Jeune femme de tout juste dix-huit ans, Melinoë est hantée pour le souvenir d'un homme qu'elle a vu assassiner son père onze ans auparavant. Ce fantôme de son passé ressurgira un beau jour pour lui sauver la vie. Un homme mystérieux, sans nom, qu'el...
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𝙶𝙷𝙾𝚂𝚃
𝙲𝙾𝙽𝚃𝙴𝙽𝚄 𝙳𝚄 𝙲𝙷𝙰𝙿𝙸𝚃𝚁𝙴 𝚂𝙴𝚇𝚄𝙴𝙻𝙻𝙴𝙼𝙴𝙽𝚃 𝙴𝚇𝙿𝙻𝙸𝙲𝙸𝚃𝙴
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Chacune de ses caresses, que ce soit du contact de sa peau ou de ses lèvres, me faisait frémir, trembler d'excitation alors que ses morsures me faisaient vibrer de l'intérieur. Réveillant en moi un instinct longtemps enfui au fond de moi, ce qui rendait mes sens encore plus sensibles, décuplant ainsi mon plaisir comme ma douleur dans une valse de sensations dont je n'étais pas aux commandes. Je me laissai simplement porter par Melinoë. Mon esprit me criait pourtant de l'arrêter, que nous ne devions pas franchir cette limite, mais je n'avais aucune envie de l'écouter. Le désir balayait toutes pensées qui n'étaient pas tournées vers la jeune femme.
J'observai lubriquement la silhouette en mouvement de ma partenaire, même si celle-ci était encore masquée par le T-shirt ample. Mis je ne trouvais cela que plus excitant, je pouvais, de temps en temps, deviner l'arrondi de sa poitrine ou ses tétons durcis. Tout mon être était concentré sur la perception, chaque parcelle de ma peau prête à transmettre l'information d'un contact, aussi minime soit-il. Et elle comptait bien me torturer, elle m'attaquait sans relâche, faisant trembler mon corps meurtri. J'appréciai, finalement, la première rencontre de la jeune femme avec mon bas ventre. Mon corps tout entier se mit alors à frissonner, redressant ses poils dans une chair de poule qui se transforma rapidement en un long et profond soupir quand sa bave vint enduire mon sexe. Elle récolta sa propre salive avec un coup de langue d'une lenteur infernale. Je me sentis trembler de façon violente sous le plaisir voluptueux de ce geste.
Il me fallut me mordre la lèvre pour ne pas gémir trop bruyamment, cela faisait belle lurette que je n'avais pas partagé ce genre de moment avec une femme. Mel' se contenta de cela pendant quelques instants, des lapées qui m'électrisaient un peu plus à chaque passage, avant d'aspirer la peau à ce même endroit pour y faire un suçon bien rouge. Ce fut trop dur, je geignis bien malgré moi face à cette succion sur ma queue. Quand elle me trouva assez marqué, elle relâcha enfin mon pénis. Mais ce fut pour mieux revenir s'y attaquer une seconde plus tard. La brune traça une ligne de baiser jusqu'au sommet de ma verge tendue qu'elle se mit à butiner.
Je perdais pied avec la réalité et mon sang bouillonnait dans mes veines. J'étais incapable de me concentrer sur autre chose que ses lèvres mouillées et chaudes. Cela me parut durer pendant des heures, mes hanches se soulevaient d'elles-mêmes pour permettre à ma colonne de chair de se frotter contre sa bouche pulpeuse. Quémandant ainsi, en silence, qu'elle en fasse plus. Ce qui la fit glousser. Le message passa, car elle avala doucement mon sexe gonflé de plaisir dans sa cavité buccale brûlante, opérant un mouvement circulaire avec sa langue autour de la chair sensible. À chaque aller et retour, elle me faisait un peu plus glisser entre ses lippes, la cadence était, pour le moment, assez lente. Et je l'en remerciai, parce que si elle m'avait tout de suite sucé à pleine bouche, j'aurais explosé en quelques secondes.
