L'autre monde (Armin x OC)

Sauvée?

Mon sang ne fait qu'un tour et je me précipite sur le ravisseur.

Moi: Tien bon Laure, je vais te sortir de là!

Il a une arme, alors je doit faire vite. Le bâtiment se révèle être une entrepôt, il y a donc plein de carton où me caché pour esquiver les tires. Je n'aurais peur etre pas du crier... Mon agilité me permet de me rapprocher de lui sans que je ne soit blessé. Je doit économiser mes balles. Je vois que lui à la gâchette facile, même si j'aime bien se jeux du chat et de la souris, se n'est qu'une question de temps avant que je ne soit blessé. Je doit agir et vite.

Je me précipite derière une grande pile de carton, je doit le désarmé. Je sent ses pas résonner en ma direction... la pile de carton, je doit la grimpé! Arrivé en haut, l'homme est arrivé à sa base, je lui saute dessus, il se retrouve à terre, dans sa chute, il a lâcher son arme qui c'est lamentablement écrasé quelque mètre plus loin.

Je doit le tuer...

C'est pas comme si il étais innocent, c'est lui ou moi, et Laure aussi.

Et puis j'étais déjà tuer un titan, c'est pareil si je tue un humain non?

Mes main autour de l'arme sont tremblantes, et mon cœur accélère ses battements, ou alors c'est du au effort que je vient de faire? Des larme se pointent sur mes yeux mais je doit faire vite, s'il atteint son armes, s'en est fini de moi.

Il me regarde en reprennent de l'assurance, le même regarde qu'Adrien me fessais. Cette vue le donne le déclic, il doit mourir de mes mains! Je donne toute ma rancœur dans le tire. Il prend à la place D'Adrien, à la place de tout ceux qui m'ont enfermé et maltraités. La balle vient se loger dans son bras. Je m'étonne à sourir à l'entendent hurle de douleur.

Ravisseur : Sale grâce!
Moi: Je ne te permet pas.

J'accours vers lui a lui sorte dessus, mon arme à quitter mes mains et je le frappe à la force de mes points.
Tout mes coups sont terriblement bien placé et furent et à mesure que je le frappe, se cris de douleur sont plus instant.
Je le frappe et le frappe encore.

Jusqu'à se que j'entendes un craque, il n'a pas crier de douleur cette fois-ci, les 3 fois d'après non plus. À la place, c'est d'autre cris qui parviennent à mes oreilles, ceux de Laure. Je me rend compte de se que je viend de faire. Je suis couverte de sang, je viend de tuer quelqu'un, devant ma meilleure amie.

Je me précipite vers Laure, elle doit avoir mal d'être attaché comme ça. Je la détache en silence malgré ses pleures.

Tout bruits de notre part s'arrête quand un entend des pas. C'est le soldat qui m'avais apporté le papier que Laure avais rédigé.

Comment faire, il vas nous voir à tout moment!

Laure: Hey! Tête de pastèque!!!

Mais elle est folle elle va nous faire repérer. "Tête de pastèque" arrive en courant, mais avant que je fasse un mouvement Laure, lui balance la chaise à laquelle elle étais attaché dans la tête. Elle me prend la main et nous sortons d'ici en courant. Nous somme arrivé au peutit bar ou on avais fait une pose.

Laure: Je doit retourner au QG, il faut que j'explique ce qu'il c'est passé à Erwin.
Moi: Quoi? Tu ne me parle pas de se qu'il vient de se passer?
Laure: Plus tard, là c'est l'histoire qui est le plus important, je ne m'étais pas rendu compte qu'on étais arriver à se moment là.
Moi: Quoi?
Laure: Pas le temps de t'expliquer, juste reste discrète et va droit vers nos "parents".
Moi: Mais, et si tu te fait à nouveau kidnapper? Tu te sent bien?
Laure: Ne t'inquiète pas pour moi, je vais m'en sortir

Elle prend le cheval qu'elle avais laisser et part en trombe.

Et bien, me voilà à nouveau seul... Je prend à mon tour mon cheval et même si je crève d'envie de la rattraper. Si je le fait, je n'en connaîtrais pas plus sur mon passé et j'aurais gâcher les 3 jours de repos accordé. Je suis les ordre de Laure, direction la maison de nos parents. L'après-midi est déjà bien entamé avec toute ses péripéties.

*****

La nuit commence à tomber quand j'arrive à proximité du mur Sina où se trouve le lieux indiqué par Erwin. Je devrais sûrement attendre demain pour les rencontrer, je me met donc en quête d'un hôtel sachant parfaitement que je ne pourrais pas fermer l'œil de la nuit...

A quelque rue de chez "moi" se trouve un hôtel dans mais moyen, à cetye endroits tout est chère, j'ai l'impression d'être à la capitale. Jusque là, je devais me trouver dans se qui s'approche de la banlieue. Comme quoi, même à l'époque, il donner la protection maximum au centre.