Trois semaines plus tard.
Je suis au bord du gouffre, littéralement.
Allonger dans mon lit la couette jusqu'au yeux j'essaie de dormir, sans y arriver.
Il et une heure trente du matin, et je suis bouillante de fièvre.
Je tousse fortement à m'en décrocher un poumon.Mes yeux ce ferment doucement mais une nouvelle quinte de tout me prend.
Je me redresse sur le matelas pour attraper mon verre d'eau et en boire deux grosse gorgée.La porte de ma chambre s'ouvre puis la lumière s'allume.
Monsieur Barnes entre dans la pièce les sourcils froncer.
- Qu'est ce qu'il vous arrive ? Je vous entend tousser jusqu'au salon.
- Je.. ne me sens, une nouvelle quinte de toux.
Il s'approche de moi et pose ça grande main sur mon front.
- Vous êtes brûlante.
- Est-ce que.. vous pensez pouvoir me rapporter un paracétamol, s'il vous plaît.
- Non n-
- Ce n'est pas vraiment le moment de jouer au mec froid.
- Si vous me laissiez terminer ma phrase. Je vais vous emmener à l'hôpital.
S'il vous plaît, non.
- Non, regarder ça va beaucoup mieux.
- Je peux très bien vous y emmener de force en vous portant sur mon épaule.
—-
Cela fait plus d'une heure que nous sommes assis dans la salle d'attente des urgence.
Ma fièvre a baisser, mais ma voix est enrouer et ma gorge me brûle.
Monsieur Barnes assis à mes côtés n'arrête pas de bouger nerveusement sa jambe.
- Vous pouvez arrêter avec votre jambe.
- Je peux savoir ce qu'ils leur prennent autant de temps ? Dit-t-il en évitant ma réclamation.
- Il y'a s'en doute des personnes qui ont des choses plus grave que moi.
Mes yeux ne tienne plus ouvert.
Sont regard inquiet me regarde, il s'approche et pose ça main sur mon front.
- Vous-avez encore de la fièvre, me murmure-t-il.- J'aimerais juste... dormir.
Sa main s'attarde sur mon front encore une seconde avant qu'il ne la laisse retomber et ne s'écarte.
Il est à quelques centimètres de moi, et son épaule me fait de l'œil pour que j'y pose ma tête quelque minutes.
Et je le fait, ma tempe contre son épaule musclé je ferme les yeux et m'endors.
- April.. April ?
J'ouvre mes yeux à moitié et remarque qu'un médecin et à quelques centimètres de moi.
Nous sommes dans une salle d'osculation je suis allonger sur un lit d'hôpital.
J'observe la pièce et tombe sur une infirmière de l'autre coter me prenant du sang dans ma veine.
- Vous vous êtes endormi nous avons donc penser que ça ne vous dérangerait pas.Je me redresse en hochant la tête.
- Qu'est-ce que j'ai ?
- Je pense à une pneumonie, m'avoue le médecin.
- Une pneumonie ?
- Votre ami m'a quelque peut expliquer vos symptômes, fièvre, quinte de toux et du mal à respirer. C'est bien ça ?
- Oui.
- Donc, mes doutes ce confirme.Les yeux glacial de mon garde du corps me reviennent.
Je me sens beaucoup mieux après cette petite sieste, mais mon corps et encore faible.
- Je vais vous prescrire quelques médicaments, il faut impérativement que vous les preniez régulièrement pendant deux semaines. Tout ira bien mieux ensuite.
- Merci, docteur.
Il quitte la chambre en me souriant chaleureusement.
L'infirmière à ma gauche termine de prendre mon sang en me mettant un petit pansement sur la veines.
- Seriez-vous où est mon.. ami ?
- Juste devant, il attend que nous aillons terminé.
Quelques minutes plus tard le médecin revient avec une ordonnance je le remercie en me levant toute tremblante.
Dans le couloir, Monsieur Barnes arrive vers moi lorsqu'il me vois sortir de la chambre.
- Comment vous sentez-vous ?
- Beaucoup mieux.
Ça mains vérifie maladroitement ma température sur mon front, puis ces sourcils ce fronce.
- Elle est encore brûlante ! Déclare t'il furieusement au médecin.
- C'est tout à fait normal, ça température prendra du temps à descendre. Prenez vos médicaments et tout ira bien.
Je suis épuisée et frigorifiée, ma seule envie en ce moment est de retrouver mon lit et de m'endormir paisiblement.
- Rentrons, Monsieur Barnes, s'il vous plaît.
Nous arrivons à la maison vers les coup de cinq heures du matin.
Je décide de prendre une douche avant d'enfiler mon pyjama le plus douillet et je m'allonge enfin dans mon lit.
Ce sont peut-être des hallucination mais en plein dans mon sommeil je sens une grande main ce poser sur mon front puis ma joue.
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My shadow
RomanceUn garde du corps ! Mon père me met un garde du corps sur le dos. Je comprennent qu'avec son boulot de politicien ce soit compliqué, car, mon père a énormément d'ennemis. Mais, je n'ai pas besoin d'avoir quelqu'un qui me coller aux basques vingt-q...