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《Pourras tu me pardonner ? 》

...

PDV D'ELAYJAH

Je voulais en finir une fois pour toute. Mourir près de sa bien aimée.  C'est romantique.

Moi: Alors Adieu...

Je vise sa tête pour éviter qu'elle souffre . Au moment où j'appuie sur la gâchette, je sens quelqu'un venir me pousser.  C'est Aymen .

Mon arme est tombé loin de moi et je me suis retrouvé au sol.

Aymen: T'es malade ?

Il se précipite vers Raïssa.

Lui: Tu n'as rien?

Elle: mon.. ventre...

Elle avait les mains sur sa hanche gauche, la balle l'avait touché.

Moi: Toujours en vie?

J'entends des bruits de pas qui se rapprochent. C'est Anne qui arrivait en courant.

Anne: Qui a tiré dans la mai...

Elle place ses mains sur sa bouche.

Elle: OHH MON DIEU! RAÏSSA.

Elle coure et la serre dans ses bras en pleurant.

Anne: tu  fais qu...

Elle n'avait pas remarqué son sang qui coulait.

Anne: Non, non, non.

Aymen retire son haut et le met sur la plaie. Il se met à appuyer dessus .

Moi pendant ce temps, j'essaye de me rapprocher de mon arme.

Raïssa: AÏE.

Aymen: désolé, j'ai appuyé un peu trop fort. Anne , met tes mains là , je descends démarrer la voiture.

Elle: D'accord  fait vite.

Aymen descends en courant.

Raïssa : j'en ... peux...

Anne: NON(en lui donnant des petites claques) ne t'endors pas. Reste éveillée. Tu dois vivre, ta mère t'attends, Sophia et Ali.  On t'a cherché partout, ne nous laisse pas maintenant .

Les mains d'Anne étaient déjà rouges et le  tee-shirt tout rempli de sang.

Aymen revient et la porte pour descendre avec elle.

Moi: vous n'irez  nulle part (en les pointant mon arme)

Aymen  descend avec Raï. Et Anne vient se placer en face de moi.Elle arrête mon arme et le place sur le centre de sa tête.

Elle: tire...

Moi: Non, toi, tu dois vivre.

Elle: Et Raïssa aussi.

Elle me prend l'arme des mains et sort.

PDV D'AYMEN

Je descends les escaliers en courant jusqu'à la voiture.

Elle arrive en courant derrière moi.

Moi: monte derrière,je te la passe.

Elle monte et je dépose Raï dans ses bras.

Moi: même si son sang tâche la voiture, c'est pas grave. Maintien mon tee-shirt sur sa plaie. Ok?

Elle: ouais...

Je roule comme un fou en direction de l'hôpital.

Moi: elle est toujours éveillée ?

Anne: je tapote sa joue mais ses yeux,ils veulent toujours se fermer.

De la haine à l'amour Où les histoires vivent. Découvrez maintenant