Chapitre 29

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Théo parcourait les couloirs de Poudlad à la recherche d'Hermione. Grâce à ses relations au ministère, il avait bien eu la confirmation que celle-ci avait bien introduite un formulaire pour s'émanciper.
Avec quelques menaces et pots de vin. Il avait eu accès à son dossier. Lorsqu'il avait feuilleté le dossier pour trouver le passage qui indiquait les raisons de l'émancipation. Elle avait simplement marqué : « raisons personnelles ».

Comment pouvait-il accepter une émancipation que sur la base « de raisons personnelles », pensa-il tout en serrant le dossier dans sa main droite. Normalement, le dossier devait être refusé. C'était la procédure mais la rouge avait sûrement fait jouer de se relations aussi. Elle était quand même une des héroïnes de notre époque.
Il jura.
Ce qui le mettait en colère c'est qu'il ne connaissait qu'une seule raison qui faisait qu'une fille demande une émancipation sachant qu'elle aura son anniversaire dans quelques mois et sera libre de faire ce qu'elle voudra : le mariage.

Elle allait se marier. C'était sûr. Mais avec qui ? Krum ou l'autre type qu'il avait vu plus tôt dans la mâtinée.

Soudain, il s'arrêta de marcher. Elle allait se marier. Il ne pourrait plus jamais caresser sa peau douce, ne plus sentir son corps contre le sien, ne plus sentir son odeur dans une pièce. Ces rires ne lui seront plus adressés. Il l'aurait perdu... il devait se l'avouer, sa mère avait raison. Il aurait du se battre mais sa fierté avait pris le dessus et voilà le résultat.

Il secoua la tête. Il devait se battre. Merde, c'était un Nott. Ces ancêtres n'ont pas construit leur fortune en baissant les bras. Il continua à avancer et au détour d'un des couloirs. Il vit l'objet de ses pensées parlait avec un homme, c'était celui avec qui elle avait eu un rendez-vous plus tôt dans la journée.

Ils avaient l'air en plein conversation. Elle lui touchait le bras tout en le souriant. C'est lui, l'homme qui lui avait volé son Hermione. Il jura tout en serrant encore plus le dossier de ses mains.

Brusquement, il les vit marcher dans un des couloirs. Théo les suivit. Il avait été à deux doigts explosé lorsqu'il avait vu cet homme mettre sa main sur le ventre et le dos d'Hermione tout en riant. Elle le laissait la touché. Soudain, ils disparurent dans la tour des gryffondors.

Il entra dans une salle de classe. En suite, il jeta un sort de silence avant de tout cassée dans la salle de classe. Il fracassa les chaises sur le mur, il jetait des sorts sur les tables. Lorsqu'il se calma. Il répara une des chaises et s'assit.

- Elle n'était pas encore mariée, se dit-il à haute voix. Donc il avait toutes ses chances de la récupérée. Ils avaient bien eu un passée ensemble. Elle avait bien succombé à ces charmes. Il devait voir un plan. De un, il allait trouver tout ce qu'il pouvait contre ce type. De deux, il allait séduire sa belle. Il allait lui montrer qu'il était le meilleur parti pour elle. Si elle devait se marier ce n'est qu'avec lui. Il savait qu'il était l'homme qui lui fallait, idem pour elle.

C'était décidé. Il se leva et commença à réparer la salle.

Dans la chambre des Gryffondors

Au moment où Mark et elle sont rentrés dans la chambre. Elle entendit le docteur Mark crier sur Harry car celui-ci avait manqué leur rendez-vous du matin et tous deux commencèrent une joute verbale. Elle avait eu l'autorisation de l'appeler Mark vu qu'elle allait devenir son assistante. Elle sourit tout en profitant de la joute verbale pour le détailler.

Elle avait toujours du mal à croire que celui-ci était le cousin de Severus. Plus, elle l'observait plus elle remarquer leurs points de ressemblances. Ils avaient les mêmes cheveux noirs charbons saufs que leur professeur les portait jusqu'à sa nuque et Mark plus court. Ils avaient le même nez, le même regard glaciale, la même couleur de peau... Plus Mark lui parlait de leur professeur plus elle commençait à apparier le professeur Snape. Il y avait une telle douceur et tendresse dans la voix de Mark qu'on ne pouvait qu'apprécier l'horrible professeur Snape. Il le considérait comme le frère qu'il n'avait jamais eu, lui avait-il confié hier lorsqu'ils préparaient des potions ensemble. Celui-ci l'avait engagé comme assistante et grâce à lui, elle pouvait avoir un revenu fixe pour elle et pour sa fille. Elle attendait une petite fille.

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