The Golden Ghost Tome I

5- Fin de soirée embuée*

Astra Stone

Je refuse d'y croire ce n'est juste pas possible, pourtant la taille, la corpulence, la masse, tout correspond, je reste méfiante, mais j'ai peur de le vexer, il ouvre grand ces bras.

J'hésite, mais après réflection, je me jette dans ses bras, il n'a pas la même voix, c'est ce qui me fait me crisper, mais je l'ai remarquer que trop tard...

Dans ses bras, je remarque qu'il ne sens pas comme mon père, il n'a pas la même étreinte, je panique, je tente de me détacher de lui.

Sans succès.

- Papa lache moi s'il te plaît.

Je continue de forcer pour qu'il lache prise.

- Tu vois à quoi je ressemble ? Ton père finira pire, donne moi les dossiers et nous sommes amis.

Mon souffle se coupe lorsqu'une lame fait appuie sur mon flanc.

- Tu préfère que je te grave la peau ?

Je déglutit, les mots se bloque dans ma gorge, je ne respire plus, je fais de l'apnée.

Je suis sous l'eau, en plongée

- Respire ! Je te fais si peur que ça ?

Il rigole à gorge déployé alors que je suis dans ses bras, une arme sur le flanc.

- Je n'ai pas de dossiers.

Que dire d'autres ?

Son regard se raccroche au mien, alors que je le sens se crisper et douter subitement.

- Tu te fous de moi ? Tu trouves ça drôle ?

- Non. Je ne sais pas de quoi vous me parlez.

Il se détache de moi et se tourne, me faisant dos, il passe ses mains sur son crâne brûlé.

Ne jamais faire dos à son ennemie.

J'attrape la première chose qui me vient dans les mains, je le frappe à la tête, sous le coup du choc, je me met à courir vers la sortie, le bruit du verre qui touche le sol, me fais analyser l'objet avec lequel je l'ai frappé.

Une bouteille

Je me précipite plus vite encore vers la sortie, je pousse la porte, et comme un bouffé d'air, je me retrouve de nouveau dans la fosse.

La panique fait mélange avec l'adrénaline, et mes jambes parcours la salle à la recherche de n'importe qui que je connaisse, j'ai beau chercher tout ce que je peux je ne trouve, ni mes amis, ni personne.

La salle est vide.

Je cherche sur les hauteurs de la salle, sans succès. La panique reprend de plus belle lorsque la porte est poussé par l'homme à qui j'ai exploser une bouteille sur sa tête,

Mon cœur se met à battre plus vite encore, les enceintes tourne encore, mon cœur gronde comme un moteur, mes jambes vibrent, je me cache derrière un pilier.