My shadow

Chapitre trente-deux

Bucky

Je déteste les hôpitaux.

Être allonger dans ce lit des jours et des jours sans pouvoir bouger ça m'agace.

Heureusement pour moi, je suis en bonne compagnie.

Assise a quelques centimètres de moi sur une chaise, April lis un magazine apparemment très intéressant.

Je la contemple.

Ces cheveux brun descendent le long de son dos droit, ces magnifiques yeux vairons lisent
attentivement chacun des mots.
Ça bouche pulpeuses révèle un petit sourire en coins.

Elle et belle, elle et magnifique assise la devant moi portant une robe d'été verte qui lui va parfaitement bien au teint.

- Est-ce que je t'es déjà dit à quel point tu étais belle ?

Elle relève les yeux vers moi en refermant son magazine.

- Pas aujourd'hui, en tout cas.

- Et bien tu et très belle, et pas seulement aujourd'hui.. tu est belle dans toute les circonstances.

- Tu est un sacré beau parleur.

- Ça n'est que la vérité.

Sourire au lèvres, elle s'approche de moi et pose ces lèvres délicate sur les miennes.

Au même instant, la porte s'ouvre sur le médecin de l'hôpital.

- Oh, excusez-moi je vous dérange.

April paraît gêner et je sourit fier de la revoir rougir.

- Ça va,  alors quel sont les nouvelles ? Je demande.

- Les nouvelles sont bonne Monsieur Barnes, vous pouvez rentrer tout et parfait.

Intérieurement je saute de joie.

Après une dernière douche à l'hôpital je retrouve April dans ma chambre qui m'aide au rangement de mes affaires.

J'arrive derrière elle et passe mes bras autour de ça taille que je serre.

Mes baisers descendent le long de ça nuque.

- Où va tu aller maintenant ? Me questionne elle.

- Comment ça ?

- Je veux dire.. tu n'est plus mon garde du corps, donc tu va forcément reprendre ta vie d'avant.

Elle ce tourne face à moi et son regard paraît inquiet.

- Ma vie d'avant avec une personne en plus, je murmure contre ces lèvres.

Comment pourrais-je voir ma vie maintenant, sans April.

C'est impossible pour moi.

Un mois loins d'elle ma fait comprendre que j'aimais cette femme.

Je ne pensais plus jamais ressentir cette sensation, le coeur qui bat la chamade à chacun de ces sourires.
Les pensées qui tourne autour d'une seule et unique personne dans mon esprit.
Me soucier de son bonheur.
Crever de jalousie lorsqu'un homme ose la regarder ou lui parler.

Je l'aime, je suis amoureux d'April Miller.