Saut dans le temps

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-Tu a intérêt à pas bouger, se serais dommage d'abîmer se jolie visage.

Comment suis-je sensé ne rien faire quand on m'offre enfin une opportunité de m'échapper? Je fait mine de ne pas me débattre quand il est en face de moi, mais dés qu'il a le dos tourné, je hurle à la personne qui vient de toquer, espérant qu'elle m'entendent. Je veux sortir d'ici!
Je ne peux pas déjà être priver de liberté! Je dois vivre ma vie, me construire avec Laure, me faire des amis, le métier de mes rêves et peut-être quelqu'un à aimer.
Je me débats de tout mais force, la corde qui tien mes poignet me fait mal, comme des petites aiguilles qui s'enfonce dans ma chair. Ça ne m'arrête pas et je redouble d'efforts. Moi seule suis maître de ma liberté!
Adrien revient en courant avec une autre personne. Serais-ce celle qui avait toquer? Comparer à Adrien, qui a un visage qui donne confiance, l'homme qui vient d'arriver fait peur dés le premier coup d'œil. Je regrette instantanément d'avoir appelé à l'aide...
L'homme m'examine une minute et propose à Adrien d'aller autre par. Mais que ce passe-t-il enfin?

Sans attendre qu'il reviennent je fait l'anguille pour au moins réussir à dégager mes mains. C'est peine perdu chaque mouvement que je fait me rappelle que cette satané corde est enfilé et que mes poignets sont en train de morflé. Je n'est absolument rien sur moi et je suis sur qu'Adrien, perfectionniste comme il est, ne m'a pas laisser sans surveillance.

Une demie heure plus tard les deux homme reviennent. Visiblement, Adrien c'est fait remonter les bretelles, il a la tête baisser. Cette expression sur son visage me donne une ironique impression de supériorité. Ça m'avais manqué. Le nombre de fois où j'avais l'ascendant sur lui... enfin avant tout ça...
Dés que le blond me vois il reprend un souffle de confiance et la mienne disparaît aussi vite qu'elle est arrivée. Comment fait-il pour la désagrèger en un seul regard lui qui étais si gentil. Ça ne devais être qu'une façade...

L'homme: Bien, j'espère ne pas avoir à me répéter.

Il s'approche de moi, il se veux rassurant mais je ne peux m'empêcher de trembler. Ses main sont vers moi comme s'il approchait d'un animal sauvage.

L'homme: Tu m'autorise à approcher un peu plus?

Comme si j'avais le choix...

L'homme: Je vais te détachée mais surtout ne fait rien de stupide. Je préfère ne pas abîmé la marchandise.

"La marchandise"? Alors c'est ça qu'il veulent de moi? Me vendre? Est-ce que c'est la même chose pour Laure?
Sans attendre de réponse de ma part, qui au passage n'arriveras jamais, il s'occupe de mes chevilles, je pense à lui donner un coup de pied qui le sonnerai à coup sûr, mais Adrien me regarde, menaçant. Quand il termine il se recule admirant son travail. Tu n'as fait que me liberté, connard.

L'homme: Prend soin de toi ma jolie...

Un frisons de dégoût vient me traverser le dos. Il se retire juste après ça phrase. Comment peut-il me dire ça alors que je suis à peine nourri?

Adrien: Alors Linn? Tu ne fais rien? Il me semblais je tu m'avais juré que tu te jetterai sur moi à la première occasion. Et regarde toi, tu reste assise comme un légume.

Il s'approche et prend mon menton. Malgré le fait que je sois libre de mes mouvements, il m'emprisonne du regard. Comment fait-il?

Adrien: Tu me déçoit beaucoup Linn...
Moi: Je suis sûr que je le suis bien plus.

Adrien: Quoi? Tu m'en veux encore?
Moi: Tu m'as trahit!
Adrien: Si tu n'avais pas étais aussi curieuse, tu n'en serais pas là. Ton amie non plus d'ailleurs. Estime toi heureuse que je soit ton ami, je t'aurais tuer depuis longtemps autrement.
Moi: Je préférerais être morte plutôt que-
Adrien: Attention à se que tu dis... je pourrais vite y remédier.

Je me tais, mieux vaut ne pas l'énerver. Je ne sais pas se que l'homme de tout a l'heure lui a dit mais ça ne lui a pas plus c'est sûr.

Adrien: Vien là.

Il me prend le poignet et nous sortons de la salle. J'ai beau toujours avoir étais emmené dans les deux même salles. Nous ne prenons jamais le même chemin. A croire qu'il veux me faire découvrir les locaux de ma fin de vie...
Nous arrivons dans une nouvelle pièce. Une chambre? C'est sur que c'est plus accueillent que notre cellule à Laure et à moi mais quelque chose me dit que ce n'est pas pour le mieux.

Adrien: L'homme que tu as vue tout à l'heure... C'est un potentiel acheteur, il te veux. Et comme il a les moyens, il te veux dans une bonne forme physique pour la vente aux enchères. Tu doit être sans acros

Pendant son explication sorti de nul part, sa prise sur mon poignet ne faisait qu'augmenter.

Moi: Je croyais qu'il fallait que je soit "sans acros"
Adrien: C'est le cas. Quoi? Mademoiselle se permet d'avoir des goûts de luxe?
Moi: Tu me fait mal...

Il m'interroge du regard puis comprend et me lâche le poignet, enfin me jette sur le lit pour fermer la porte à clé.

Adrien: Lit, douche, produit de toilette, tu as tout se dont tu a besoin ici, et au cas où tu te demande cette porte n'est pas fermer à clé, elle mène à la chambre de ta "meilleure amie". Tu te laisserais mourir si tu ne la voyais pas et je n'ai pas fait tant d'efforts pour que tu meurs bêtement.

Je cour rejoindre Laure en suivant la porte indiquée par Adrien. Elle n'y ai pas mais je remarque que sa chambre est symétrique à la mienne. J'entends la porte se déverrouiller, Adrien est sûrement parti. Je retourne à mon point de basse et j'entends "c'est moi ton meilleur ami". Le blondinet doit déliré une fois de plus...

L'autre monde (Armin x OC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant