Chapitre 18

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Je sors et remarque que Fitz m'attendais. Il me conduit à une chambre, mais au passage je mis dans le bureau d'Alden les deux papiers d'élixir.

Après une longue douche, je me couche et m'endormis.

Le lendemain je me réveille et me prépare, un mal au crane pas possible à cause des larmes que j'avais versée après mettre réveiller au beau milieu de la nuit.

Lorsque je descendit je remarque Della qui tenait des robes sophistiquées dans ses bras, devant une Sophie qui semblait essayer de trouver un échappatoire.

Je salut tout le monde en m'effondrant dans le premier fauteuils libre que je trouve.

- Toi aussi tu as mit la même robe qu'hier ?

Je me tourne vers Biana pour lui confirmée, et, lorsque je vois Della vouloirs me parler de robe je fus heureuse de voir Alden.

- Emma j'ai une bonne nouvelle et une mauvaise, dit il, nous avons trouvés des tuteurs.

Je fie mine d'être surprise, et je saute sur me pied.

- Qui est ce ?

- Il s'agit de Livvy Sonden la femme de...

- Quinlin j'imagine, le coupais je, quand est ce que j'y vais ?

- Della vas t'y accompagner, il baisse ensuite la tête, la mauvaise c'est que nous n'avons pas trouver t'es parents.

- PARDON !!!

Cette fois pas besoin de jouer la comédie.

- On n'en reparlera plus tard, dit Alden avant de s'adresser à sa femme, peux tu l'emmener je m'occupe de Sophie.

Della hoche la tête, quand à moi je pris Sophie dans mes bras, en lui chuchotant d'être prudente, après quoi nous sautions toutes les deux vers nos nouveaux chez nous.

- Bienvenue !

A peine avions nous toquées que la porte c'était ouverte sur Livvy.

Je lui souris, la saluant.

Della nous laissa toute seule assez vite, et lorsqu'elle partie, Livvy me fit visiter son "appartement" je choisi une chambre pleine de végétation (NDA :image si dessus).

Quelle instant plus tard Alden fait son apparition et nous discutions de mes parents humain.

- Comment avez vous fait pour ne pas les trouver ?J'y étais hier

Après plusieurs minutes de débat je lui demande de mis emmené.

Lorsque j'arrive à ce qui devrait être chez moi je ne trouve rien à par un grand champ.

Là où aurai du être la maison de mes voisins : rien

Celle de mes autres voisins : rien 

Je regarde autour de moi : rien 

Leur sang coule dans mes veines (GDCP)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant