deuxième P.2

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PDV Max
Toujours Installer dans ma monoplace je regarde la voiture devant moi. Plus que deux feux avant le départ. Je sais que je peux le faire, je m'y suis préparer. Je ne veux pas décevoir mon écurie. Le dernier feu s'allume. Je commence à appuyer sur la pédale. Au premier virage je dépasse Bottas. Deuxième tour Je dépasse Tsunoda. Me voilà treizième. Je remonte doucement. Quatrième tour me voilà onzième. Pendant plus de cinq tours je reste derrière Zhou mais à un virage le voila qui bloque ces pneus. Je profite de l'occasion pour le doubler. Dixième. Quatorzième tour me voilà huitième. Je remonte doucement, montrant que malgré ma position je peux toujours remonter. Quand je passe devant la voiture de Gasly je ne peux m'empêcher de lui faire un doigt suivies d'un au-revoir. Aux dix-septièmes tours me voilà quatrième. Plus que trente-trois tours. Je peux largement remonter et être devant. Il le faut ! Après avoir doubler quelque personne un drapeau jaune bat dans les airs. Quelques mètres plus loin une Safety cars arrive. On m'informe qu'aux secteur deux Stroll et arrêter. Il fini la course en étant quatorzième. Pendant plus de deux tour le drapeau jaune et déployer. Au tour dix-huit nous pouvons repartir. C'est au vingt-cinquième tour que je me place deuxième. J'ai passé George et Fernando. Malheureusement Perez refuse de me laisser passer. Pendant plusieurs tours on s'attaque mutuellement. Parfois passant premier et parfois revenant deuxième. L'équipe ne dit rien. Je commence à m'énerver. Quils disent quelque chose ! Je sais que Perez à beaucoup à prouver Je sais que je suis dans lécurie depuis plus longtemps que lui. A peut prés huit ans alors que ça ne fait que trois ans de son côté. Il veux prouver qu'il est capable de gagner. Mais cette bataille devient énervante. Qu'ils nous disent nos places simplement. Mais non. La course continue comme ça. Sergio, Moi et Fernando. Je penser avoir qu'il aurait résister plus longtemps mais apparemment non. La fin de course arrive. Une fois la ligne d'arrivée des feux dartifice explose dans le ciel. Regardant se spectacle depuis ma monoplace. Je ne peux que penser que je suis chanceux d'être ici et que je pratique le meilleur sport. Une fois sortie de ma monoplace, garez devant le numéro deux je me dirige vers mon équipe. C'est grâce à eux malgré tout que je suis ici. Ils ont vue en moi des compétences que je n'avais jamais découvert quand j'étais petit. Je pars serrer la main à mon co-équipier ainsi qu'à Fernando. Nous partons ensuite au podium. Fernando et appeler, la foule crie il est rare de voir Aston sur le podium. Viens ensuite mon tour. Main en l'air je salue la foule. Puis vient Sergio. L'équipe applaudi. Des visages heureux d'autre plus triste mais qui nous félicite. Nous récupérons nos trophées et comme tous sport viens le champagne un moment que tous pilotes adorent. Un moment rempli de joie, de rire. Un moment qui veut tout dire, qui récompense les pilotes.

Le champagne fini vient l'heure  des photos ainsi que des interviews. Je pars en direction du paddock pour me changer. Le champagne c'est bien mais quand ils se met à coller beaucoup moins.

Je récupère ma gourde ainsi que mes affaires et part me changer. Mon jean ainsi que ma chemise mise. Je récupère mon sac. Je vérifier que jai tout, Casque combinaison, gants.etc

Et je sors du paddock. Je remercie encore une fois l'équipe. Clé de voiture dans une mains et trophée de l'autre. Je me dirige vers le parking. Arriver à la voiture je pose mes affaires dans le coffre. Puis  je me dirige vers la place conductrice. Mais en ouvrant ma porte

-Je suppose que je dois te féliciter ?

Je me retourne

-Pourquoi le ferai tu ?

-C'est vrai pourquoi ?

Je croise les bras

-Pierre écoute !

-Laisse-moi finir Max, sil te plait..

-...

-Il est vrai que que rien ne m'oblige, mais on m'a toujours dit d'être proche de ces amis comme de ces ennemis.

-Je doit le prendre comment ?

-Comme tu le veux

-Parce-que depuis une semaine je ne fais que réfléchir et je commence en avoir marre. Quand tu m'as parler la première fois. Tu sais à Bahreïn Je me suis méfié. Pour te la faire courte je ne sais pas pourquoi tu veux qu'on soit amis. Mais je vais arrêter de trop réfléchir et me dire que pour une fois tu es sincère.

-Tu veux être mon ami ?

-J'ai envie de te donner raison. Mais tu restes un ennemi à abattre sur la piste

-Amis ?

Sa main est tendue vers moi. J'hésite un moment veut -il me faire une crasse ? et puis zut !

J'attrape sa main et dit dune voix forte et déterminer

-Amis !

Je m'apprête à la lâcher sa main mais il me tire vers lui. Manquant de trébucher ma main se rattrape à son torse.

Le regardant dans les yeux je peux lire une certaine malice. Je le vois se pencher vers moi. Son souffle contre mon visage me fait frissonner. J'essaye de paraître neutre. Son attitude non attendue ma déconcerter. Je le vois se pencher un peut plus. Ma main toujours dans la sienne et son souffle sur mon coup me gêne, cette proximité soudaine me met mal à laise.

Et puis une voix roque apparaît

-Sache que je me vengerai Maxou, Si tu penses que je n'avais pas vue ton doigt lors de ton dépassement tu te trompes. Passe une bonne soirée

Puis il séloigne de moi à grand pas. Et moi comme un con je reste planter là. Je le regarde sans aller. Que vient -il de se passer bordel ! Je passe une main dans mes cheveux. Frustrer c'est sûr ! Reprenant conscience petit à petit je monte dans ma voiture. Et part à l'hôtel pour une dernière nuit.
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et voila un nouveau chapitre qui aura pris plus de temps que les autres. Quand l'inspiration ne prend pas rien ne sert de précipiter les choses .Il faut savoir prendre le temps. J'espère que ce nouveaux chapitre vous plaira on se dit à bientôt :)

QUE CHOISIR ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant