Mère

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Louis: Bon! Ma fille c'étais un plaisir de te retrouver, mais je doit y aller, et s'il te plaît, tâche de trouver des habits plus... convenable.

Il me regarde haut en bas une dernière fois et part. Je suppose que ça ne lui plaît pas que je soit en pantalon, mais il est quand même plus agréable d'être libre de mes mouvements dans je suis à cheval ou en train de me battre... Une domestique vient me vois et m'amène jusqu'à ma chambre. Je la suit bien malgré moi en espérant que d'ici la fin de la journée je n'aurais pas à faire des pirouettes.
Étonnamment, arrivée dans "mes appartements" je constate que malgré la taille considérable de cette endroit qui n'est cas moi, le luxe du manoir ne l'a pas atteint. La première pièce est un salon avec beaucoup de fleurs, une bibliothèque recouvre une partie complète du mur, un fauteuil est posté près d'elle. La seconde piece, ma chambre, est composée d'un lit simple avec au bout un coffre, d'un dressing et d'un bureau très désordonné. La fille qui m'a conduit jusqu'ici m'explique que seulement les poussières on été faite comme je l'avais demander en partant puis prend congé.
Je m'attarde sur le bureau, deux livre sont dessus en plus des boule de papier, bien qu'il y ai une poubelle juste à côté. Un des livre parle d'aventure, il pourrais me plaire, mais c'est le deuxième qui m'intéresse, c'est un carnet. Je l'ouvre, curieuse et vois que c'est un journal intime, sûrement le journal de l'autre Linn.

Moi: Je suis désolé de perturbé ta vie privée Linn, mais je me doit d'en savoir plus.

Avant même que je puisse lire un mot, quelqu'un vient toquer et me dire qu'on me prépare à manger et que ma "mère" arrive. Je me change avec la première robe que je vois, met le carnet dans mon sac et revient dans le salon, j'aurai peut-être plus de chance avec elle. Je me rend d'ailleurs compte que je ne connais pas son nom.
Des femme très gentille m'apportent un plat quand elles ont entendu mon ventre gargouiller.
Après quelques minutes, j'attends des pas et la porte s'ouvre sur une femme très maquiller, qui hurle ou pleure, enfin quelque chose comme ça.

"Mère": Linn! Ma fille chérie tu es là! Tu nous a tellement manqué!

Quelque chose me dit que se n'est pas vraiment le cas. Je continue de manger, septique, pendant qu'elle déblatère.

"Mère": Les domestiques m'ont prévenu de ta perte de mémoire. Je me doute que Louis t'a prévenu de tes fiançailles retardé?

C'étais pas Laure qui étais fiancé? Je doit vraiment prendre des pincettes avec ses propos, voir même plus qu'avec mon père.

Moi: Euh, non
"Mère": ah oui vraiment? Tu voulais un peu de temps pour toi alors tu es parti quelque temps et tu as promis qu'à ton retour, tu te marierais. D'ailleurs j'ai déjà prévenu ta future belle mère que tu viendrais cet après-midi.
Moi: Mais il est déjà presque 14 heures?
"Mère": Alors dépêche toi! Tu n'as pas besoin de terminer ton assiette, tu ne doit pas prendre un gramme avant ton mariage. Les domestiques l'on bien trop remplis de toute façon.

Elle me tire part le bras et dit à deux femme de me préparer.
A peine ai-je atterré sur la chaise que je me retrouve envahi de poudre sur mon visage.
Je n'ai jamais vraiment apprécié me maquiller. Surtout par manque de temps puisque mon sommeil et trop important pour moi. Lorsque je sortais avec Laure, il m'arrivait de mettre de la couleur sur mes lèvres et mes yeux ainsi que tu mascara, mais j'avais le talent d'une fille de 8 ans.
Une fois terminé, ma "mère" me tire une fois de plus jusqu'à la calèche vers ma belle mère, de se que j'ai compris. Mais je comprend bien que rester ici ne me mènera à rien, je vois bien que mon père comme ma mère ne me dise pas toute le vérité. Mais je sais à quoi me tenir maintenant, le journal de Linn. Je suis sur que lui, au moins, me diras la vérité sur le passé de mademoiselle Rekishi.

J'attends quelque minutes dans la calèche en marche et saute part la fenêtre, je ne peu pas faire autrement. Mais le problème est que je suis toujours en robe. Une partie se déchire, restant coincé à la fenêtre. Désolée à Linn si elle aimais cette robe.

Je cour en direction de l'hôtel pour récupérer mes affaires, enlever le plâtre que j'ai en guise de maquillage et me changer.
Poser sur le lit je réfléchis, j'ai encore un peu de temps avant de partir, je devrais me balader. Ça me changera les idées et je pourrais réfléchir tranquillement.
Je paye l'hôtel comme je partirais le soir pour Trost.
J'arrête les rue à demandant à quelque passant si il on déjà vu ma peluche, je ne crois pas trop à avoir une réponse ici, mais il faut bien essayer.
Mais maintenant que j'y pense, c'est ma peluche, celle de Linn Monogatari, pour les parents de Linn Rekishi l'aurais déjà vue? Il n'ont aucun lui avec la "moi" du passé.

Je regarde distraitement les objets exposés, il y a de tout, et de toute les couleur. Linn est vraiment issue du quartier riche, comparé à Trost qui s'ai affaibli avec l'arrivée des habitants de Shiganshina. Eren, Mikasa et Armin en font partie, je n'imagine pas l'horreur qu'ils ont vécu. Lors de l'attaque, ils on du voir des corps sans vie partout, mais il ne devais pas s'en inquiéter pour survivre, puisque les titans venaient les manger. Ils doivent encore en avoir des séquelles à présent. Je me demande comment, malgré ça, ont-il trouver le courage d'entrer à l'armée.

Pendant ma rêverie, je ne remarque par que je me suis arrêté devant un marchant de fruits et legume. Je regarde ce qu'il y a. Comme l'inportant n'existe pas encore, il n'y a que des produits locaux.

Une femme blonde viend croiser mon regard et écarquille les yeux, elle me connaît?

Femme blonde: Mademoiselle?

L'autre monde (Armin x OC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant