TW : baiser non consentit ne lis pas si ça peut tz faire du mal. Je suis là si tu as besoin de parler.
PDV Regulus
Il avait oublier. Il avait putain d'oublier. Nos trois mois était passer à la trappe parce qu'il avait dit oui à une soirée avec une serpentard qui le draguait clairement. Alors pour cette soirée qui aurait dû être romantique et réconfortante je gelais dans mon lit en pleur depuis une bonne heure. Je pénais à respirer et ma gorge se serrait à chaque fois que je repensais à son étreinte avant de partir aux trois balais.
J'étais stupide. Vraiment idiot de penser que je comptais suffisamment pour quelqu'un pour qu'il veuille passer une soirée avec moi au lieu de la passer avec une fille super belle et mille fois plus intéressante.
Des bruits de pas sourd dans les escaliers me firent reprendre mon sang froid dans un temps éclair. J'essuyais mes joues et alla dans la salle de bain pour me rincer le visage. Quand Evan fit éruption dans le dortoir mes yeux avaient repris leurs taille normal et je feignais de me lever les mains d'un air absent.
-Tu es pas venus manger ce soir.
-J'avais pas faim. Cette excuse toujours cette excuse, je priais pour que mon ventre creux ne se manifeste pas maintant.
-Tu dois te nourrir Reggie, tu sais c'est plutôt important pour un truc qui s'appel "vivre" je sais pas si tu connais.
Je ricane un peu avant de le rappeler brutalement des mots que Barty avait prononcer quelques heures auparavant, ils m'avaient fait le même effet que le fouet que ma mère utilisait sur moi, chaque mots claquait comme ces lanières de cuirs, et évidemment les larmes me montèrent aux yeux.
-Ouhh ça a pas l'air d'aller fort mon chat tu veux en parler ?
Je sentit un noeud dans ma gorge et je ne réussi qu'à articuler un "non" silencieux.
-Alors formation câlin.
Il me sauta dessus pour me serrer fort tellement fort, c'était tres réconfortant. Je lui rendis son étreinte après avoir difficilement dégager mes bras et on s'écroula sur mon lit et on resta longtemp comme ça. C'est fou comment un câlin peu sécher les larmes. Quand il se détacha de moi il déposa un baiser sur mon front et me dis,
-Tu veux toujours pas ne parler ?
-Non. Dis-je cette fois audiblement.
-Ok en tout cas rappel toi que je suis fier de toi et que tu es le meilleur d'accord ?
-Oui
-Promis ? Il avait une petite fossette sur la joue droite dessinée par son sourire en coin.
-Promis. J'achevasla discussion et m'etirra.
-Je suis fatigué ja vais me coucher.
-Ok moi je vais voir Pandora bisous !
-Bisou ! Et il reparti aussi vite qu'il était venus.
De mon côtés je me changea à et m'endormais aussitôt allonger.
Quelques heures plus tard j'entendis la porte grincer puis claquer. J'entrouvis les yeux et vis Barty qui raccrochais son manteau mouillé au dessus du poêle et qui partait dans la salle de bain. Je referma les yeux et essaya de toutes es forces de me rendormir. Je me tourna et me retourna avant de trouver une position à peu près confortable.
La porte de la salle de bain s'ouvris et je ne vis que l'ombre de Barty sur le mur étant donné que j'étais dos à la porte maintenant.
Mon sang se glaça quand je sentit l'autre côté de mon lit s'affaissé, puis, l'odeur de Barty evahi mes narines. Il embrassa ma tempe avant de me faire un câlin par derrière et il m'attirait contre lui. D'habitude j'aimais cette position et elle me calmait en un rien de temps. Mais cette foi c'était différent. J'essaya de me dégager en imitant les mouvements que je pourrais faire dans mon sommeil mais la panique me gagna quand il resséra encore son étreinte. Je. Ne. Voulais. Pas. Et pourtant il me forçait je ne pouvais pas faire autrement. Alors tétanisé je me raidis comme un bâton et essaya de m'endormir pendant que je sentais son souffle brûlant s'alourdir dans ma nuque. Inutile de dire que je fis une nuit blanche.
Le matin me parut être un soulagement énorme, aujourd'hui je devais voir les amis de Sirius, j'avais super hâte de rencontrer James qui était celui qui accueillait mon frère chez lui. Nous nous sommes préparer puis nous sommes descendus pour prendre notre petit déjeuner. J'adressais la parole à Barty le moins possible. Il m'avais vraiment vexé et je voulais qu'il le sache.
Quand je marmonnas que j'allais me préparer pour rejoindre mon frère, Barty me suivis en inventant une excuse, j'acceleras le pas espérant qu' il ne cherche pas à me rattraper. Évidemment ce ne fut pas le cas et j'entendis ses talons claquer contre la pierre à un rythme effréné.
-Reggie !
Je l'ignorais et acceleras. Il me rattrapa et m'agrippas le bras pour me forcer à me retourner.
-Lâche moi ! J'essaya de me dégager mais sa poigne se resséra sur mon biceps.
-Quand tu me diras ce que tu as, pourquoi tu me parle pas ?
-Rien ! Laisse moi partir tu me fais mal.
-Répond moi putain !
Il me plaqua contre le mur et ma tête cogna contre la pierre froide. Quelques larmes de douleur et de panique se bloquèrent dans ma gorge, nouée.
-Pourquoi tu me parle pas ?! C'est à cause de Leïla c'est ça ? Monsieur et jaloux... Un petit sourire mesquin s'était installé sur son visage.
Il s'approchait dangereusement de moi, sa bouche était trop proche. Mais ce n'était pas les doux papillons dans le ventre qui me conquérirent ce n'était pas l'envie de m'approcher plus encore jusqu'à fusionné avec... lui. À ce moment là j'aurais aimé être du vent. Du vent pour pouvoir partir loin de cet endroit qui me tordait le ventre.
Je sentit ses lèvres se pressées contre les miennes et une seule pensée tournait en boucle dans ma tête, "pourvu que ça s'arrête, pourvu que ça s'arrête, pourvu que ça s'arrête". Je sentit ses mains autour de moi se détendre et je me dis que c'était ma chance il suffisait que je lève les bras et le pousse mais j'en était incapable. J'étais pétrifié. Je ne pouvais pas bouger et c'était terrifiant.
Quand il essaya d'introduire sa... langue dans ma bouche je retrouva soudain la capacité de bouger je le poussa si viollement qu'il bascula et tomba sur les fesses.
Je courus comme un dératé sans réfléchir avant de me rappeler de mon rendez vous avec Sirius. Je pris alors la direction du couloir de notre rencontre une semaine au paravant, Les larmes coulait sur mes joues, mes mains tremblait, je trébuchais sur du vide mais je refusais de tomber. Alors je courus encore et encore jusqu'à voir la silhouette de Sirius se découper devant une fenêtre, et ce fut la chute.
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Bonjours! Désolé de ma grande absence beaucoup d'aléas haha Bref je suis de retour et voilà un nouveau chapitre j'espère qu'il vous a plus et que vous avez pleurer au moins un petit peu parce que moi oui :)
Bref je vous dit à bientôt j'espère
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Fiksi PenggemarUne sixième années mouvementé pour les Maraudeurs et les autres, entre amour et rupture, découverte et déni, dispute et réconciliation cette année ne sera pas de tout repos. (Je ne suis pas exactement la frise chronologique donc venez pas attraper m...