Chapitre dix-huit

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Je me sens idiote !

Allonger dans mon lit ce matin à fixer le plafond je n'ose pas sortir de ma chambre aujourd'hui, ni jamais d'ailleurs.

Malheureusement pour moi, c'est aujourd'hui qu'a choisi mon père pour rentrer.

Ne l'aillant pas revue depuis deux semaines je prend mon courage à deux mains et rejoins la cuisine.

Je retrouve mon géniteur, Bucky et Samantha assis autour de la table à discuter tout en déjeunant.

- Bonjour.

Toutes les têtes ce tourne vers moi, et j'essaie d'éviter un regard, son regard.

Je m'approche de mon père et le serre dans mes bras.

- Comment tu va papa ?

- Ça va, je suis content de rentrer un petit peu.

- Oui, tu travaille tellement.

- Je sais ma chérie, mais je suis là aujourd'hui,

- Aujourd'hui ? Je demande les sourcils froncés.

- Je repart demain soir à Las Vegas.

- Bien sur..

Je prend place à mon tour au côtés de mon père.

- Tu sais que je suis désolé, c'est le boulot.

- Ouais, et le boulot et plus important que la vraie vie.

- Parce que le travail ça n'est pas la vraie vie ? Demande mon père.

- Non, beaucoup de gens pense que le travail et plus important que leur propre envie !

Je me perd dans mon explication.

Cette dernière phrases était plus désigné à Bucky.

Énervé, je récupère ma veste et sort dans le jardin.

Les souvenirs de la veille me revienne et malgré moi un sourire ce dessine sur mes lèvres.

Je suis perdu, et déçu.

Près de dix minutes après être rester seule dehors des pas résonne a mes oreilles.

Mon père arrive à mes côtés.

- Je suis sincèrement désolé de te laisser seule ici, dans cette maison ma puce, mais tu sais aussi bien que moi que je n'en et pas le choix.

- Depuis que je suis petite tu me répète cela, et je l'es compris papa. Seulement, j'en et marre.. c'est tout.

Il s'approche de moi et me prend dans ces bras.

- Tu me manque papa.

- Toi aussi tu me manque ma chérie, tout les jours.

Son parfum me détend quelques peut.

- Nous nous ferons des vacances de folie cette été, je te le promets ! C'est même toi qui choisira la destination.

Je rit.

Nous passons quelques instant dehors à discuter des dernières jours de nos vies.

- Tu sais qui j'ai croisés au Plaza la semaine dernière ?

Oui, mon père et un grand fervent des hôtels.

Nous vivons à New York, hors notre maison et très éloigner du centre-ville.
Il préfère donc dormir dans un hôtel au lieu de faire le trajet jusqu'à la maison matin et soir.

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