Chapitre 18

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Sixième jour : partie deux

Le bal allait commencer dans environs deux heures, Hermione avait passé sa journée à éviter Théo. La mère de Théo, Elisabeth, avait bien pu constater que lorsque l'un deux était dans une pièce l'autre s'éclipsait pour une raison ou une autre. C'est deux là étaient fait pour être ensemble.

Toutes ses amies et hôtes lui avaient fait les louanges de la jeune Gryffondor, que se soit avec son intelligence que sa grâce ou son sourire avait conquéri l'assemblée. Elle soupira.

Elle s'avait que son fils aimait Hermione. Elle l'avait su dés sa 3ème année à Poudlard. Dans la lettre qu'il lui avait écrite. C'était la première fois que son fils lui parlait d'une fille, lui parlait d'elle, « une sang de bourbe » et à travers leur correspondance le mot « sang de bourbe » fut transformer par le mot « notre rouge » et des fois, elle pouvait lire "Ma rouge".

Son fils était trop aveuglé par la compétition avec elle que voir que son comportement vis-à-vis d'elle dépasser la simple concurrence, ça frôlait l'obsession. Dés fois, elle pouvait avoir deux lettres par semaine de son fils où celui-ci lui écrivait des pages des exploits de Sa rouge. Lorsqu'il l'avait ramenée au Restaurant. Elle s'était sentie soulagée.

Voici la fameuse Hermione qui avait transformé son fils. Elle correspondait parfaitement aux descriptions que son fils lui faisait dans ses lettres. Aussi belle qu'intelligente, douer pour la repartie. Lors de leur bal, elle avait sentie que le rapprochement s'était fait entre ces deux là. Elle avait pu constater des sourires s'échanger, des frôlements de mains discrets mais maintenant, on dirait qu'un froid régner entre eux.

Elle souffla et se dirigea vers les invités qui venaient de faire leur apparition dans la salle de Bal.

Dans les appartements de Draco et d'Harry

Lorsque Draco rentra dans son appartement, il vit Harry assis sur le canapé du salon. Il s'approcha doucement de celui-ci et il constata que celui-ci pleurer. En face de lui, il y avait un parquet déballé où on pouvait clairement voir un balai.

-Harry ?, fit Draco tout en se mettant devant Harry. Qu'est ce qui se passe ?, ajouta-t-il.

A peine avait-il fini sa phrase qu'Harry se jeta sur lui et ils tombèrent à la renverse, Draco en dessous et Harry sur lui.

-Merci, milles mercis, dit Harry en lui souriant chaleureusement. Ils ont pu le réparer.

Lorsqu'il vu le visage d'Harry orner de se beau sourire, il sentit son cœur se réchauffer. Il adorait ce sourire qui n'était destiné qu'à lui. Draco serra Harry dans ses bras.

Après quelques minutes, Harry sentit quelques choses de dur qui appuyer sur son ventre et il rougit. Lorsqu'Harry voulut se lever, Draco le renversa et il prit la place du dominant.

-Draco, murmura Harry avant que Draco ne se penche et lui prenne ses lèvres entrouvertes avec une urgence.

Une façon de le marquer à jamais. Qu'il est et sera toujours à Draco. Harry se mit à trembler et se presser contre le corps chaud de son vert. Il commença de ses mains hésitantes à défaire la chemise de Draco. Celui-ci sourit face à l'initiative de son rouge et laissa faire. Lorsque la chemise fut défaite et sur le sol, il sentit les doigts d'Harry.

Harry explorait son torse et lentement glissa vers sa ceinture qu'il défit puis sur le bouton et la braguette de son pantalon. Avec une lenteur calculée, il fit glisser la pantalon et puis le boxer de son vert et il encercla de ses doigts la virilité tendue de son verts et commença des lents mouvements qui faisaient échapper de la bouche de Draco des gémissements.

MaladresseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant