Abigaïl voit sa vie partir en fumée pour une erreur.
Impardonnable
Inacceptable
Irremplaçable ...
Quatre mois d'horreur avant de voir la lumière au bout du tunnel et puis finalement peut-être pas.
Un monstre après l'autre Abigaïl renaîtra-t-elle de...
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Sam
Flash-Back
Une fois à la maison, j'attrape deux bières dans le réfrigérateur et invite Abi à me suivre dans ma chambre. Je dépose le tout sur mon lit et la contemple émerveiller.
Elle est si belle dans cette robe, si différente. Abi n'a jamais eu besoin de beaucoup pour être à tomber et elle le prouve encore aujourd'hui avec cette simple robe épousant chacune de ses formes. Je ne peux pas cacher mon sentiment de jalousie devant tous les regards qui ont dû se poser sur elle. Si elle ne m'avait pas demandé de partir, je l'aurais fait moi-même pour ne la garder que pour moi.
Je décapsule l'une des bières et la lui propose. Elle hésite, mais finit par abdiquer. Je m'empare de la seconde, l'ouvre et en bois une gorgée goulûment, même si j'ai encore la gueule de bois, comme on dit, il faut vaincre le mal par le mal.
_ Vas-y tu ne seras pas ivre avec une seule canette. Je l'encourage, elle apporte la boisson à ses lèvres, penche la tête et en boit deux lampées. Ses seins montent et descendent sur chaque gorgée, réveillant ma queue pourtant épuisée dans mon jogging.
Je tire sur son bras la rapprochant de mon corps tendu à l'extrême. M'emparant de sa bouche que j'explore, sa langue glisse sur la mienne, son goût est fabuleux, un mélange de bière et son goût qu'il lui est propre. Ma nouvelle drogue préférée.
Nos bouches se séparent, je récupère sa bière et la mienne que je dépose sur mon bureau, elle observe chacun de mes mouvements avec grand intérêt. Je m'installe sur le lit, calant mon dos contre la tête de lit, elle retire son gilet lentement en dévoilant ses bras nus. À quatre pattes, elle avance, m'offrant une vue pigeonnante sur son décolleté. Je bande de plus en plus fort, ça en devient presque douloureux. Malgré la nuit dernière, cette fille arrive toujours à réveiller des parties de mon cœur mort, mais je ne dois pas oublier de qui il s'agit, elle et moi, c'est impossible, malgré mes sentiments de plus en plus fort.
Ses cuisses viennent se placer de part et d'autre de mes hanches, mes mains se posent instinctivement sur son corps, ma langue glisse sur sa gorge et remonte sur ses lèvres que je tire entre mes dents. Elle gémit, puis commence des va-et-vient sur ma verge déjà sur le point d'exploser.
Sa bouche chaude glisse contre la partie sensible de mon oreille qu'elle embrasse du bout des lèvres.
_ Abi, tu me rends fou.
Pour réponse, je n'ai que l'accélération de ses frottements. Je glisse une de mes mains contre le tissu de sa culotte et suis surpris de découvrir de la dentelle. Elle veut ma mort, je la bascule sur le lit et relève sa petite robe sur son bas-rouge. Putain, le contraste est divin.
Je passe le nez sur sa dentelle si trempée.
_ Fais-moi tienne Sam.
Ma tête se relève pour lui faire face, je pense avoir rêvé de ses mots.