pleurant tout en grattant ces yeux.

-Léna : Je suis l'amoureuse de Rafael, on est venus te sauver toi et ta maman. Je m'appelle Léna.

-Lyana : Merci.. je vais t'appeler tía Léna. En tentant de retirer ces larmes.

Je lui adresse un léger sourire, je retire ces larmes à l'aide de mes mains, je l'aime déjà cette petite, puis je lui prend la main pour sortir de cette endroit qui doit lui être traumatisant.

On allait s'apprêter à descendre les escaliers mais..

Izan, je l'avais vu en photo lors de la réunion ou j'ai appris son existence.

-Izan : Une héroïne qui viens sauver la petite, miracle ! On se rencontre enfin ! Tu viens sauver la petite mais pas ton frère ?

-Léna : Ne t'inquiète pas pour ça on est plusieurs entrain de tous les sauvés, alors dégage avant de te prendre une de mes balles dans tes yeux !

-Izan : J'ai hâte de voir ça !

Je lâche la main de la petite qui sait automatiquement agripper à ma jambe droite de son tout petit corps, je dégaine le plus rapidement mon flingue et lui son couteau qui a l'air très tranchant..

Je vise entre ces yeux.

-Léna : Ferme les yeux Lyana.

Sans attendre elle ferme les yeux en restant toujours agrippée à moi, j'appuie sur la gâchette mais pas de balle qui sort ?!

LÉNAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant